Le Maître me protège du danger

(Minghui.org)

Ma femme et moi avons commencé à pratiquer le Falun Dafa en 1997. Nous avons étudié la Loi et pratiqué les exercices tous les jours, et notre xinxing s’est rapidement élevé. Nous avons activement parlé aux autres de la Loi et nous avons rejoint le groupe des pratiquants pour l’étude hebdomadaire de la Loi et le partage d’expériences de cultivation. Nous avons compris le sens de la vie et à quel point Dafa est précieux. Nos pensées ordinaires ont changé, et nous avons commencé à devenir de bonnes personnes et entamé notre chemin de retour vers notre moi originel.

En 1999, la persécution du Falun Gong a commencé. Ma femme et moi-même croyons fermement dans le Maître et en Dafa. Nous nous encourageons l’un l’autre et nous n’avons pas été intimidés quand les agents du PCC sont venus nous menacer à la maison et nous ont interdit de quitter notre domicile les jours sensibles. Nous avons fait ce que nous avions à faire. Nous avons clarifié la vérité tous les jours pour exposer les mensonges du PCC. Je suis fils unique, mes parents sont très inquiets à notre sujet, ils craignent que nous soyons persécutés. Au cours de leur vie, ils ont traversé de nombreux mouvements du PCC. Ils nous conseillent souvent d’arrêter de pratiquer. Nous comprenons leurs inquiétudes, alors souvent, nous quittons la maison pour aller distribuer des prospectus de Dafa, le soir après qu’ils soient allés se coucher.

Je me souviens qu’une fois nous avons traversé de nombreux villages. Ma femme a eu des ampoules aux pieds et ne pouvait plus rentrer à la maison, alors je l’ai portée sur mon dos. Nous n'avons pas considéré cela comme une épreuve, pour nous la chose la plus importante était de dire la vérité aux gens sur le Falun Gong.

Je vis dans un village rural et je fais du travail manuel pour gagner ma vie. Je travaille de 5h30 du matin jusque 8h du soir, je n’ai pas beaucoup de temps pour me reposer. Le travail est astreignant et parfois je dois faire des heures supplémentaires. Cependant, je me lève chaque matin à 3h40 pour faire les exercices. Je suis en très bonne santé, je ne suis jamais malade et le travail me semble facile. Ceux qui me connaissent disent: «Les gens qui pratiquent le Falun Gong sont extraordinaires.»

Au travail, j’utilise chaque opportunité pour clarifier la vérité aux autres et pour sauver les êtres. J’agis pour valider la Loi et aider les gens à comprendre que le Falun Dafa est bon!

Le Maître me protège

Une fois, notre patron était en train de construire une maison, et le châssis de support n’était pas bien assemblé. Une plaque de béton de 50 kilos est tombée sur ma jambe droite. J’ai perdu connaissance. Après avoir repris conscience, ma jambe avait beaucoup enflé et je ne pouvais plus me lever. Le patron m’a dit d’aller à l’hôpital. J’ai dit: «Ramenez-moi à la maison, je vais bien!» Ils m’ont tout de même mis dans la voiture. Dans la voiture, je répétais silencieusement «Falun Dafa est bon» jusqu’à ce que nous arrivions à l’hôpital.

L’hôpital ne pouvait détecter aucune pulsation ni déterminer l'état de la circulation sanguine dans mes jambes. Ma femme est arrivée peu de temps après. Je savais que comme j’étais un pratiquant, tout irait bien pour moi.

Quelques jours plus tard, j’ai eu un ultrason, et ils ne pouvaient toujours pas localiser mes vaisseaux sanguins. Tout le monde, y compris les infirmières, était inquiet pour moi. Quelques jours plus tard, j’ai reparlé à ma femme de la question des centaines de yuans que facturait l’hôpital tous les jours passants et nous ne voulions continuer à gaspiller de la sorte l’argent du patron. Je me sentais prêt à quitter l’hôpital. Nous avons aussi envoyé des pensées droites afin que le médecin puisse trouver mes vaisseaux sanguins en bon état lorsqu'il contrôlerait ma jambe.

Le jour d’après, j’ai de nouveau eu un ultrason. Ils ne pouvaient toujours pas localiser mes vaisseaux sanguins après avoir cherché un long moment Ma femme et moi envoyions des pensées droites continuellement. Un médecin a ensuite dit avoir aperçu une faible pulsation sanguine. Après contrôle et recontrôle, il a dit: «Les capillaires sont bons, la majorité des vaisseaux sont bons aussi.» J’ai pleuré en entendant ces mots, et ceux autour de moi ont dit: «Tu vas bien maintenant, ne pleure pas.» Ils n’avaient pas idée que c’était des larmes de gratitude envers la bienveillance et la compassion du Maître pour avoir enduré ma souffrance.

Après être rentré à la maison, j’ai doucement commencé à méditer dans la position de lotus complet alors que je n’étais pas complètement guéri. A la fin de l’année, le patron a voulu me donner une prime supplémentaire pour ma blessure. J’ai refusé cet argent. Je savais que j’étais un pratiquant, et je ne voulais pas obtenir de l’argent qui n’était pas mien, et je ne voulais pas déranger le patron non plus. D’habitude, quand quelqu’un est blessé au travail, le patron doit donner plusieurs milliers de yuans à l’employé en compensation. Mon attitude a convaincu de nombreux villageois de la bonté du Falun Dafa.

En avril 2007, mon domicile a été mis à sac, ma femme et moi-même avons été arrêtés. Je suis resté calme au département de police et je n’avais pas peur. Une fois que j’étais au centre de détention, j’ai dit aux autres que «le Falun Dafa est bon», et comment j’ai bénéficié de cultiver Dafa. J’ai même convaincu deux personnes de démissionner des organisations du PCC. J’ai été relâché 17 jours plus tard. Ma femme a été condamnée à cinq ans de prison et est actuellement toujours torturée en prison.

Élever mon xinxing a changé mon environnement personnel

Après être rentré chez moi du centre de détention, mes parents ont refusé de me laisser sortir de la maison parce que je continuais à cultiver. Ils ne me laissaient pas avoir de contact avec les autres pratiquants. Ce qui nous était arrivé à moi et à ma femme ont été des chocs émotionnels pour mes parents. Ils vivaient dans la peur et toujours tourmentés.

Je ne pouvais pas rester à la maison – j’avais des choses à faire. Chaque fois que j’étais sur le point de sortir, ils m'injuriaient. Je sentais qu’ils ne me comprenaient pas, que je n’étais même pas autorisé à être une bonne personne. Je me sentais privé de liberté. J’ai insisté pour sortir dehors et pour continuer à cultiver. Je me suis disputé avec eux et j’ai fait pleurer ma mère. Mon manque de compassion a blessé mes parents et les a entraînés à créer du karma et à mal comprendre Dafa. En surface j’étais un pratiquant de Dafa, mais je ne parlais pas comme un pratiquant; mes mots ont porté honte à Dafa.

Après une période d’étude de la Loi diligente, d'émission de pensées droites et de chercher à l'intérieur, mon xinxing s’est lentement élevé. J’ai commencé à avoir pitié de mes parents: ils avaient plus de 80 ans, et ils s’inquiétaient pour nous tout le temps. Pour soutenir la famille, ils ont travaillé très dur et maintenant ils avaient peur pour ma sécurité. Ils n’avaient pas tort, j’avais tort! Je ne me comportais pas comme un pratiquant, mes actions n’étaient pas en accord avec les caractéristiques de l’univers. Je n’avais pas seulement un manque de piété filiale envers mes parents, je ne me souciais même pas d’eux.

Je devais corriger mes erreurs. J’ai commencé à changer mon attitude et je ne me suis plus disputé avec eux. Je les laissais dire ce qu’ils voulaient dire, afin qu’ils puissent décharger leur colère. J’ai écouté leurs cris et leurs pleurs. Petit à petit, ils disaient de moins en moins et maintenant nous pouvons vivre ensemble paisiblement. Je fais ce que je peux pour eux, et je les aide à la cuisine et autres corvées. Je discute avec eux et je leur raconte des histoires sur le bien et le mal. Je leur dit que réciter «Falun Dafa est bon» peut améliorer leur santé, et ils le font vraiment.

Mes parents sont tous deux en très bonne santé. Mon père a 86 ans et travaille toujours à la ferme. Ma mère a 80 ans et fait toujours la cuisine pour nous. Les autres pourraient dire que ce vieux couple a de plus en plus d'énergie. Je sais que c’est le Maître qui les aide, et le Maître fait cela pour ma cultivation. En même temps, c’est aussi leur relation prédestinée. Maintenant, ils me questionnent rarement quand je sors à l’extérieur. Je comprends que sur ce chemin de cultivation, aussi longtemps que je crois dans le Maître et en Dafa, que je regarde à l’intérieur et que je suis compatissant envers les autres, cette route sera de plus en plus large et de plus en plus belle.

Étudier diligemment la Loi et nier la persécution

Chaque pratiquant de Dafa doit étudier la Loi. Je travaille dans la journée, j’étudie la Loi le soir, et j’émets les pensées droites. Je m’assoupis souvent pendant l’étude de la Loi. Si je pense: «Je suis fatigué et je veux aller me coucher tôt.», je ne vais pas pouvoir rester les yeux ouverts. Je dois dépasser cette pensée. Au début, je lavais mon visage à l’eau froide, mais cela me rafraîchissait seulement temporairement. Au cours de l’étude de la Loi, ma conscience principale doit être forte pour que je puisse m’immerger dans la Loi. Du fait que ma femme est en prison et qu’un autre pratiquant local a dû quitter son domicile, je dois étudier la Loi tout seul. J’étudie la Loi tous les jours, dès que j’ai du temps, et j’ai une compréhension claire de la Loi. Du fait de mon travail, il est difficile pour moi d’émettre les pensées droites quatre fois par jour à six heures et midi, alors en plus d’émettre les pensées droites le soir, je récite les mots pour éliminer la perversité dans mon esprit. C’est très efficace. Le Maître nous demande de bien faire ces choses, alors nous devons bien les faire.

Au cours des Jeux Olympiques de l’été de 2008, le PCC a envoyé des agents dans tous les villages. Aucun pratiquant n’était autorisé à quitter son domicile. De nombreux pratiquants ont été arrêtés, et certains ont été envoyés en centre de détention et en centre de rééducation. Après les Jeux Olympiques, de nombreux pratiquants ont été condamnés à la prison et au camp de travaux forcés.

J’étais aussi surveillé. Les agents du PCC de mon village m’ont dit de rapporter au comité du village tous les jours, et j’avais besoin de leur permission pour quitter mon domicile. J’ai refusé de collaborer. Je me suis rendu avec mon vélomoteur chez les autres pratiquants, et je leur ai rappelé d’émettre les pensées droites et de ne pas avoir peur. En même temps, j’ai réussi à m’informer sur l’arrestation des autres pratiquants et sur les responsables de ces arrestations, afin que les autres pratiquants puissent le savoir et publier ce qui arrive. Je sais que c’est ma responsabilité, et je dois le faire bien. Persécuter mes compagnons de pratique équivaut à me persécuter moi, parce que nous sommes de la même famille.

Je sens que cette vague de persécution est causée par nos propres attachements humains; c’est aussi l’objectif de la perversité. J’ai partagé avec d’autres pratiquants que nous ne pouvons pas regarder cela avec notre esprit humain. Nous devons avoir l’esprit clair pour sauver les êtres. Nous sommes des pratiquants de Dafa. Nous n’avons pas peur de la perversité, et nous faisons ce que nous avons à faire pour que les êtres soient sauvés. Plus tard, tous les pratiquants de la région se sont réunis et notre groupe d’étude de la Loi a recommencé.

Je partage mes compréhensions avec les compagnons de pratique dès que j’en ai le temps. Au cours de nos partages d’expérience, j’ai toujours appris quelque chose, et j’étais souvent touché par la compréhension des compagnons de pratique de la Loi et par leur compassion envers les êtres. Mes propres insuffisances sont exposées et sont éliminées. J’éprouve un grand respect envers ces pratiquants qui sont capables d’échapper au camp de travaux forcés du fait de leur croyance dans le Maître et en Dafa. Je trouve le temps de leur rendre visite, de partager mes compréhensions avec eux, et nous nous élevons ensemble. Je chéris le fait que nous puissions être ensemble, et ils aiment aussi partager avec moi.

Pour exposer la perversité, je fais ce que je peux, comme aider les pratiquants à trier l’information et à écrire des articles. Nous sortons aussi pour distribuer des documents de Dafa comme un seul corps, ce qui se passe bien, le pouvoir de nous tous comme seul corps est énorme.

L’article du Maître «Avancer encore plus diligemment» nous dit à quel point il est important de former un seul corps. Chacun de nous doit bien cultiver et coopérer avec les autres comme un seul corps, afin que nos pensées droites puissent couvrir un grand espace, et ainsi complètement éliminer les forces perverses. Alors nous pouvons sauver les êtres plus efficacement. Soyons plus diligents, atteignons la plénitude parfaite, et retournons à nos origines avec le Maître.

Traduit de l’anglais en Belgique