(Minghui.org)
J'ai été si chanceuse de commencer la pratique du Falun Dafa en avril 1997. J'avais de l'arthrite à l'époque. Tout mon corps avait mal, et c'était difficile pour moi de marcher. Je ne pouvais pas me lever du lit. Un proche m'a recommandé le Falun Gong, et alors j'ai décidé de pratiquer ensemble avec lui et d'autres pratiquants. Donc, ils ont passé les DVD des conférences de Loi du Maître et m'ont enseigné comment faire les exercices de Dafa. Je ne me suis pas rendu compte à quel moment et de quelle façon j'ai été guérie.
Je ne savais pas lire et c'était donc un défi pour moi d'étudier la Loi. Je dois être capable de lire « Zhuan Falun », telle était ma détermination. Lorsque j'étudiais la Loi chez moi, je demandais à mes enfants de l'aide lorsque je tombais sur des caractères chinois que je ne pouvais pas reconnaître. Après un certain temps, j'étais en mesure de lire « Zhuan Falun ». Maintenant je peux lire toutes les conférences du Maître. C'était le Maître et la puissance de la Loi qui me donnaient la sagesse.
Une pratiquante et moi sommes allées à Pékin en 2000. Pour prendre le train, d'autres personnes devaient présenter leur carte d'identité; cependant personne n'a vérifié les nôtres. Nous sommes arrivées place Tiananmen très facilement et avons vu beaucoup de pratiquants d'autres régions. Des policiers nous ont arrêtées illégalement et nous ont emmenées dans un bureau.
La police de notre localité nous a ramenées à notre ville natale vers 2 h du matin. Ils nous ont attachées à un gros arbre et ne nous ont donné ni nourriture ni eau. Mes enfants m'ont apporté de la nourriture et de l'eau. La police a refusé de me détacher, alors mes enfants ont dû me nourrir. La pratiquante qui m'a accompagnée à Pékin était là également. Comme ses proches ne la soutenaient pas, ils ne sont pas venus pour s'occuper d'elle. Mes enfants ont alors apporté de la nourriture et de l'eau pour la nourrir également.
Avant la fête du Printemps en 2001, certains membres du Parti communiste chinois (PCC) m'ont arrêtée et détenue au centre de détention de Shouguang pendant 15 jours. J'ai clarifié la vérité aux détenus criminels et ils savaient tous que le Falun Dafa est bon. Ils ont dit qu'ils pratiqueraient le Falun Gong après leur libération. Au cours de ma détention, mes enfants sont venus et ils ont pleuré en m'implorant de ne plus pratiquer Dafa. Je serais libérée si j'acquiesçais à leur demande. J'ai répondu : « Le chemin de ma vie est déterminé par le Maître. Personne d'autre ne peut prendre une décision pour moi. » Mon mari s'est agenouillé et m'a implorée de renoncer à ma croyance au Dafa également. J'ai déclaré : « Je pratiquerai Dafa et étudierai la Loi toujours. Je ne renoncerai jamais. »
J'ai été relâchée cinq jours avant la fête du Printemps. Après mon retour chez moi, un membre du PCC a déclaré : « Quiconque continue de pratiquer le Falun Gong perdra son terrain. » Ils ont aussi déconnecté l'électricité dans mon domicile. Mon mari a dit aux enfants : « Même si je dois mendier pour la nourriture, nous allons soutenir votre mère qui pratique le Falun Gong. » Mon mari m'a même exhortée à sortir pour clarifier la vérité et sauver les êtres vivants. Mon mari n'a pas encore commencé la pratique de Dafa, mais il m'a toujours accordé son soutien.
En septembre 2003, la police m'a arrêtée encore. Je les ai vus battre une pratiquante. J'ai dit : « Ne la frappez pas. C'est mois qui lui ai donné les documents. » Un policier a ensuite pris une matraque électrique et s'est approché de moi. Soudain, son téléphone a sonné et il a pris l'appel. J'ai eu cette pensée : « Ce sont des êtres qui doivent aussi être sauvés. » Lorsqu'il est revenu, il m'a laissée m'asseoir et m'a même apporté un peu d'eau. Ensuite, j'ai commence à lui expliquer les faits sur le Falun Dafa. Il m'a demandé : « Est-ce que c'est vous qui avez distribué la documentation et les banderoles? » J'ai répondu : « Oui, c'est moi qui ai fait tout cela. Si vous ne me croyez pas, allez vérifier dans le village. J'ai tout fait. Si j'avais un dépliant avec moi maintenant, je vous en aurais aussi donné un exemplaire. » J'ai profité de cette occasion pour lui clarifier la vérité. Il a cessé de parler. Finalement, je lui ai demandé : « Le Falun Dafa est bon, n'est-ce pas? » Il a souri et ne m'a rien demandé de plus.
La police est encore venue à mon domicile pour essayer de m'arrêter lors des Jeux olympiques en 2008. Plus de 50 d'entre eux sont venus. Mon mari, mes enfants et mes voisins sont tous sortis pour m'aider et les empêcher de m'emmener. J'ai émis la pensée droite pour demander au Maître de me renforcer. Par conséquent, la police n'a pas pu m'emmener. Ils ont harcelé ma famille pendant quelques heures et sont partis en vain.
Mon pied est handicapé. Je ne peux pas bien marcher. Alors, je sors toujours le jour pour clarifier la vérité et sauver les gens. Lorsque je distribue la documentation sur Dafa, je parle face à face à ceux que je croise et qui ont une affinité prédestinée avec moi. Je leur dis de démissionner du PCC et de ses organisations affiliées pour qu'ils soient sains et saufs. Tous ceux qui ont appris la vérité ont tous démissionné du PCC, de la Ligue des jeunes communistes chinois et/ou des Jeunes pionniers communistes chinois. Quand les gens me voient plus tard, ils m'invitent souvent chez eux pour faire une pause et boire un peu d'eau. Je suis très émue de voir ces personnes qui ont été sauvées me traiter bien. Je considère cela comme un encouragement à mieux faire dans l'avenir.
Traduit de l'anglais au Canada
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