Soumis pour la Journée mondiale du Falun Dafa

(Minghui.org)

Je suis né dans une famille pauvre et j'ai été malade depuis mon enfance. La famille de mon mari est également pauvre. Mon mari était alcoolique, il me frappait souvent et m'agressait verbalement lorsqu'il était saoul. Mes trois enfants étaient faibles et tombaient facilement malades. Je pleurais presque tous les jours.

Je devais aller à l'hôpital presque chaque jour recevoir des injections ou des médicaments. J'avais des douleurs d'un côté de la tête et ne pouvais ouvrir les yeux. Je ne supportais pas la lumière du soleil. J'avais une infection de l'utérus. Je souffrais tellement du ventre que je pouvais à peine rester debout. J'ai subi une hémorragie utérine intense pendant environ six mois. J'ai eu une prolifération de glandes mammaires et des amygdales enflammées pendant plus d'un mois. Parfois, je crachais du sang. En plus de toutes ces misères physiques, il y avait toujours des conflits parmi nos proches. Je me sentais tellement déprimée que j'ai pensé au suicide plusieurs fois. Je criais littéralement : « Pourquoi moi ? » Pourquoi souffrais-je tant ? Qui pourrait me sauver ?

En 1997, mon fils aîné est tombé dans les toilettes et s'est fracturé le crâne. Lorsqu'il avait dix ans environ, il avait été traumatisé par mon mari saoul. Après quoi, il avait la diarrhée environ cinq fois par nuit, et il avait fréquemment des convulsions. Chaque fois qu'il faisait une rechute, j'étais inquiète pour sa vie.

Après être rentrés d'une autre province où nous avions fait soigner notre fils, le plus jeune fils est tombé et s'est blessé le bras. Quelques jours plus tard, ma fille a eu ses premières règles, mais elle n'arrêtait pas de saigner. Son visage est devenu jaune et nous avons visité tous les hôpitaux à la recherche d'aide. Ensuite le plus jeune fils a commencé à sentir une compression dans la poitrine. Une maladie congénitale du cœur a été diagnostiquée à l'hôpital du canton. Le médecin a suggéré que nous l'emmenions le faire soigner à Jinan. Cette nouvelle a été comme un coup de tonnerre au milieu d'un dimanche ensoleillé. J'étais pétrifiée d'inquiétude. Une telle vie est difficile à endurer.

La nuit avant d'aller à Jinan, je me suis agenouillée dans la cour pour offrir de l'encens au Bouddha. Auparavant, j'avais essayé de chercher l'aide divine et les bénédictions du Bouddha. J'ai prié pour rencontrer un maître de qigong qui pourrait soigner directement les maladies. À cette époque, je vivais dans la campagne éloignée et je n'avais jamais entendu parler du Falun Gong. Dans les profondeurs de mon désespoir, j'ai présenté une prière ardente aux divinités et aux Bouddhas en les suppliant d'avoir pitié de moi et de m'aider à trouver quelqu'un qui puisse sauver mon fils.

Cette nuit-là, j'ai fait un rêve : une porte s'ouvrait sur le côté nord-est de la maison. Il y avait un grand potager. Toutes les plantes semblaient riches et chargées de fruits. Dans l'étang des lotus, les feuilles de lotus paraissaient verdoyantes. Dès que je me suis réveillée, j'ai su que j'avais fait un bon rêve et que cela indiquait que j'aurais de la chance à Jinan et que je rencontrerais une personne hautement compétente.

Après que nous soyons arrivés à Jinan, nous sommes restés dans l'auberge en face de l'hôpital. Le garde à l'entrée de l'auberge était en fait un de mes vieux amis. Il a suggéré que j'apprenne le Falun Gong. C'était la première fois que j'entendais ce nom. Mais comment arriverais-je à me concentrer pour étudier pendant que mon enfant était malade ? Il m'a amené une copie de « Zhuan Falun », mais je n'arrivais pas à me calmer assez pour pouvoir lire un seul mot.

Je ne pouvais pas accepter le premier diagnostic, je suis donc allé dans un deuxième hôpital dans la province du Shandong. Il y avait tellement de patients en attente d'être examinés que cela a pris deux jours, entre l'inscription jusqu'à l'examen. J'étais très inquiète. J'ai dit au médecin : « Je viens d'un canton à près de 1000 km d'ici. Il n'y a pas d'école pour le moment. Pouvez-vous nous voir ce matin ? » La médecin a répondu : « Je viens du même canton. Je vais voir cela tout de suite. » Lorsqu'elle a eu fini, elle a été demander confirmation auprès d'un spécialiste. Le spécialiste semblait nous attendre. Il a dit : « N'ayez crainte ! Il n'y a pas besoin d'opération à coeur ouvert. Une petite incision suffira. » Mon cœur s'est soudainement détendu.

Plus tard, après que j'aie obtenu la Loi, j'ai compris que tout avait été arrangé par le Maître pour m'aider à rencontrer Dafa.

Après que mon cœur soit libéré des inquiétudes pour mon fils, lorsque je suis revenue et suis passée devant sa porte, j'ai demandé à mon ami : « Faites-moi lire le livre que vous m'avez conseillé. » J'ai ouvert « Falun Gong de Chine » (Édition révisée.) Je me suis exclamée : « Wow. C'est le Bouddha vivant ! » J'ai emporté le livre à l'auberge et l'ai lu avec empressement. Chaque mot m'a éveillée et a secoué mon cœur. Je l'ai lu si avidement que j'en avais mal aux yeux. Je voulais le lire entièrement. C'est exactement ce que j'avais cherché.

En lisant, je me suis dit : « Je vais écouter le Maître et ne pas créer plus de karma. Je dois devenir une bonne personne. » De suite, j'ai senti mon cœur s'alléger et j'ai respiré plus facilement. Je me suis instantanément sentie éjectée du monde terrestre. C'était le 22 septembre. Je me souviendrai à jamais de ce jour heureux.

Ce jour-là, j'ai appris les exercices avec mon ami. Le deuxième jour, vers 4h du matin, je suis allé avec lui au site de pratique à la Montagne des Mille Bouddhas. L'assistante m'a permis d'amener mon enfant et mon mari avec sa famille pour écouter les conférences du Maître à Jinan. Alors que j'étais assise sur le tapis en train d'écouter la conférence du Maître, je me suis sentie soulevée. Mon enfant avait dix ans à cette époque. Il a dit avoir tout compris. Il a émis le souhait de pratiquer le Falun Dafa. Cependant, son père a insisté pour qu'il se fasse opérer, nous avons donc rempli le formulaire de l'hôpital. Nous avons avancé 3'000 yuans de caution. Je venais de commencer à étudier la Loi et je ne savais pas quoi faire, je suis donc allé parler à l'assistante. Elle m'a parlé de quelques miracles qui étaient arrivés à d'autres pratiquants. Pendant qu'elle parlait, j'ai pleuré. Elle a dit que la Loi sauvait les personnes prédestinées. Mon cœur a tremblé et j'ai pleuré. Trois assistants sont venus dans la soirée. Je me suis levée brusquement et j'ai dit : « Pas de chirurgie ! Je vais annuler l'acompte demain. » J'ai mis toute ma confiance dans le Maître.

Le deuxième jour, nous avons annulé notre caution et mon mari a ramené les livres de Dafa à la maison. Mon enfant et moi sommes restés à l'auberge pour pratiquer. Le troisième jour d'écoute des conférences du Maître à Jinan, mon enfant a dit qu'il sentait quelque chose tourner dans le bas-ventre. Sa poitrine ne se sentait plus comprimée, et il montait et descendait facilement les escaliers. Il était si heureux et n'arrêtait pas de dire : « Le Maître m'a guéri. Je vais de mieux en mieux, jour après jour. Je sens que je me suis rapidement amélioré. Tout me semble beau. Tout le monde me semble bon. Je me sens comme au Ciel ! »

Après avoir terminé les conférences du Maître à Jinan, j'ai appris comment pratiquer les cinq exercices. L'assistante m'a également donné des copies de tous les livres de Dafa publiés. Dès que je suis rentrée à la maison, ma fille m'a dit qu'après avoir lu « Zhuan Falun », elle avait été en bonne santé et s'était débarrassée de tous les médicaments qu'elle prenait. Mon fils aîné était également de bonne humeur. C'était la première fois de ma vie où je me souvienne avoir ressenti un réel bonheur et une réelle paix.

En seulement sept jours, toute ma famille est passée de vivre dans la tristesse à vivre dans la joie. De la malchance aux bénédictions. Le changement a été si radical ! J'ai pensé : « Maître, vous avez sauvé toute ma famille de l'enfer au ciel. Je dois pratiquer dur et parler à tous ceux que je connais de Dafa afin que plus de gens puissent en bénéficier. » Depuis lors, chaque fois que quelqu'un est à la maison, vous pouvez entendre quelqu'un lire les conférences du maître à Jinan ou jouer la musique des exercices.

Toute ma famille est immergée dans la lumière du Bouddha. Pas de souffrance. Pas d'inquiétude. Juste des rires et des conversations joyeuses. « Maman, as-tu maintenu ton niveau de xinxing aujourd'hui ? » ou « Aujourd'hui, je voulais te ramener quelques papiers. Cependant, j'ai tout de suite pensé à la Loi du Maître, et je les ai remis. » ou « Mon ami m'a frappé, mais je ne lui ai pas rendu de coups. Ils m'ont crié dessus, mais je ne leur ai pas répondu. Je suis très heureux. » Mes enfants et moi-même étudions diligemment la Loi et pratiquons les exercices. Nous avons une meilleure santé, mentalement et physiquement.

Mes voisins, collègues et amis me tiennent en haute estime. Ils font tous l'éloge du miracle du Falun Gong – pas simplement pour guérir les maladies, mais pour le plus important, de nous avoir guidés à nous cultiver pour devenir de meilleures personnes.

Certains de nos parents ont entendu parler des changements incroyables dont nous avons fait l'expérience et sont venus vers nous apprendre Dafa. Ma maison est devenu un site de pratique. Chaque soir, entre 12 et plus de 20 personnes venaient étudier et pratiquer. Chaque dimanche et jour férié, quelqu'un venait apprendre le Falun Gong. Lorsque de nombreuses personnes se sont jointes, nous avons établi un site d'exercices dans le village et nous avons commencé à pratiquer chaque matin à 4h. Comme c'était situé sur le marché, même les gens qui vivaient loin ont rapidement entendu parler du Falun Gong.

Il y a cinq personnes dans la famille d'une relation éloignée de ma petite-fille. Ils étaient tous malades, allant constamment à l'hôpital. Ils avaient cherché de l'aide partout. Les trois enfants avaient de l'asthme et aucun médicament n'arrivait à les soulager de leur souffrance. Son mari avait la colite. Il n'osait pas manger de pastèque ni d'autre fruit. Il était si faible qu'il ne pouvait pas travailler. Le médecin disait qu'aucun médicament ne pouvait le guérir. Ma petite-fille souffrait constamment d'insupportables douleurs d'estomac. Lorsque son mari a entendu dire que ma famille s'était entièrement rétablie après avoir pratiqué le Falun Gong, il l'a envoyée vers moi pour que je lui enseigne Dafa.

Ma petite-fille ne pouvait ni lire ni écrire, mais elle comprenait la Loi en écoutant les conférences. Elle louait la Loi encore et encore. Elle a emmené son mari pour étudier avec elle. Au bout de six ou sept jours seulement, le Maître a purifié son corps. Son mari est allé constamment aux toilettes pendant plusieurs jours. Ses beaux-parents étaient inquiets et lui ont demandé d'aller à l'hôpital. Cependant, ils savaient ce qu'il se passait. Il a étudié la loi et s'est complètement rétabli. Il pouvait boire et manger ce qu'il voulait. Il pouvait manger de la pastèque et tout autre fruit. Plus d'un mois plus tard, il resplendissait de santé. Ses trois enfants ont été guéri de l'asthme. Ils ont dit à leur père : « Parce que tu pratiques, le Maître prend également soin de nous. Nous bénéficions de ta pratique. »

Aujourd'hui, ma famille est très heureuse. Mes trois enfants sont en très bonne santé et vivent bien. Mon fils aîné est déjà marié et a un fils. Mon petit-fils est intelligent et adorable. Dès qu'il a pu parler, il a dit : « Dafa est bon ! » En vacances, mon mari brûle de l'encens et prépare des plats délicieux et les place devant l'image du maître en guise de respect. Il tient même les mains de notre petit-fils pour se prosterner devant le Maître.

Le Maître a sauvé ma vie. Je ne suis pas capable de remercier suffisamment le Maître. Que puis-je faire pour rembourser le Maître de sa grâce ? Je ne peux qu'écouter ses paroles, m'assimiler aux principes de Dafa, et parler de Dafa aux autres afin qu'ils puissent en bénéficier.

Traduit de l'anglais en France