(Minghui.org)

Par une pratiquante en Chine

Je vis dans un village retiré de la montagne, et nous devons marcher sur un chemin montagneux assez long et rude avant d'atteindre le centre ville. Qu'importe ce qui arrive dans le monde extérieur, rien ne m'inquiète, moi, une paysanne possédant peu d'instruction. Grâce à la compassion du Maître et à la puissance de Dafa, j'ai pu obtenir la Loi tout en habitant une région aussi oubliée de tous. Je remercie le Maître du plus profond de mon cœur.

Maître s'occupe de chaque être. En raison de l'arrangement méticuleux du Maître, un oncle de mon village s'est marié avec une gentille femme qui travaillait dans la région du centre ville. Elle a obtenu la Loi en 1997, et elle a commencé à parler de la Loi à ma tante et à moi dans notre village. Nous avons obtenu la Loi en 1998. Depuis, quelques compagnons villageois ont commencé la cultivation. Egalement, beaucoup de villageois pensent que "Falun Dafa est bon" et que "Vérité-Compassion-Tolérance est bon". Ils ont été bénis en conséquence et ont obtenu le véritable bonheur.

Bien que je n'aie pas pratiqué avec suffisamment de diligence, je n'ai jamais vacillé dans ma croyance en Maître ou en la Loi. Maître me protège à tout moment. Maintenant, j'aimerais partager avec vous les expériences miraculeuses de ma cultivation ainsi que la façon dont Maître me protège.

Je souffrais d'un calcul aux reins avant que je ne commence à cultiver Dafa. Le calcul a été évacué de mon corps sans aucun médicament après que j'ai commencé la cultivation. A partir de ce moment, j'ai été plus ferme dans ma croyance en Maître et en Dafa.

En juillet 2000, ma tante et moi sommes allées à Beijing afin de valider la Loi en dépit d'énormes difficultés. Bien que nous n'étions jamais parties aussi loin de notre village, nous avons réussi à abandonner la peur. J'ai également mis de côté mon inquiétude à propos de mes deux fils et de mon mari. Parce que nous n'avions aucune expérience dans la validation de la Loi et n'étions pas matures, nous avons été arrêtées peu après notre arrivée à Beijing. Des policiers en civil nous ont envoyées dans un endroit où des pratiquants de tout le pays étaient détenus illégalement. Nous ne pouvions pas communiquer avec les autres pratiquants parce qu'ils ne comprenaient pas notre dialecte et que nous ne pouvions pas les comprendre non plus. Dès qu'ils nous ont vus, nos compagnons de pratique ont su que nous étions d'une région montagneuse retirée. Ils nous ont félicité à grand renfort de pouces levés et ont dit que nous étions remarquables d'avoir le courage de sortir pour valider la Loi. Maître a utilisé ces pratiquants pour nous encourager. Nous n'avions aucune peur et nos esprits n'avaient aucune pensée humaine. Les compagnons de pratique ont pratiqué les exercices et nous les avons accompagnés. Ils ont récité la Loi et nous les avons écoutés car nous ne pouvions pas la réciter. Nous ne pouvions pas comprendre les questions de la police et ils ne pouvaient pas nous comprendre non plus.

Trois jours plus tard, nous avons été libérées. Nous avons plongé dans la mer des habitants de Beijing. Beijing était une ville trop grande pour nous et nous ne savions pas où aller. Nous étions comme des enfants qui avaient perdu leur chemin et nous nous sommes senties abandonnées au point d'avoir envie de pleurer. Juste à cet instant, une pratiquante qui avait été détenue avec nous est venue gentiment vers nous et nous a dit: "Maître a dit que deux disciples étaient en difficulté et m'a demandé de venir vous aider. Je pense que c'est de vous dont il s'agit."

Nous étions si touchées que nous avions envie de pleurer. Merci Maître pour votre protection et pour nous avoir envoyé une compagne de pratique afin de nous aider et que nous puissions communiquer ensemble. Je parlais le mandarin avec beaucoup de difficulté et avec un fort accent, mais la pratiquante pouvait me comprendre. Elle venait de la province de Shandong. Je pouvais également comprendre son mandarin. Elle a acheté des billets de train pour nous et nous a emmenées dans un hôtel. Nous étions très heureuses cette nuit-là parce que nous avons partagé des expériences avec elle, une ancienne pratiquante, et nous avons senti que nous nous étions améliorées dans la Loi. Ceci a aussi démontré le miraculeux et la profondeur de la cultivation de Dafa.

Mon mari était très naïf et ne reconnaissait pas entièrement la perversité du PCC (Parti communiste chinois). Après être parties pour Beijing, il était tellement inquiet qu'il est allé le dire à la police. Aussi, ma tante et moi sommes devenues du jour au lendemain des cibles dans notre région. Le département de police du comté, la cour de justice, le commissariat et les fonctionnaires du district nous ont isolées et interrogées, et nous ont demandé de rendre nos livres de Dafa. Nous n'avons pas coopéré avec eux, et ma famille a caché les livres de Dafa dans un endroit sûr. Grâce à la protection de Maître, nous avons réussi à surmonter cela. Cependant, nos noms ont été listés dans les archives du gouvernement du comté. Nous avons clarifié les faits au sujet de Dafa aux villageois et avons donné le livre Zhuan Falun au secrétaire du district. En ces temps politiquement sensibles, quand des fonctionnaires du gouvernement du comté appelaient le secrétaire pour des informations concernant le Falun Gong, il traitait chaque fois avec eux. Avant de prendre sa retraite, il s'est arrangé pour que mon mari travaille au sein du gouvernement du district. Je savais dans mon cœur que Maître avait arrangé cela afin de nous protéger.

En octobre 2008, je suis allée dans la montagne afin de cueillir des fruits, et je suis tombée d'un arbre d'une hauteur de six mètres. Je ne pouvais plus bouger à ce moment-là, mais je suis restée consciente et je savais que je devais demander l'aide du Maître. J'ai appelé le Maître à mon secours plusieurs fois avant de m'évanouir. Après avoir repris mes esprits, j'ai pensé en moi-même que j'étais une pratiquante de Dafa et que tout irait bien. Puis, je me suis lentement relevée et je suis rentrée chez moi.

Une fois rentrée à la maison, tout mon corps était endolori. Mon mari devait m'aider lorsque je devais me retourner, aller au lit ou me lever. Il savait que je n'irais pas à l'hôpital, et il ressentait beaucoup de colère et de désespoir. Au début, il a pris grand soin de moi. Cependant, il a tenté par la suite de m'effrayer. Les éléments pervers des forces anciennes l'utilisaient pour me détourner de ma croyance en Maître et en Dafa et m'empêcher de traverser l'épreuve avec les pensées droites. "Comment prouver ma croyance juste en Dafa et à quel point j'étais déterminée à croire en Maître et en Dafa lorsque j'étais dans la tribulation" étaient ce à quoi je devais faire face. Peu importe combien mon corps me faisait mal, j'ai persévéré à faire les cinq séries d'exercices jusqu'à la fin. J'ai étudié la Loi et j'ai pratiqué les exercices lorsque je ne travaillais pas aux champs.

Je n'ai pas été à la selle durant sept jours, et mon mari est devenu très nerveux. Il m'a dit: "Tes organes internes ont été endommagés. Ceci ne peut pas être normal." J'ai répondu: "Oui, c'est anormal. Maître remet de l'ordre dans mes organes internes." J'ai pensé en moi-même: J'ai mangé cinq bols de riz chaque jour, totalisant trente-cinq bols en sept jours. Je n'avais pas été à la selle mais mon ventre n'était pas gonflé du tout. Tout allait très bien. Au neuvième jour, tout est redevenu normal et je me sentais bien. Mon mari m'a regardé et a dit: "Vous, les personnes pratiquant le Falun Gong, il est vrai que vous n'avez besoin de prendre aucun médicament."

Il y a de nombreux faits étonnants de mes expériences de cultivation. Ci-dessus ne sont que quelques exemples. A chaque fois que j'ai des tribulations, aussi longtemps que mon cœur est droit, Maître va certainement m'aider à marcher avec droiture sur mon chemin et des miracles vont se produire. Je suis toujours profondément émue par l'immense compassion de Maître. Chaque miracle renforce davantage encore la croyance de ma famille en Maître et en la puissance de Dafa.

Traduit de l’anglais le 27 janvier 2009