(Minghui.org)

Ma ville natale est assez loin d'où je vis. Chaque fois que je suis retournée là bas pour visiter ma famille, je n'ai pas pas fait grand chose d'autre. J'avais des soucis dans la tête, alors je n'ai jamais exposé la persécution aux gens de ma ville d'origine.


Une coordinatrice locale nous a contacté un jour moi et ma femme, qui est aussi une pratiquante. Elle nous a dit qu'aucun pratiquant n'avait jamais parlé aux gens de la persécution dans ma ville natale et qu'il y avait besoin que nous prenions en charge ce travail. Elle nous a offert de nous aider chaque fois que nous en aurions besoin. Je connaissais deux autres pratiquants qui vivaient dans ma ville, mais ils n'avaient jamais exposé la persécution dans cette région eux non plus. J'ai ensuite réalisé que ceci était ma responsabilité, en particulier pour les gens de ma ville natale qui avaient une relation prédestinée avec moi.


J'ai encouragé les deux pratiquants de ma ville à aider à clarifier les faits et à collecter les numéros de téléphone des gens afin que ma femme et moi puissions les appeler.


Quand ma femme a appelé une personne en utilisant la machine à composer automatiquement qui passait un message enregistré, elle m'a dit que quand la personne a parlé, elle a dit en parlant fort : « Je sais que le Parti communiste chinois est pervers et je ne voulais pas en faire parti depuis longtemps. Je sais que vous êtes de bonnes personnes et que vous voulez nous sauver... » Elle a cessé de parler quand elle a réalisé que c'était un enregistrement qu'elle était en train d'écouter et elle a continué à écouter pendant six minutes. Ma femme m'a donné le numéro de téléphone de la personne et un pratiquant l'a appelée.


Quand j'ai rencontré le pratiquant qui a téléphoné à cette personne, il m'a dit qu'il avait appelé la personne et l'avait aidée à quitter le PCC. Le pratiquant a dit : « La personne était tellement reconnaissante et il m'a demandé de faire attention pour ma propre sécurité. » Nous étions très heureux qu'une vie ait été sauvée.


Quand j'ai rencontré la coordinatrice locale et que je lui ai raconté l'histoire, elle a dit : « Tu vois, ce n'est pas que les êtres ne veulent pas être sauvés, c'est que nous ne les avions pas sauvés ! »


Il y a plusieurs choses que nous n'avons pas bien faites et nous devons travailler plus dur pour sauver davantage d'êtres. Je voudrais rappeler aux compagnons de cultivation que chaque seconde est importante, parce que les êtres ont hâte d'être sauvés ! »


Traduit de l'anglais au Canada