(Minghui.org)

Au cours de ces six dernières années, la pratiquante de Falun Gong taiwanaise Huang I-Chen a téléphoné en Chine continentale pour clarifier la vérité sur le Falun Gong.

Un matin, elle disposait d’un peu de temps entre ses exercices et son heure de travail et elle a décidé d’appeler des policiers en Chine continentale. La personne qui a répondu à son appel semblait être un jeune homme. Madame Huang lui a demandé de ne pas participer à la persécution du Falun Gong, mais il a dit qu’il suivait tout simplement les ordres. Madame Huang était triste pour ce jeune homme qui était utilisé par le PCC pour persécuter de bonnes personnes. Elle a entendu les pleurs d’un bébé à l’autre bout. Ses yeux se sont remplis de larmes alors qu'elle disait au policier : « Vous avez un petit bébé. Même si vos actions répréhensibles vous sont dictées par le PCC, vous commettez tout de même un crime ce qui met votre famille en danger de souffrir de rétribution karmique. » Le policier a raccroché. Madame Huang a rappelé mais personne n’a répondu. Elle espère sincèrement que le policier s’éveillera et choisira un meilleur avenir.

Madame Huang I-Chen en méditation

Un jour, madame Huang a lu sur le site internet de Minghui/ Clartés et Sagesse des informations sur la persécution de Madame Zhou Xiangyang, une ingénieur de Tianjin. Madame Zhou a été condamnée à neuf ans de prison et a été brutalement torturée. Sa vie était en danger. On peut lire de nombreux cas de persécution cruelle sur le site internet tous les jours. Madame Huang était soucieuse de contribuer à sauver Madame Zhou et a décidé qu’elle devait passer des appels téléphoniques dans la soirée.

Elle a appelé le directeur adjoint du bureau de police impliqué dans le cas de Madame Zhou, mais elle n’a pu le trouver. Elle a appelé à son domicile. Sa mère a répondu à l’appel. Madame Huang a dit à la mère que c’était terrible que son fils soit impliqué dans la persécution. Le téléphone a raccroché. Madame Huang a téléphoné à plusieurs reprises. La mère du directeur a répondu et a dit : « Nous devons gagner notre vie. Ne devez-vous pas gagner votre vie ? » Huang était très triste d’entendre qu’ils devaient faire des choses à l’encontre de leur conscience afin de gagner leur vie. Quelques jours plus tard, Huang a de nouveau appelé la mère du directeur et lui a dit de dire à son fils que les gens du Falun Gong sont de bonnes personnes. Le Falun Gong est profitable à la société. Son fils pourrait utiliser sa sagesse pour protéger ces personnes. Il aurait ainsi un meilleur avenir. La mère du directeur a dit qu’elle avait compris, que Madame Huang pensait au bien de son fils et qu’elle lui dirait.

Madame Huang a souvent eu des conversations d’une demi-heure ou d’une heure avec les gens qu’elle à pu joindre en Chine, et la facture de téléphone est une très grosse dépense. Une fois, elle parlait à une homme qui avait des illusions sur le PCC. Comme les sept premières minutes d’un appel international sont à un coût moindre, elle a dû raccrocher après sept minutes et a de nouveau appelé afin de diminuer ses factures de téléphone. Quand elle a expliqué cela à l’homme, il a demandé : « Est-ce que vous payez les appels téléphoniques? » Elle a dit qu’elle payait de sa propre poche pour tous ces appels car elle sait ce qu’est le Falun Gong et espère que d’autres pourront le connaître. Il a été très ému. Il a finalement compris ce qu’elle disait et a renoncé au PCC. Madame Huang était très heureuse. Elle a dit peu importe qu’elle travaille durement, cela vaut la peine tant que les gens peuvent apprendre la vérité.

Madame Chang Wan-hsuan est une femme au foyer dans la quarantaine. Elle pratique le Falun Gong depuis près de dix ans. La première fois qu’elle a vu le symbole du Falun Gong dans le livre Zhuan Falun, elle l’a reconnu car elle l’avait vu en rêve auparavant.

Madame Chang Wan-xuan (première à droite) en méditation

À l’instar de Madame Huang, Madame Chang appelle aussi souvent en Chine pour clarifier la vérité sur le Falun Gong. Une fois, la personne qu’elle a joint lui a demandé une minute pour garer sa voiture sur le côté de la route afin qu’il puisse mieux l’entendre. Après la conversation avec Madame Chang, il a renoncé au PCC. Madame Chang lui a demandé de raconter la nouvelle à sa famille et à ses amis.

D’après son expérience, Madame Chang a dit que si elle n’avait pas bien étudié la Loi, elle n’aurait par la compassion et ses paroles ne toucheraient pas le cœur des gens. Si elle disait les choses pour protéger son propre point de vue, la personne qu’elle appelle ne l’accepterait pas. Elle a appris à se mettre à la place des autres.

Traduit de l'anglais au Canada le 14 juillet 2009