Avancer au même rythme que la rectification par la Loi

(Minghui.org)

Sixieme conference de partage d’experiences par Internet pour les pratiquants de Chine

[Site Clartés et Sagesse]

Ecrit par une pratiquante en Chine

Bonjour Maître!

Bonjour, compagnons de pratique!

Le titre «  disciple de Dafa de la période de la rectification par la Loi » me remplit d’un sentiment de grand honneur à chaque fois que je pense à ce titre. Pourtant, aux moments où je ne cultive pas bien, je ne me sens pas digne de ce titre. Alors, j’essaie de m’encourager moi-même pour m’améliorer afin d’être à la hauteur du salut compatissant du Maître et des attentes des êtres.

En mars 2006, Zhuan Falun a croisé ma route, alors que j’étais en train de m’occuper de la maladie de mon fils qui ne pouvait être guérie par la médecine moderne. Le premier mai 2006, un pratiquant m’a rendu visite pour nous parler de Dafa et pour nous montrer comment faire les exercices du Falun Gong. Motivée par l’enthousiasme du pratiquant et par sa patience, je me suis décidée à pratiquer le Falun Gong. A partir de ce moment-là, mon fils et moi, nous avons commencé à étudier la Loi et à faire les exercices chaque jour.

Peu de temps après avoir commencé à pratiquer, le karma de maladie de mon fils a empiré et les articulations de son corps se gonflaient, lui faisant très mal et pendant deux jours, il n’a rien pu manger. Sa condition physique a continué de s’aggraver. A ce moment-là, ma famille a appris que je voulais que mon fils pratique le Falun Gong. Comme ils avaient tous été trompés par le Parti communiste chinois qui raconte des mensonges sur le Falun Gong, mes parents, mon mari, les parents de mon mari et mes frères et leurs épouses ont tous essayé de me faire arrêter de cultiver, ils ont même menacé qu’ils allaient me dénoncer au bureau de la sécurité publique.

Ayant pratiqué le Falun Gong pendant tout juste deux semaines, je sentais une immense pression et je ne pouvais pas dormir la nuit. Je ne savais rien faire d’autre que de continuer à lire Zhuan Falun. J’étais attachée à lire la Loi pour éliminer le karma. Cependant, la condition physique de mon fils est restée inchangée pendant 20 jours. Comme il ne pouvait rien manger, son poids est tombé jusqu’à environ 15 kilos et cela pour un garçon de neuf ans. Il pleurait toute la journée et la nuit à cause de la douleur insupportable. J’avais l’impression d’être sur le point d’avoir une dépression nerveuse.

Un jour, pendant que je tenais mon fils en récitant la Loi, les larmes me coulaient des yeux et je me suis endormie et j’ai rêvé. Une voix dans mon rêve a dit : « Je suis venu éliminer le karma du garçon. » Alors, j’ai vu qu’une grande main avec une flamme brûlait le bras de mon fils du haut en bas. Je me suis réveillé quand le feu s’est éteint. Mon fils a alors été capable de bouger son bras droit sans avoir mal. J’ai alors compris que c’était le Maître qui aidait mon fils à enlever son karma et que mon fils ne serait plus en danger. Je me suis sentie soulagée et je suis devenue une pratiquante plus diligente.

Après plus qu’un mois d’élimination de karma, mon fils se sentait mieux et il pouvait de nouveau manger. Seul, son bras droit était encore dans une situation « critique ». Cependant, nous sommes restés fermes dans notre croyance en Dafa. Malgré le fait qu’il n’avait que neuf ans à cette époque-là, et sans compter combien il souffrait, mon fils a insisté à apprendre la Loi et à faire les exercices, et il refusait de prendre des médicaments. Un an plus tard, en août 2007, il a recouvré la santé.

Le Maître et la Loi ont ramené la santé dans le corps de mon fils, ils nous ont aidés à surmonter une situation difficile et ils nous ont aidés à avancer sur le chemin pour retourner à nos véritables êtres originels. Pouvoir être un pratiquant est un grand honneur pour moi dans ma vie et je me suis décidée à transmettre les bienfaits de Dafa à davantage d’êtres. Ainsi, nous avons commencé à honorer notre promesse de valider la Loi.

Quatre mois après que mon fils ait commencé à pratiquer, mon mari aussi a commencé à pratiquer de sa propre initiative. Pendant le temps où mon fils était en train d’éliminer son karma de maladie et que les membres de ma famille s’opposaient à notre pratique du Falun Gong, il n’était plus contre nous. Son attitude était vraiment très bonne. Son accord discret était sa façon de me soutenir. Mon mari est assez introverti et il n’est pas éloquent, mais comme pratiquant, il sait bien cultiver, surtout améliorer son xinxing. Après avoir lu « Cultiver pour abandonner l’attachement au désir sexuel » dans le Minghui Weekly, mon mari a pu se défaire de ce désir humain alors qu’il venait tout juste de commencer à cultiver. Il suit encore ce critère aujourd’hui.

Vers la fin de 2007, en un peu plus de deux mois, nous avons perdu notre motocyclette et notre scooter électrique. C’était nos seuls moyens de transport pour aller aux villages pendant les weekends ou les vacances pour aller distribuer le matériel de clarification de la vérité et pour parler aux gens du Falun Dafa. Ce qui nous arrivait nous a forcés à regarder à l’intérieur afin de découvrir nos lacunes dont les forces anciennes pouvaient profiter. Peut-être que le Maître a remarqué notre cœur pur pour sauver les êtres, parce que, deux semaines plus tard, un copain de mon mari nous a donné un autre scooter électrique. Puis, deux mois plus tard, nous avons reçu de façon tout à fait inattendue 3000 yuan. Ma première pensée a été d’acheter une nouvelle motocyclette pour aller dans les villages pour sauver plus de gens, donc nous avons immédiatement fait cela. Mon mari ne veut l’utiliser que pour la clarification de la vérité.

Pendant ces trois années de cultivation, j’ai souvent senti que le Maître prenait soin de moi et m’encourageait. Le Maître m’a aussi aidée à renforcer mes pensées droites en arrangeant les choses que je devais faire, me faisant rencontrer des gens à sauver, et me procurant tout ce dont je devais disposer dans la société humaine.

Merci, Maître,

Merci à tous les compagnons de pratique au monde !

Traduit de l’anglais en Belgique