J'ai trouvé la sagesse de la vie (Photo)

(Minghui.org)

Cai Shu-hui est la fille d'un pêcheur, elle a grandi sur les îles Penghu. Elle s'est installée à Taipei pour vivre seule après avoir obtenu son baccalauréat. Mme Cai a rencontré son futur mari à l'Usine Banbaishi de Taipei. Elle a beaucoup travaillé pour passer un concours d'État, puis est devenue assistante de communauté au district de Shilin à Taipei. Elle a suivi un programme en alternance et obtenu son diplôme universitaire, puis a acheté une maison et s'est mariée. Bien que Mme Cai était bien installée à cette époque, elle cherchait autre chose, quelque chose en plus. Elle avait essayé différentes religions, avait pratiqué le qigong, et lu beaucoup de livres sur la cultivation et la longévité. Elle savait que ce qu'elle recherchait, c'était « la sagesse de la vie » comme elle dit, mais elle ne savait absolument pas où la trouver.

Shu-hui et ses trois enfants

En mars 2004, la sœur cadette de Mme Cai qui revenait d'un voyage en Allemagne, lui a présenté le Falun Gong et lui a donné un exemplaire du livre Zhuan Falun. Une fois qu'elle l'a ouvert elle n'a pas pu le refermer. Elle a tellement aimé qu'elle l'a terminé en une journée. Elle était très excitée et s'est exclamée en elle-même : « C'est ce que je cherche depuis que je suis toute petite ! J'ai trouvé la sagesse de la vie dans ce livre ! »

Le lendemain, elle est allée à Nei-hu apprendre les exercices avec sa sœur. Elle a dit : « C'était comme une pluie abondante après une longue sécheresse. J'ai appris les cinq exercices en une après-midi. J'ai appris qu'une grande voie est extrêmement simple et facile à apprendre, et j'ai appris les cinq exercices en une seule fois. Ils étaient très faciles à apprendre. »

Elle est rentrée chez elle et a trouvé une point de pratique qui convenait à ses horaires et à ses déplacements quotidiens, et chaque jour elle a participé au groupe de pratique et d'étude de la Loi.

Comprendre les principes de la Loi et régler les problèmes familiaux

Avant de pratiquer le Falun Gong, Shu-hui avait beaucoup de ressentiment en elle. Elle en voulait aux frères et sœurs de son mari de ne pas s'occuper de leurs parents, leur en laissant la totale responsabilité. Elle était aigrie de devoir travailler pour soutenir toute la famille, du fait que son mari et sa belle-mère aimaient jouer au mah-jong, et que son mari rentrait souvent autour de minuit.

Bien qu'il n'y ait pas de disputes à la maison, Shu-hui avait fait le choix de garder ses distances autant que possible pour avoir la paix. Elle sortait souvent avec ses enfants et sa belle-mère, sans s'occuper de la maison, ni de son mari. Résultat ils s'éloignaient de plus en plus l'un de l'autre, il y avait comme un mur qui les séparait. Heureusement elle s'entendait très bien avec sa belle-mère, qui l'aidait avec les enfants et la maison. Donc dans l'ensemble, Shu-hui n'avait qu'à se préoccuper d'elle-même et de son travail.

En pratiquant le Falun Gong, Shu-hui était guidée par les principes de la Loi qui sont Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Elle a compris d'après les principes de la Loi que tout à ses raisons. En étudiant plus la Loi, elle a appris à regarder en elle pour trouver ses propres failles. Elle a changé, alors qu'elle tolérait passivement ce qu'elle percevait comme des erreurs, elle est devenue sincèrement tolérante.

Résultat, les ressentiments qu'elle avait ont progressivement disparu. Son mari qui était autrefois opposé à sa pratique la soutient maintenant. Parfois même de sa propre initiative, il l'aide dans ses activités de Dafa.

Shu-hui dit : « Je ne savais pas quoi faire au début de ma pratique, et je restais comme j'étais avant. Heureusement que ma belle-mère s'occupait de tout à la maison, donc je n'avais à me soucier de rien. Mais très vite les principes de la Loi m'ont aidée à m'ajuster et à mieux faire. Mais je reste très reconnaissante à l'égard de ma belle-mère. »

Des médecins ébahis par un accouchement naturel

Un an après en 2005, Shu-hui est tombée enceinte de son troisième enfant. Elle avait déjà un fils de douze ans et une fille de quatre ans, et ces deux grossesses avaient été difficiles pour elle et pour son médecin. Notamment lors de sa seconde grossesse cinq ans auparavant, elle avait dû être hospitalisée pour éviter une fausse couche en raison d'une myomectomie laparoscopique et d'un placenta praevia. Résultat, elle devait rester alitée toute la journée, avec un appareil respiratoire et des piqûres deux fois par jour pendant six mois. Après un accouchement par césarienne, elle a souffert de dépression post-natale. Tout cela a changé quand elle a commencé à pratiquer le Falun Gong.

Le médecin était très prudent avec cette nouvelle grossesse, et lui recommandait régulièrement de se faire hospitaliser. En plus il lui demandait d'aller dans le meilleur hôpital de Taiwan - le « Teaching Hospital ».

Lors de chaque rendez-vous médical, le médecin conseillait à Shu-hui de se faire hospitaliser. Mais elle répondait : « Je vais bien ». Elle a continué à pratiquer les exercices, à lire les livres de Falun Gong, à aller au travail en moto, et à marcher dans les rues pour distribuer des documents de clarification de la vérité. Finalement tout s'est bien passé, les médecins et infirmières étaient très étonnés. Lors d'un entretien, Shu-hui a dit : « Pour rassurer les médecins et infirmières, je suis allée accoucher dans l'hôpital que mon médecin m'avait recommandé. Finalement tout s'est bien passé et le bébé était en bonne santé. »

Se comporter comme un disciple de Dafa au travail

Il y a trois ans, après 18 ans d'ancienneté, l'entreprise de Shu-hui l'a transférée dans un bureau qui était plus éloigné de son domicile et dans le quartier le plus peuplé. Beaucoup de ses collègues l'ont mise en garde contre son nouveau directeur, qui était très difficile à satisfaire. Ils ont dit que les gens de son équipe changeaient le plus souvent par rapport à la norme dans tout le district.

Au début le travail de Shu-hui était très difficile. La charge de travail était très lourde, et souvent elle devait se dépêcher pour respecter les délais. Cependant, étant pratiquante, elle a cherché en elle ses propres insuffisances et cherché les bons côtés de son directeur. Elle a compris ses bonnes intentions de servir la communauté, et s'est efforcée de coopérer pour tout bien faire. Elle explique : « J'ai abordé les choses avec Authenticité-Bienveillance-Tolérance, et très vite, tous les problèmes ont été résolus. Le directeur a commencé à me faire confiance, et je n'ai plus vu que ses qualités. Il avait une attitude très positive envers Dafa. Il m'a autorisée à monter un point de pratique dans le centre d'activités, et de mettre des affiches « Falun Dafa est bon » et des informations sur les exercices sur les panneaux d'affichage. Il a aussi assisté aux spectacles de Shen Yun et a autorisé que l'annonce des spectacles de Shen Yun soit faite sur les panneaux électroniques de l'entreprise. Il m'a également permis d'inviter des pratiquants à échanger leurs expériences et à parler de Shen Yun. »

Traduit de l’anglais en France