Aller de l’avant dans la clarification de la vérité pour sauver les êtres vivants

(Minghui.org)

Dernièrement, j’ai fait de la bicyclette sur le côté de la route afin de pouvoir parler aux gens au sujet du Falun Gong. Habituellement je roule plus de dix miles (seize kilomètres) à l’aller et je reviens. Quand je vois un autre cycliste ou conducteur de tricycle, je me range à côté d’eux et leur parle du Falun Gong en roulant. Quand je vois des gens poussant une charrette ou marchant, je descends de ma bicyclette pour leur parler tout en marchant avec eux. Quand je vois des gens travaillant sur le bord de la route, je leur demande mon chemin et ensuite leur parle au sujet du Falun Gong. La plupart du temps ce sont des conversations avec une personne et parfois deux. Les gens que je rencontre sur le bord de la route sont pour la plupart des personnes âgées. Je les considère comme de la famille et leur parle avec passion et patience. Le fait de parler de la vérité sur le Falun Gong a habituellement un très bon effet. Certaines personnes âgées à qui j’ai parlé ne savent pas lire. La plupart ne sont pas membre du parti communiste chinois (PCC). Ils me remercient encore et encore. Certaines d’entre elles veulent apprendre le Falun Gong après en avoir entendu parler. Je leur donne des disques vidéo de la Divine Performing Arts et d’autre matériel de la clarification de la Loi. Habituellement je peux parler avec sept ou huit personnes en un après-midi. Ceux qui sont membres du PCC mettent fin à leur adhésion après avoir entendu parler de la vérité sur le Falun Gong.

Avant hier j’ai rencontré un homme de 20 ans. Après m’avoir entendu parler du Falun Gong, il m’a parlé d’une chose miraculeuse avec beaucoup de joie. Deux jours avant, il avait reçu un appel sur son cellulaire d’une fille de Taiwan. La fille lui a parlé pendant deux heures au sujet de la vérité sur le Falun Gong et l’a aidé à quitter la ligue des jeunes pionniers du PCC. Cette fille lui a dit qu’elle était handicapée avant de pratiquer le Falun Gong. Une de ses jambes avait été blessée quand elle était allée en voiture avec son grand frère quand elle était petite. Maintenant elle a vingt huit ans et elle est célibataire. Elle était allée aux États-Unis et à Hong Kong plus tôt cette année pour participer à des activités du Falun Gong. Maintenant elle appelle des gens en Chine pour leur parler du Falun Gong. Ses propos sont passionnés et touchants.

J’ai été ébranlé par l’histoire de cette compagne pratiquante de Taiwan. Avec son handicap, elle peut quand même aller à diverses activités du Falun Gong autour du monde et persévérer dans ses efforts en appelant les gens en Chine. Je me considère comme un pratiquant diligent qui a traversé les neuf années de rectification par la Loi, en sauvant des êtres vivant. Cependant, comparé à cette compagne de pratique de Taiwan, je sens que je ne suis pas à la hauteur.

Dans « Enseignement de la loi à la conférence de la loi internationale à New York » en 2004, le Maître nous a dit :

« Alors j'espère que les élèves de Chine continentale puissent vraiment apprendre des élèves hors de Chine et les prennent comme exemple. Afin de réduire la persécution perverse sur vous, regardez comment ils font. Ils ont travaillé très dur. Certains dorment à peine, jour après jour, chacun fait beaucoup de choses, ils assument tous de nombreux projets, et je ne parle pas que de quelques uns, c'est la majorité d'entre eux, ils travaillent vraiment dur. Alors quand on compare, même si l'environnement est détendu et confortable, en tant que disciples de Dafa, il s'agit toujours de la question d'être diligent. »

Maintenant quand je relie ceci, je peux mieux comprendre. Je ressens véritablement les difficultés rencontrées par les pratiquants d’outremer. Les pratiquants d’outremer font de vrais sacrifices et avancent diligemment.

Comment pouvons-nous nous efforcer encore plus à sauver les gens ? Nous ne pouvons pas rester à la maison et faire le travail de clarification de façon passive. Combien de gens pouvons-nous sauver si nous faisons cela passivement ? Nous devrions sortir et chercher des gens de façon proactive pour leur parler et les sauver.

Un jour une compagne de pratique de l’extérieur de la ville m’a raconté une histoire. Elle était allée assister au mariage du fils d’un pratiquant. Elle a rencontré neuf compagnons de pratique là-bas, tous heureux de se rencontrer. Je lui ai demandé : « Si vous tous les dix pratiquants vous étiez divisé en cinq groupes ou même dix groupes et étiez sorti pour clarifier la vérité, combien de gens auriez-vous pu sauver ? » Elle s’est soudainement éveillée : « Nous avons perdu une opportunité en or ». Pourquoi laissons-nous ceci se produire ? Parce que nous sommes habitués à clarifier la vérité de façon passive mais non de façon proactive. Nous n’avons pas placé le travail de clarification de la vérité comme priorité numéro un. Alors quand nous croisons des opportunités, nous ne les saisissons pas pour sauver plus de gens.

Je crois que l’effet de mes efforts pour parler aux gens du Falun Gong le long de la route va s’améliorer. Je vais prendre le temps pour sauver ceux qui devraient être sauvés. Compagnons de pratique, en cette courte période avant que la rectification par la Loi ne soit complétée, nous devrions aller de l’avant en les sauvant tous et nous allons ressentir la joie de chacun des êtres sauvés.

Traduit au Canada de l’anglais, le 15 janvier 2009