Qui en Chine aimerait partager le sort de Mohammed Mahmud Abdul Mun'em, un policier égyptien ?

(Minghui.org)

Récemment, le policier Mohammed Mahmud Abdul Mun'em a été condamné à mort pour avoir tué 20 manifestants et en avoir blessé 15, le 28 janvier 2011. C'est la première condamnation à mort donnée aux représentants du gouvernement qui ont tué des manifestants après que Hosni Moubarak ait démissionné de son poste, mettant fin à la dictature égyptienne. Dans le futur, peut-être que plus de policiers comme Mohammed seront condamnés.

Prenant Mohammed comme exemple dans une société sans aucune démocratie ni système juridique solide, de nombreux policiers sont, sans le savoir, contrôlés et utilisés par les dictateurs. Les abus qui ont eu lieu en Égypte sont le miroir de la société chinoise. De nombreux policiers chinois font des mauvaises actions en utilisant la soi-disant excuse de «faire respecter la loi». Le public en Chine dit souvent: «La police en Chine, ce sont des gangsters légalisés.» Sous le prétexte d'être «légal», la police chinoise fait de plus en plus effrontément des actions mauvaises et criminelles.

En plus de frapper ces deux dames, les policiers ont également dépouillé Mme Hu Shengchun de ses vêtements, ne lui laissant que le soutien-gorge. Sept ou huit policiers armés ont mené les deux dames dans une voiture de police, les menaçant d'avoir quelqu'un assis sur elles.

Les gens qui ont été témoins de la scène étaient indignés et ont essayé de mettre fin à ce scandale. Mais les policiers les ont ignorés et ont continué d'assaillir publiquement les pratiquantes.

Il est étonnant que des policiers «appliquent la loi» d'une façon aussi crapuleuse. Les gens qui les ont vus ont été choqués de la façon dont ils ont maltraité ces deux femmes sans défense.

Mais la police chinoise ne se soucie pas de ses agissements. Dans leur esprit, par le fait de porter un uniforme, tout ce qui est «illégal» devient «légal».

Ici, je veux donner un exemple précis. M. Luo Li, un pratiquant de Falun Gong de Harbin, a été arrêté en avril par la police du poste de Quxian, district de Nangang. Dans le poste de police, il a été torturé par une dizaine de méthodes différentes. Il a été agressé physiquement et insulté verbalement par les policiers Huang Hongwie, Sun Fucheng et Li Yongqiang. Lorsque les proches de M. Luo ont vu les blessures sur tout son corps, ils se sont rendus au poste de police et ont demandé une explication. Le policier qui leur a parlé a agi comme une crapule. Il a demandé sans vergogne à la famille de M. Luo: «Qui d'entre vous nous a vu le battre?»

Selon la loi chinoise, quand des policiers forcent les gens à s'agenouiller, qu'ils les dépouillent de leurs vêtements et les torturent, peu importe le poste qu'ils occupent, ils violent la loi. Voilà comment la police chinoise persécute les pratiquants de Falun Gong. Leur comportement est également comme celui du policier Mohammed Mahmud Abdul Mun'em qui a aveuglément suivi une dictature et tué des personnes innocentes.

Protégé par le régime communiste, la police persécute les pratiquants en utilisant toutes sortes de méthodes perverses à volonté. Mais la dictature du régime communiste chinois ne durera pas éternellement: la moralité et la justice sont des valeurs éternelles qui guident la société humaine. De plus en plus de Chinois réalisent la nature perverse du régime et renoncent au PCC et à ses organismes affiliés, le régime est condamné à s'effondrer. Si la police chinoise continue de suivre aveuglément le régime, alors c'est sûr qu'ils vont partager le sort du policier Mohammed Mahmud Abdul Mun'em.

Traduit de l'anglais au Canada