Une évaluation non remise

(Minghui.org)

Ecrit par un pratiquant en Chine

Une évaluation non remise

Parce que je pratique le Falun Gong, j’ai été condamné au travail forcé. J’ai repris mon emploi d’origine après avoir purgé la peine. Les fonctionnaires au travail m’ont puni davantage en diminuant mon salaire de 100 yuans ou plus par mois pendant un an .

Récemment après avoir appris les faits concernant le Falun Gong, mon supérieur a voulu lever la peine avant la fin de l’année. Toutefois il avait besoin de fournir une évaluation positive à ses supérieurs. Il était dans un dilemme. En plus de dire des choses très favorables tel qu’ "il travaille dur" et "il joue un rôle actif dans l’équipe", il savait qu’il devait dire quelque chose dénigrant le Falun Gong, autrement l’évaluation ne serait pas acceptée. Ayant appris la vérité, il n'était pas près à faire une telle chose. Alors qu’il s’inquiétait du problème, un jeune collègue de l’équipe s'est levé. Ayant un peu plus d’un vingtaine d’années, il travaillait avec moi. Il a pris un stylo et a commencé à écrire. Il a vite écrit toute une page d’évaluation et entrepris de la lire devant les membres de l’équipe. Il a écrit que j'avais une moralité élevée et que j’étais admirable.

Bien que cette évaluation ne sera pas acceptée, cela montre le changement survenu chez les gens. Ils sont touchés par la bonté, la compassion et l’esprit inébranlable des pratiquants de Dafa. Ceux qui connaissent les faits, consciemment ou inconsciemment, se positionnent eux-mêmes.

Les billets portant des phrases clarifiant les faits sont précieux

Le 21 février 2009, alors que je clarifiais les faits à un chauffeur de taxi, il a dit: "Le PCC et ses agents sont vraiment pervers. Ils nous font payer le chauffage plus cher cette année dans notre quartier et le service de chauffage est pire que l’année dernière. La température est inférieure que précédemment. Il y a plusieurs plaintes venant de mes voisins. Ces fonctionnaires ne se soucient pas des gens. Ils collaborent avec ces hommes d’affaire pour obtenir de l'argent mal acquis. "

Quand je lui ai parlé de "la destruction du PCC par le Ciel ; de renoncer au PCC pour être sain et sauf", il m’a dit qu’il avait reçu des billets de banque portant de telles phrases. Il en a même parlé à ses proches et ses amis. Il a dit : "Ils m’ont dit de les leur donner mais je veux les garder. Ils ont de la valeur. "

Le 27 février 2009

Date de l'article original : 6/3/2009