(Minghui.org)

Par un pratiquant de Dafa de Shuangcheng, province du Heilongjiang



Lire la première partie à http://fr.minghui.org/news/1106/06/E125679_20110601_fr.html


Après avoir étudié la Loi et pratiqué les exercices, certains d’entre nous se sont réunis en petits groupes pour discuter de nos expériences de ‘cultivation’—comment nous avons éliminé nos maladies, vu des améliorations dans notre santé et amélioré notre caractère, et comment parfois aussi nous nous focalisons trop sur la sentimentalité. Nous avons eu un grand échange sur les expériences de ‘cultivation’.



Photos historique: Conférence de partage d’expérience de ‘cultivation’ de Dafa dans la ville de Shuangcheng, avant le 20 juillet 1999.


Lors de la conférence de la Loi, un pratiquant qui était aussi un bon photographe a pris des photos, et nous avons vu plus tard sur beaucoup d'entre elles apparaître un symbole du Falun (roue de la Loi).



A un moment, nous avions davantage de telles photos, mais après que le Parti communiste chinois ait commencé à persécuter Falun Gong, le 20 juillet 1999, beaucoup ont été confisquées à nos domiciles lorsqu’ils ont été fouillés, ne nous en laissant aujourd'hui qu’une poignée.


Afin de remercier Maître pour son salut compatissant, nous avons organisé de nombreuses activités, y compris les plus populaires à cette époque, comme la calligraphie, la peinture, la broderie et la photographie.


A l’automne 1996, les pratiquants de Shuangcheng ont organisé leur première exposition de poésie, calligraphie et peintures de pratiquants. Il s’agissait de la troisième exposition dans le pays. L’objet exposé le plus extraordinaire était un Falun fait par un pratiquant de Dafa. Le Falun tournait continuellement, neuf fois dans le sens des aiguilles d’une montre puis neuf fois dans le sens inverse.



Photos historiques: A l’automne 1996, les pratiquants de Shuangcheng ont organisé la première exposition de poésie, calligraphie et peintures inspirées par Falun Dafa.


Les photos ont été prises lors de l’exposition, mais la plupart ont été détruites après le 20 juillet 1999, et actuellement, il en reste moins de dix.


En mai 1998, les pratiquants de Shuangcheng ont organisé leur seconde exposition de calligraphie, peintures et broderies. Elle a eu lieu au troisième étage de l’université technique d’Agriculture.


La seconde année, davantage d'habitants de Shuangcheng sont venus voir l'exposition. Voyant les œuvres créées par les pratiquants de Dafa, les gens ressentaient de l’admiration pour le Maître et les pratiquants. Beaucoup ont été inspirés à entreprendre la cultivation de Dafa.


Il y avait plus de 300 œuvres de poésies, peinture et broderies exposées. S’y trouvaient aussi des paroles qui résumaient les sentiments derrière l’exposition: «…Chaque trait, point, ou mot traduit le plus grand respect pour le Maître et Bouddha...» Beaucoup de pratiquants ont réussi à prendre des photos qui sont aujourd'hui très précieuses.


















Après les événements du 25 avril, et sous la pression de la persécution organisée par le PCC, les pratiquants n’ont pas pu organiser la troisième exposition de Falun Dafa.



(Photo: Les oeuvres restantes qui devaient être exposées lors de la troisième exposition de Falun Dafa planifiée originellement en 1999).






5. Des pétitions légales, à sauver les êtres sensibles


Le 13 mai 1992, Falun Gong (Falun Dafa) a été rendu public dans la ville de Changchun. La pratique a continué pour être enseignée dans plus de deux mille villes et cantons, avec plus de cent millions de pratiquants dans la seule Chine continentale. A Shuangcheng, sur une population de prés de 800000 personnes, il y a avait environ 10000 pratiquants. Ce nombre est cohérent avec les résultats de l’étude: "Etude sur les conditions physiques et mentales de 100 pratiquants de Dafa."



Les pratiquants de Shuangcheng ont entendu parler des protestations qui devaient se tenir dans la rue Fuyou à Pékin après avoir discuté avec les compagnons de pratique de l’extérieur de la ville, le 25 avril 1999. Ce soir-là, 33 pratiquants de Shuangcheng ont pris le train pour Pékin. Ils y sont allés seulement pour dire la bonté du Falun Dafa. Lorsque le train a atteint Tieling dans la province du Liaoning, il s’est soudain arrêté et n’a pas bougé pendant trois heures. Soupçonneux, certains pratiquants dans le train sont entrés en contact avec les compagnons de pratique de Pékin et ont été informés que l’arrêt avait peut-être un lien avec la manifestation. Ils ont aussi appris que le premier ministre Zhu avait parlé aux représentants de Dafa, que l’incident de Tianjing avait été résolu et que les pratiquants étaient partis. Entendant cela, les pratiquants de Shuangcheng sont rentrés chez eux.


Bien qu’il fût vrai que le premier ministre Zhu avait résolu pacifiquement la manifestation du 25 avril, l’ancien responsable du PCC, Jiang Zemin a insisté pour persécuter Falun Gong, mû par sa nature jalouse. Le 25 avril, il a écrit secrètement une lettre au Comité politique permanent central du PCC, ainsi qu'aux autres niveaux de l’organisation.


Bien que les dirigeants du comité politique de Shuangcheng savaient que les pratiquants de Dafa étaient un groupe de personnes moralement droites, sous la pression des membres puissants du PCC et le désir de maintenir leur position, ils ont commis de mauvaises actions.


Les sites de pratique de Falun Gong face à différents bureaux d’entreprises ont été harcelés, et le personnel de la sécurité a reçu l’ordre de disperser les pratiquants qui pratiquaient simplement leurs exercices matinaux. Les librairies ont reçu l’ordre de cesser de vendre des livres de Falun Gong; certains étaient même pénalisés si elles n’obéissaient pas. Certains cadres supérieurs dans les entreprises ont tenté d’influencer leurs employés du Falun Gong de cesser la pratique, et ne leur permettaient plus de pratiquer le matin devant leurs bâtiments. Les bureaux de postes et les compagnies ferroviaires ont reçu l’ordre de surveiller et de rapporter toute activité de groupe de Dafa .


A cause de cette situation injuste et pour clarifier la vérité de Dafa, certains pratiquants se sont rendus au Bureau des appels de Shuangcheng, alors que d’autres envoyaient des lettres au bureau des appels du PCC et au département d’état. Mais les appels honnêtes et sincères des pratiquants ont été utilisés contre eux. Après le 20 juillet 1999 ils les ont fait mettre sur une liste noire et ont été conservés comme «preuves» pour la persécution.


Au début, les tactiques brutales du PCC étaient cachées. En public, ils disaient que les gens avaient le droit de croire ou non en la pratique de qigong de leur choix, et que les affirmations selon lesquelles ils persécutaient le Falun Gong n'étaient que des rumeurs. Mais en coulisses, ils se préparaient pour l'aujourd'hui célèbre date cible du 20 juillet.


Certaines personnes retraitées du bureau de la sécurité sont allées jusqu’à réunir en secret des informations sur les sites de pratique de Falun Gong, se présentant comme des personnes intéressées par l’apprentissage des exercices.


Le 21 juillet 1999, quatre pratiquants des sites de pratique de Harbin ont été enlevés par le bureau de la sécurité publique locale. Certains d’entre nous en ont entendu parler plus tard. Nous n’avions aucune idée de là où ils avaient été emmenés. Repensant aux rumeurs qui circulaient ces derniers mois, en particulier sur des fonctionnaires de Shuangcheng interférant avec les pratiquants locaux, la plupart d’entre nous pensait qu’il était nécessaire pour nous de pétitionner auprès du gouvernement provincial de Heilongjiang, pour nos droits et nous plaindre du traitement injuste. Même sans organiser intentionnellement les gens, dans la nuit du 21 juillet 1999, chacun était spontanément prêt à pétitionner auprès du gouvernement provincial de Heilongjiang. Cette nuit-là, il pleuvait.


Pour une petite ville ayant prés de dix mille pratiquants, un petit élan dans une certaine direction fera naturellement progresser les choses et deviendra un mouvement organisé. Dés que la gare de Shuangcheng eut vendu environ 30 billets, ils ont immédiatement cessé d’en vendre parce qu’ils suspectaient que quelque chose se tramait. Sans se décourager, les pratiquants ont loué des monospaces. Le 22 juillet 1999, à 3h30 du matin, des pratiquants de Falun Gong de tous les endroits de la province du Heilongjiang se sont tenus calmement et en ordre devant les bureaux provinciaux de Heilongjiang.


Les pratiquants demandaient la libération des pratiquants de Harbin arrêtés, d'obtenir un environnement libre dans lequel ils puissent pratiquer sans être inquiétés, et d'autoriser la publication des livres de Falun Gong. En réponse, les fonctionnaires provinciaux ont non seulement ignoré leurs demandes, mais ont aussi envoyé la police anti-émeute se confronter aux pratiquants.


Des haut-parleurs sur les camions de propagande continuaient à annoncer encore et encore: «Vous devez quitter cette zone dans 15 minutes. Sans cela, nous ne serons pas responsables des conséquences!» La Télévision centrale du PCC a filmé les pratiquants qui étaient alignés des deux cotés de la rue, et les caméras de sécurités sur les toits des bâtiments provinciaux continuaient à filmer les pratiquants pacifiques en bas. Finalement, la police armée a obligé les pratiquants à entrer de force dans les bus, et les a emmenés dans le Stade de Harbin.


Au stade, les pratiquants ont été à nouveau rassemblés dans de grands bus qui les ont emmenés à différentes écoles. Là, on leur demandait individuellement de remplir un formulaire. Les informations fournies étaient utilisées pour appeler leur poste de police local, qui recevait l'ordre de venir chercher les pratiquants. Ces derniers étaient alors ramenés en bus à divers postes de police de Shuangcheng, où les photographes étaient amenés. Après cela, les employés, les bureaux de rue, les chefs de communautés et les comités de villages du PCC ont été enrôlés pour aider à la persécution.


Le 22 juillet à 15 heures, les principaux media dans toute la Chine ont lancé une campagne diffamatoire contre Falun Gong. Dans le même temps, la police à l'échelle du pays a reçu les ordres d'arrêter et de fouiller les véhicules à la recherche de pratiquants. Si certains étaient découverts, ils étaient arrêtés et détenus. Finalement, trois des écoles élémentaires de Shuangcheng—la 2nde, la 3eme et la 8eme—étaient pleines de pratiquants détenus, qui s'étaient impliqués dans la pétition.


Le 22 juillet 1999, deux responsables du centre de Falun Dafa de l’agglomération de Shuangcheng ont été arrêtés et emmenés au centre de détention. Un pratiquant a été condamné à deux ans de travaux forcés. L’autre a été libéré sous caution, mais, plus tard, a été arrêté à nouveau et emmené au centre de détention pour être allé à Pékin faire appel au nom du Falun Gong. Il a été persécuté à mort dans le centre de détention de la ville de Shuangcheng. Il s’agissait de Zhou Zuichang, responsable du département des forces armées de la municipalité Handian, Shuangcheng.


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Le 22 juillet 1999, de nombreux pratiquants se sont rendus au gouvernement provincial de Heilongjiang pour faire appel au nom du Falun Gong. Après cela, tous ceux qui étaient enregistrés comme pratiquants de Falun Gong à Shuangcheng ont été harcelés, arrêtés et gravement persécutés par différents moyens.


Certains ont été forcés «d’admettre leur erreur» à la TV, sans quoi ils seraient licenciés et perdaient leur emploi.


D’autres ont reçu l’ordre d’écrire une déclaration publique selon laquelle ils abandonnaient la pratique du Falun Gong, là où ils travaillaient. Ce qui n'était pas sans rappelé les événements de la Révolution culturelle.


Les personnes responsables des sites de pratique étaient constamment harcelées par la police et chassées de leur domicile pour les forcer à admettre leurs «problèmes». Ils étaient aussi surveillés en permanence.


De plus, tous les pratiquants de Falun Gong ont été forcés à regarder des vidéos diffamant le fondateur de Falun Dafa, et à rendre tous leurs livres de Falun Gong.


Les personnes gravement empoisonnées par les média du Parti communiste chinois (PCC) prenaient les pratiquants de Falun Gong pour des personnes bizarres. Et ceux qui n’étaient pas clairs sur la vérité regardaient Falun Dafa de haut.


Face à tant d’injustice, certains ont abandonné la pratique. Cependant, de nombreux pratiquants de Shuangcheng ont fait un pas en avant, risqué leur vies et se sont rendus à Pékin pour faire appel au nom du Falun Gong.


A l'époque, beaucoup de gens pensaient que les dirigeants du gouvernement central avaient initié la persécution du Falun Gong parce qu’ils étaient confus et ne connaissaient pas la vérité à propos du Falun Gong. En juillet 1999, parmi les pratiquants de Shuangcheng allés à Pékin faire appel au nom du Falun Gong, presque aucun n’était conscient que la grandeur de Falun Gong révélait les mensonges du PCC ainsi que l'étendue de sa perversité et de sa violence , et que c’était la raison pour laquelle le PCC ne pouvait tolérer Falun Gong.


Les pratiquants qui sont allés à Pékin faire appel au nom du Falun Gong ont été arrêtés et ramenés à Shuangcheng, un groupe après l’autre. Ils ont reçu de lourdes amendes, puis été détenus dans les centres de détention ou condamnés aux travaux forcés. Ils étaient traités de la sorte simplement pour avoir crié: «Falun Dafa Hao [Falun Dafa est bon]», place Tiananmen! Cependant, les pratiquants ont persisté à se rendre à Pékin et faire appel pour Falun Dafa. Ils voulaient simplement clarifier les faits au gouvernement, mais ils ont été condamnés aux travaux forcés, à des peines de prison ou persécutés à mort.



(Photo historique: La bannière que les pratiquants de Falun Gong de Shuangcheng utilisaient lorsqu’ils allaient à Pékin faire appel au nom du Falun Gong, après le 20 juillet 1999.)


Après sérieuse réflexion, les pratiquants ont réalisé que faire appel ne fonctionnait pas parce que le Bureau des Appels n’existait que de nom. Ils sont devenus plus matures et ont entrepris le voyage de clarification des faits à leurs concitoyens grâce à une variété de moyens. Ils voulaient simplement dire à ceux qui n’étaient pas clairs sur la vérité: «Zhen-Shan-Ren Hao [Authenticité-Compassion-Tolérance est bon]. Notre Maître est innocent! Falun Dafa Hao [Falun Dafa est bon].»


Chengxumen (communément connue à Shuangcheng comme la Porte de l’Est) a été témoin du voyage de Falun Dafa à Shuangcheng. Avant le 20 juillet 1999, de nombreux groupes de pratiques et activités visant à diffuser la Loi, s’y sont déroulés. Après le 20 juillet 1999, la première bannière de clarification des faits de Falun Dafa a été suspendue sur le site local. On pouvait y lire: «Falun Dafa Hao [Falun Dafa est bon]» en caractère rouge sur fond jaune, elle a attiré de nombreuses personnes qui s'arrêtaient. Les gens en ont parlé pendant longtemps.



(Photos historiques: Les pratiquants des villages et municipalités de l’agglomération de Shuangcheng pratiquant les exercices et diffusant la Loi devant Chengxumen avant le 20 juillet 1999)



(Des banderoles où on pouvait lire: «Falun Dafa Hao [Falun Dafa est bon]» suspendues par des pratiquants de Falun Gong dans la ville de Shuangcheng)


Le 21 octobre 2000, certains pratiquants de la municipalité de Shuangcheng se sont rassemblés pour discuter sur la façon d'apprendre aux gens la vérité s'agissant de la persécution du Falun Gong. Dans la nuit, des affiches et des imprimés qui exposaient la persécution perverse de Falun Gong, initiée par le dirigeant du parti d’alors, Jiang Zemin, ont été collés partout dans Shuangcheng. Le matin suivant, chacun à Shuangcheng attendait impatiemment de lire les imprimés de Falun Gong.


Dès lors, ceux qui vivaient à Shuangcheng ont pu accéder à la vérité par divers moyens. Ils voyaient souvent des banderoles voler au vent, dans des endroits élevés. Les vendeurs des stands trouvaient souvent des imprimés à leurs portes. Les gens qui conduisaient des bicyclettes étaient souvent surpris de découvrir des DVD de clarification dans leurs paniers après s'être éloignés quelques instants. Les résidents découvraient des matériaux de Falun Gong à leur porte.


En une seule une journée, ceux qui avaient Authenticité-Compassion-Tolérance dans leurs cœurs changeaient complètement dans ce qu’ils faisaient et les résultats qu’ils atteignaient.


Avant le 20 juillet 1999, les pratiquants faisaient la démonstration des exercices de Falun Gong sous les applaudissements, lors des fêtes avec des collègues, sur leur lieu de travail. Après le 20 juillet 1999, un pratiquant a été condamné à deux ans de travaux forcés pour avoir chanté la chanson «Venus pour vous» lors d’une fête sur son lieu de travail!


Avant le 20 juillet 1999, des affiches présentant Falun Gong ont pu être suspendues dans les lieux publics à Shuangcheng. Après le 20 juillet 1999, un pratiquant a été condamné à huit ans de prison simplement parce que quelques paquets d'imprimés de Falun Gong ont été découverts chez lui.


Avant le 20 juillet, les pratiquants de Shuangcheng portaient ouvertement l’emblème du Falun et lisaient Zhuan Falun partout. Après le 20 juillet 1999, deux pratiquants ont été persécutés à mort: l'un, simplement parce qu’une copie de Zhuan Falun a été découverte chez lui, l’autre, pour avoir donné à un passager, une carte avec les mots «Authenticité-Compassion-Tolérance».


En mai 2011, prés de 100 pratiquants de Falun Gong de Shuangcheng ont été directement ou indirectement persécutés à mort, simplement pour leur ferme croyance en Authenticité-Compassion-Tolérance.



(Photos: Certains des pratiquants qui ont été persécutés à mort après le 20 juillet 1999)


Certains récits de pratiquants persécutés ont été publiés sur le site Minghui et autres sites Internet. Certains ont été inclus dans la vidéo de clarification des faits de Falun Gong «Shuangcheng, Sang & Larmes.»



(Couverture du DVD «Shuangcheng, Sang & Larmes».)


En juillet 1999, la plupart des pratiquants de Shuangcheng allés à Pékin faire appel au nom du Falun Gong pensaient que les dirigeants de leur gouvernement central avaient été trompés par quelques fonctionnaires mauvais qui avaient initié la persécution de Falun Gong. Cinq ans plus tard, en particulier en décembre 2004, lorsque les Neuf commentaires sur le parti communiste ont été publiés, la nature perverse du PCC a été totalement dévoilée et les obstacles qui empêchaient les gens de Shuangcheng de comprendre la vérité du Falun Gong ont été éliminés.


Après avoir lu les Neuf Commentaires, de nombreuses personnes de Shuangcheng ont commencé à rechercher les véritables activités de Falun Gong et ont été d’accord pour quitter le PCC et ses organisations affiliées, choisissant un futur brillant pour eux-mêmes.



(Photos: La vérité sur les Neuf Commentaires sur le parti communiste et les Trois démissions, dans les rues de Shuangcheng)


Douze ans ont passé depuis le 20 juillet 1999. Au cours des 12 années passées, les pratiquants de Shuangcheng, province du Heilongjiang, ont fait face à la difficulté d'aller à Pékin faire appel au nom du Falun Gong, clarifier les faits et diffuser les Neuf Commentaires, tout en persuadant les gens de quitter le PCC et ses organisations affiliées.


Grâce aux efforts considérables et constants des pratiquants de Dafa ces années passées, de plus en plus de gens à Shuangcheng, ont appris la vérité à propos du Falun Gong, y compris des fonctionnaires du gouvernement qui avaient persécuté les pratiquants. Ils se sont amendés et ont commencé à diffuser eux-mêmes la vérité, afin de compenser pour leurs erreurs.


Voici l’histoire d’un secrétaire du Comité politique et judiciaire de municipalité à Shuangcheng. Après le 20 juillet 1999, il a étroitement suivi le comité du PCC de Shuangcheng et persécuté les pratiquants. Il battait ceux qui allaient à Pékin faire appel au nom du Falun Gong. Il a saccagé les domiciles des pratiquants, a déchiré les livres de Dafa, a insulté et raillé les pratiquants.


Une fois, lors d’un mouvement visant à reformer le gouvernement local, il a été mis à pied. Une fois chez lui, sa famille lui a parlé des faits à propos Falun Gong. Il a utilisé un logiciel pour briser le blocus internet et s’est connecté sur les sites à l’étranger. Après avoir compris les faits, il a regretté ce qu’il avait fait aux pratiquants. En guise de compensation, il a écrit des messages disant la vérité à propos de Dafa et les a affichés dans les couloirs du bâtiment où il vivait. Lors d’une fête avec des amis où il a proposé un toast, il a simplement dit: «Falun Dafa Hao [Falun Dafa est bon]!» Plus tard, le gouvernement local est passé par une nouvelle réforme et, par chance, il a été promu à un nouveau poste et admiré par tous ses pairs. Exactement en phase avec la théorie bienveillante: «Le bien est récompensé par le bien, et le mal est puni par le mal.»


Bien d'autres fonctionnaires gouvernementaux protègent le Falun Gong au mieux de leurs capacités.


6. Conclusion


Falun Dafa s’est diffusé dans l’agglomération de Shuangcheng en mai 1994. En juillet 1999, le nombre de pratiquants a dépassé les 10000, venant de tous les horizons de vie et classes sociales.


Au cours des 17 dernières années, cette petite ville a été témoin de la façon dont Falun Dafa s’est diffusé et comment les pratiquants ont utilisé des moyens pacifiques et rationnels pour protester contre les mensonges honteux du PCC et la persécution. En dépit des épreuves, la droiture et la ferme croyance des pratiquants en Dafa n’ont jamais vacillé, et ils honoreront toujours leurs vœux et leur mission solennelle.



Traduit de l'anglais