Clarifier la vérité aux fonctionnaires du PCC à l'aéroport

(Minghui.org)

Le 14 décembre 2009 j'ai clarifié la vérité au sujet du Falun Gong à l'aéroport international de Taoyuan à Taiwan. Je suis allé à l'aérogare à environ 15h ce jour-là, un peu plus tard que d'habitude. Quelques autres pratiquants et moi portions des panneaux louant les vertus du Falun Gong et les policiers de l'aéroport nous ont ordonné de les enlever car des fonctionnaires du Parti communiste de la Chine (PCC) allaient bientôt arriver. Au moment-même où les policiers étaient en train de nous dire de nous éloigner de l'aérogare, environ 50 personnes sont entrées dans l'aérogare d'un avion arrivant. Par leurs accents, j'ai pu deviner que la plupart d'entre eux venaient de Chine continentale. En plus de nombreux journalistes, il y avait des taïwanais présents pour les accueillir. Apparemment, des reporters et d'autres membres des médias voyageaient aussi avec eux. Lorsque le groupe et son entourage est passé, un compagnon de pratique et moi avons émis constamment la pensée droite afin d'éliminer la perversité. A ce moment-là, je ne savais pas que parmi ces gens se trouvait Xu Guangchun, un haut fonctionnaire du PCC et un des criminels numéro un qui persécutent les pratiquants de Falun Gong.

A ce moment-là, j'ai eu le fort présentiment que ces gens n'étaient pas des touristes ordinaires de Chine. J'avais une pensée à l'esprit, « Peu importe à quel point les policiers de l'aéroport interfèrent avec moi, je maintiendrai la pensée droite afin de clarifier la vérité et sauver les êtres. » Ensuite j'ai entendu un groupe de bienvenue crier des slogans préparés pour les fonctionnaires qui arrivaient. Pendant ce temps-là, la police maintenait la garde à côté d'eux.

À environ 16h le même jour, un autre groupe de fonctionnaires du PCC sont entrés dans l'aérogare. Je me suis approché d'eux et j'ai crié, « Falun Dafa est bon! Authenticité-Bienveillance-Patience est bon! Arrêtez immédiatement de persécuter le Falun Gong! » Tous de suite, trois grands policiers ont essayé de m'arrêter de crier et ont mis leurs mains sur moi plusieurs fois, mais j'ai crié de toutes mes forces, « Falun Dafa est bon! Authenticité-Bienveillance-Patience est bon! Arrêtez immédiatement de persécuter le Falun Gong! » J'ai continué à crier ces mots jusqu'à ce que tous les fonctionnaires du PCC soient partis.

Pendant que cela se passait, deux journalistes taïwanais se sont retournés pour regarder. Ils ont pris des photos des policiers qui m'avaient abordé et à qui je disais d'enlever leurs mains de moi. J'ai fait remarquer aux policiers que des journalistes prenaient des photos. Quand les journalistes sont partis, les policiers ont demandé mon identité et m'ont demandé de les suivre au poste de police. Ils m'ont averti que je serais arrêté et détenu pendant 36 heures si je refusais de leur obéir.

J'ai demandé à un des policiers, « Pourquoi m'emmenez-vous au poste de police? Ce n'est pas illégal de crier, ' Falun Dafa est bon! Authenticité-Bienveillance-Patience est bon! Arrêtez immédiatement de persécuter le Falun Gong! ' Je n'ai rien fait de mal. J'ai la liberté de parole. Je ne suis pas allé à l'encontre de la loi. Au contraire, c'est vous, les policiers, qui m'avez agressé et avez interféré avec ma liberté. » J'ai demandé aux policiers, « Pourquoi n'avez-vous pas arrêté ces gens qui criaient des mots de bienvenue aux fonctionnaires du PCC? Pourquoi me questionniez-vous? Vous êtes la police de Taïwan et vous êtes supposés protéger les gens et soutenir la justice. Pourquoi ne prenez-vous pas le parti des bonnes gens et pourquoi n'arrêtez-vous pas de protéger les mauvaises personnes? » Dans mon esprit, je continuais à émettre la pensée droite afin de désintégrer la perversité pendant que je clarifiais la vérité aux policiers et que les persuadais que le Falun Dafa est bon.

J'ai dit aux policiers, « Je suis ici aujourd'hui pour dire au monde que le PCC persécute les pratiquants de Falun Gong. Ces gens qui sont venus ici plus tôt sont des fonctionnaires du PCC, alors ils doivent avoir directement ou indirectement persécuté des pratiquants de Falun Gong en Chine. Alors c'est très important pour eux de savoir la vérité et encore plus important qu'on les empêche de continuer. Nous ne pouvons pas leur permettre de continuer à persécuter les bons pratiquants de Falun Gong. »

En entendant ce que je disais, les policiers ont décidé de me laisser faire et se sont éloignés en marchant. Cependant, après qu'ils soient partis, un autre policier est venu me voir et m'a dit qu'il avait vu ce qui venait d'arriver. Il s'est excusé au nom des autres policiers pour la manière dont on m'avait traité et a dit qu'ils avaient mal géré la situation. Il m'a dit qu'il savait que le Falun Dafa est bon et qu'il admire les pratiquants de Falun Dafa qui clarifient la vérité à l'aéroport. Il a dit qu'il ne pouvait pas faire autrement que de suivre les ordres mais que, s'il pouvait enlever son uniforme, il se tiendrait debout avec nous afin d'arrêter les méfaits du PCC. Quand il a dit cela, je n'ai pas pu retenir mes larmes.

Je suis reconnaissant envers le Maître qui renforce mes pensées droites afin que je puisse bien faire les trois choses que les pratiquants de Dafa doivent faire, incluant dire aux gens la vérité à propos du Falun Gong. Ici, j'aimerais proposer un conseil à mes compagnons de pratique: quand vous faites face à la perversité, ne soyez pas bouleversé ou n'ayez pas peur. Au lieu de cela, émettez la pensée droite, éliminez complètement la perversité avec vos pouvoirs divins et sauvez les êtres.

Le 17 décembre 2009

Traduit de l'anglais au Canada