(Minghui.org)
Je suis âgée de 74 ans cette année. Depuis que j'ai obtenu la Loi il y a 14 ans, je me suis toujours fixé des critères élevés pour étudier davantage la Loi. Il y a eu de merveilleux changements dans mon corps. Au cours des 14 dernières années, j'ai lu Zhuan Falun tous les trois jours, récité Zhuan Falun paragraphe par paragraphe quatre fois, et retranscrit Zhuan Falun une fois. En outre, j'ai étudié les conférences du Maître du monde entier et ai fini de réciter Hong Yin tous les 15 jours.
De merveilleux changements se sont sans cesse produits
Plusieurs maladies dont je souffrais et qui ne pouvaient pas être guéries par le passé ont disparu sans que j'y pense. Mon poids, qui avait augmenté à 105 kilos à cause de la maladie, est revenu à environ 60 kilos, et j'ai retrouvé ma forme normale. Mes rides sont devenues moins nombreuses, et ma peau est devenue délicate, me faisant paraître beaucoup plus jeune. J'étais devenue chauve dans la cinquantaine, mais mes cheveux noirs ont repoussé sans que j'y pense. Une nouvelle dent a également poussé bien que j'aie perdu cette dent il y a plus de 20 ans. Mon cycle menstruel s'était arrêté il y a 13 ans, mais deux ans après que j'aie commencé à pratiquer Falun Gong, il est revenu, bien que j'aie 62 ans.
Après avoir commencé la cultivation pratique, mon corps a changé de la tête aux pieds, et de l'intérieur vers l'extérieur. Aucun mot ne peut exprimer ma gratitude envers le Maître. J'ai décidé dans mon cœur : « Suis les paroles du Maître et franchis bien chaque étape de façon constante sur le chemin de la plénitude parfaite. »
Quand j'ai lu :
« Pourquoi ne pouvez-vous toujours pas abandonner le cœur des gens ordinaires ? Ne voulez-vous pas avancer encore d'un pas ? » (« Éliminez encore l’attachement » dans Points essentiels pour un avancement diligent) en 1998, de chaudes larmes ont jailli et coulé sur mes joues. Je me suis éveillée au fait que le Maître me parlait. J'ai été touchée par le salut bienveillant du Maître.
Mes enfants ont tous été témoins de mes changements physiques. Ma belle-fille disait souvent à ses amis : « Qu'importe ce que les autres ont commenté au sujet du Falun Gong, nous soutenons sa pratique tant qu'elle reste en bonne santé. »
S'avancer pour valider la Loi
Le Parti communiste chinois persécute le Falun Gong depuis le 20 juillet 1999. En tant que disciple de Dafa, comment dois-je sauvegarder Dafa ? J'ai partagé ma confusion avec mes compagnons de pratique, mais je n'ai pas obtenu la clarté recherchée.
Un matin, fin juin 2000, j'ai entendu un bruit quand je n'étais pas tout à fait réveillée : « Falun Dafa est bon. » J'ai compris par mon sens de l'éveil que je devais aller à Beijing pour rendre justice à Dafa. Dans les jours qui ont suivi, chaque fois que je me suis souvenue [des paroles] « Falun Dafa est bon, » j'ai pleuré malgré moi. Quand mon fils est revenu pour un repas sur l'heure du midi le 29 juin, je lui ai dit : « Je veux aller à Beijing. » Dès qu'il a entendu cela, il a immédiatement cessé de manger, et est parti avec son enfant, qui dormait. Plus tard, ma belle-fille est venue et m'a dit : « Votre fils a pleuré tout l'après-midi. Ne l'aimez-vous pas ? » J'ai compris que mon fils était inquiet pour ma sécurité. J'ai répondu à ma belle-fille « Je dois aller à Beijing. » Mon fils est revenu dans la soirée, et m'a demandé : « Maman, pourquoi devez-vous aller à Beijing ? » Je lui ai répondu patiemment : « C'est grâce au Maître si toutes mes maladies dont j'ai tant souffert ont toutes disparu. Le Maître les supporte toutes pour moi. Aujourd'hui, Jiang Zemin a si gravement calomnié Dafa. Mais alors, si je n'ose pas rendre justice à Dafa , et que le Maître me dit un jour que je suis arrivée à la plénitude parfaite, je ne pourrai pas rencontrer mon Maître avec grâce. » Mon fils a acquiescé. Je lui ai ensuite remis mes clefs en lui disant : « Si je ne suis pas revenue dans un mois, vous pourrez dépenser tout l'argent avec ma carte de débit. » À ce moment-là, j'ai vraiment abandonné la peur de la mort.
Je suis allée sur la place Tiananmen plusieurs fois début juillet 2000, mais je n'ai pas rencontré de compagnons de pratique. Puis j'ai pensé : « Si je ne croise pas les compagnons pratiquants demain, je vais m'asseoir en méditation et pratiquer les exercices au centre de la place. Après cela, je crierai : « Falun Dafa est bon, » et la police ne me verra pas. »
Je suis allée au milieu de la place Tiananmen le lendemain matin. Comme j'étais sur le point de m'asseoir après avoir déposé mon sac en plastique, une jeune femme est venue vers moi et m'a dit : « Allez là-bas. » Je lui ai demandé : « Pourquoi ? » Elle a répondu : « Le champ d'énergie là est fort ! » Immédiatement, j'ai compris que tous ces gens étaient des disciples de Dafa. Ils étaient tous assis au centre de la place, deux à trois personnes par groupe. Je leur ai demandé d'où ils venaient. Ils ont répondu : « Ne le demandez pas, nous sommes simplement des disciples de Dafa. »
Une pratiquante a apporté quelques T-shirts, avec les inscriptions « Le Falun de la Loi de Bouddha » qu'elle a sortis de son sac et nous a demandé de les porter. Certains d'entre nous ont alors pratiqué la deuxième série d'exercices, d'autres ont tenu la banderole qui disait : « Falun Dafa. »
La police est alors venue pour arracher la banderole. Les compagnons pratiquants ont cessé de faire les exercices et tous se sont réunis pour protéger la banderole. Les compagnons pratiquants dans les environs de la place sont également venus. A cet instant, la banderole « Falun Dafa » était protégée par un grand nombre de pratiquants. Nous nous sommes battus contre la police dans le centre pendant un temps assez long. Tandis que nous protégions la banderole, nous avons crié ensemble : « Falun Dafa est bon ! Authenticité Compassion Patience sont bons ! » Les cris ont même touché le ciel. Un policier a dit : « Pourquoi cherchons-nous à leur nuire en vain depuis si longtemps ? » Il y avait aussi de nombreux non-pratiquants qui regardaient avec curiosité, ils ont bougé avec nous.
Ensuite, les policiers nous ont encerclés et ont emporté la banderole. Nous avons tous été mis dans les voitures de police. Ensuite, nous avons clarifié la vérité au sujet du Falun Gong aux policiers dans la voiture et leur avons dit que nous étions toutes de bonnes personnes. Le conducteur, qui avait compris la vérité, a ralenti. Nous avons ouvert les fenêtres et crié de nouveau ensemble : « Falun Dafa est bon ! Authenticité Compassion Patience sont bons ! »
Au département de police, un policier m'a demandé d'où je venais. J'ai répondu : « Je suis une disciple de Dafa. Après avoir pratiqué le Falun Gong, toutes mes maladies ont disparu. Tous les disciples de Dafa sont de bonnes personnes, nous sommes altruistes et pensons toujours aux autres en premier. »
Dans la cour du département de police, les pratiquants ont récité des poèmes de Hong Yin ensemble, et ont crié : « Falun Dafa est bon ! Authenticité Compassion Patience sont bons ! » Nous avons également partagé nos expériences de cultivation, étudié les conférences du Maître, et avons pratiqué les exercices ensemble.
Au coucher du soleil, les policiers ont envoyé les pratiquants, voiture par voiture, dans un centre de détention, laissant derrière dix pratiquantes, dont moi-même, ainsi qu'un jeune homme avec un enfant. Nous avons été libérés, et puis nous sommes rentrés séparément.
Nous n'avons ni mangé ni bu, ce jour-là, mais nous n'avons eu ni faim ni soif. Nous n'avons pas été aux toilettes non plus. Ce n'est que lorsque je suis rentrée chez moi que je me suis aperçue que mon front du côté droit était gonflé, gros comme un noyau de pêche, et que mon bras gauche était si douloureux que je n'ai pu le lever pendant deux semaines.
Depuis juillet 2000, j'ai continué à clarifier la vérité et distribuer des documents d'information pour les gens de ma région, face à face. J'ai également distribué des documents aux compagnons de pratique. Par ailleurs, j'ai acheté un ordinateur, une imprimante et un enregistreur, et ai mis en place un site de production de documents de clarification de la vérité.
Nier les arrangements des forces anciennes par la pensée droite
Le 5 mars 2001, les administrateurs de mon entreprise m'ont envoyée de force dans un centre de lavage de cerveau de la région et ont déclaré que mon fils était congédié. (Nous travaillions dans la même entreprise.) Ils ont voulu utiliser les membres de ma famille pour me faire pression en les impliquant. Cependant, mon fils ne s'est jamais plaint à moi et a continué à très bien me traiter après avoir été licencié. Au centre de lavage de cerveau, j'ai pensé : « Je dois partir ! » Avec cette seule pensée, et avec l'aide du Maître, j'ai réussi à sortir du centre de lavage de cerveau à la vue de tous. Je suis sortie de la ville en taxi, et j'ai loué une chambre et acheté des produits de première nécessité.
Une nuit dans mon rêve, un être pervers a voulu m'intimider. J'ai dit : « Mie » et j'ai réussi à pétrifier l'être pervers. Après m'être éveillée, j'ai compris : « Il n'y a rien de mal à être une bonne personne en suivant Authenticité Compassion Patience. En outre, j'ai des capacités supranormales. Pourquoi dois-je craindre la perversité ? Pourquoi dois-je quitter ma maison ? Je veux y retourner ! » J'ai donné tout ce que j'avais acheté au propriétaire et j'ai ainsi entièrement payé mon loyer. Puis je suis allée à la maison. Trois jours après mon retour, les administrateurs de ma compagnie m'ont trouvée et m'ont dit d'aller au centre de lavage de cerveau. Je leur ai demandé : « Je pratique le Falun Dafa et je suis une bonne personne. Pourquoi voulez-vous me transformer ? J'avais tellement de maladies avant, mais elles ont toutes disparu après que j'aie commencé à pratiquer et à cultiver. C'est chose bien connue ici. Permettez-moi de vous dire un principe céleste. Bien traiter Dafa et les disciples de Dafa vous apportera de bonnes récompenses, tandis que persécuter Dafa et les disciples de Dafa vous méritera le châtiment. » Ils ont eu peur après avoir entendu cela, et puis ils sont partis.
Dans l'après-midi du 28 juin 2002, j'ai été suivie par des policiers qui m'attendaient à l'extérieur de ma maison. Ensuite, ils m'ont arrêtée alors que je distribuais des documents de clarification de la vérité . Ma maison a été également pillée. J'ai protesté en faisant une grève de la faim, et je leur ai révélé leurs méfaits, face à face. Le lendemain, ils m'ont envoyée dans un centre de détention de la région.
Au le centre de détention, un médecin m'a demandé : « Quelles maladies avez-vous eu dans le passé ? » Je lui ai dit au hasard : « J'avais une pression artérielle élevée. » Il m'a ensuite examiné et a trouvé que j'avais la tension artérielle très élevée (jusqu'à 180). Les médecins du centre de détention n'ont pas voulu me recevoir, et ils ont dit à la police : « Nous allons la libérer si vous ne venez pas la chercher dans les cinq jours. » J'ai continué à faire la grève de la faim dans le centre de détention et ai refusé de signer quoi que ce soit ou de prendre des photos. J'ai expliqué aux personnes présentes combien Dafa est merveilleux, et j'ai révélé la vérité au sujet de l'incident de l'auto-immolation de la place Tiananmen et que le tout avait été arrangé pour calomnier et persécuter Falun Gong. Pendant les cinq jours au centre de détention, j'ai récité : « Lunyu » et « Un Dieu juste » tous les jours, et je me suis disciplinée en accord avec le contenu de « Un Dieu juste » Par exemple, je me suis assurée que ce que je pensais et faisais aujourd'hui venait de pensées droites et de comportement droits et si j'avais été diligente et j'éliminais les interférences démoniaques.
Cinq jours plus tard, j'ai été envoyée au centre de lavage de cerveau. Le lendemain, tous mes enfants sont venus me rendre visite. Mon beau-fils aîné, qui ne pratiquait pas à l'époque, a essayé de me convaincre en présence de la police d'abandonner la pratique du Falun Gong. J'ai demandé à mes enfants : « Si je ne pratique pas, toutes mes maladies reviendront ! Qui prendra alors soin de moi ? » Ma belle-fille a répondu : « Je m'occuperai de vous pendant 40 ans. » J'ai demandé : « Qui va payer pour tout ? » Ma fille aînée a répondu : « Je le ferai. » J'ai dit : « Combien allez-vous payer ? Quand allez-vous payer ? Vous devez signer votre nom et faire votre marque. » Ma fille aînée a immédiatement répondu : « On dirait que je ne suis pas filiale. » J'ai dit : « Après que j'ai commencé à pratiquer, le Maître m'a débarrassée de toutes les maladies et m'a rendu la santé. Je vais bien, que vous veniez me rendre visite ou pas. Si je ne pratique pas, toutes les maladies reviendront. Alors, vous devrez venir à l'hôpital pour vous occuper de moi chaque jour. Comment vous occuperez-vous alors de vos affaires ? Votre entreprise et votre carrière seront alors détruites. » Après avoir entendu cela, les policiers sont partis tout de suite. Le lendemain après-midi, mes enfants m'ont ramenée à la maison.
Un jour, à la mi-juillet 2005, je rentrais à la maison et j'avais mis, un peu au hasard ,des dépliants clarifiant la vérité dans plusieurs sacs de vélo. Plus tard, une voiture de police a soudain traversé en face de moi du côté droit et s'est arrêtée à deux mètres de moi. Une autre voiture de police est aussi apparue soudain et s'est arrêtée à ma droite. Immédiatement, j'ai réalisé qu'ils venaient pour m'arrêter. Les paroles du Maître me sont venues à l'esprit à cet instant : « [...] un cœur sans agitation, peut dominer dix mille agitations. » (« Éliminer le dernier attachement » dans Points essentiels pour un avancement diligent II) Tout en continuant à marcher, j'ai émis les pensées droites vers la voiture de police en face de moi : « Éliminer toute la perversité » Dès que j'ai envoyé les pensées droites, cette voiture de police a immédiatement quitté vers une artère principale à ma gauche. J'ai continué à marcher librement. Quand j'ai été à deux ou trois mètres de là, j'ai regardé en arrière, et ai constaté que la voiture de police qui s'était arrêtée juste devant moi était déjà assez loin et la voiture de police qui s'était arrêtée de mon côté droit était toujours garée là. J'ai dit dans mon cœur à la voiture stationnée : « Va-t'en ! Ne persécute plus les disciples de Dafa. »
Bien que cette scène se soit passée en un éclair, cela m'a permis de témoigner personnellement du pouvoir de Dafa, de croire fermement en Maître et Dafa, et a permis à mon cœur de ne pas être agité par la perversité.
Merci, Maître! Merci, mes compagnons de pratique! Heshi.
Traduit de l'anglais au Canada
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