(Minghui.org)
Note
de l’éditeur : aussi dans la culture chinoise qu’occidentale, le
principe de la rétribution karmique, qui est d’être finalement
responsable de nos propres actions, est largement accepté.
L’enseignement fondamental du Falun Gong est la caractéristique de
l’univers, Vérité-Compassion-Tolérance. L’univers va
récompenser les actions en accord avec ce principe, alors que les
actes comme les coups, la torture et le meurtre de personnes vont
engendrer de la rétribution karmique. D’une autre façon, les
bonnes actions seront récompensées par le bien, tandis que les
actes pervers vont engendre de la rétribution karmique. Des articles
tels que celui là sont là comme rappel bienveillant de ce principe
pour ceux qui pourraient commettre de mauvaises actions. Bien que
beaucoup de ceux qui persécutent le Falun Gong soient pour la
plupart « sous ordre, » la Loi de l’univers exige
qu’eux aussi, soient tenus responsables de leurs actions, et que
c’est seulement en retirant leurs mauvaises actions qu’ils
pourront échapper à la rétribution karmique.
Depuis que la persécution du Falun Gong a commencé en juillet 1999, les fonctionnaires du régime communiste, particulièrement ceux qui font partie de la force policière et du bureau 610
, n’ont pas épargné leurs efforts dans leur tentative de détruire les pratiquants financièrement, physiquement, et psychologiquement. Ils ont, cependant, fait face à la rétribution, et parfois leurs crimes ont même impliqué les membres de leur famille. Voici ci-dessous quelques exemples.1er cas : le chef de section du département de police et sa fille de 14 ans sont morts d’une inhalation de fumée
En tant que policière du département de police du canton de Taikang dans la ville de Zhoukou, province du Henan, Li Yafei a toujours participé activement dans la persécution des pratiquants locaux depuis juillet 1999. Elle a personnellement émis des amendes, condamné à la prison et envoyé dans des camp de travaux forcés de nombreux braves pratiquants, c'est pourquoi elle a été ensuite promue directrice de la Division de la sécurité domestique.
Au printemps 2000, Li et deux autres policiers ont condamné trois pratiquants locaux au camp de travaux forcés. Ils ont harcelé verbalement les pratiquants le long de la route du département de police jusqu’aux camps de travaux forcés de Kaifeng et de Zhengzhou. Quand les trois pratiquants ont achevé leur terme en camp de travaux forcés, Li et ses complices les ont directement emmenés au centre de détention du canton de Taikang pour y être détenus pendant treize mois. Quand Feng Jinlin, chef de la Division de la sécurité domestique a tenté de suivre les ordres du chef du bureau 610 Zhao Qingming pour relâcher ces pratiquants, Li l’en a empêché et elle a continué à tenir ces pratiquants enfermés.
Après que Li ait été promue chef de section du bureau des résidents au département de police en 2008, elle a continué à harceler et à dénoncer des pratiquants.
La maison de Li a subi un incendie dans la nuit du 17 octobre 2011, et elle, et sa fille de 14 ans, sont mortes d'avoir inhalé la fumée. Elle n'avait que 39 ans.
Deuxième cas : le mari de la responsable du comité des rues est mort d’urémie
Lors de son emploi en tant que chef du Comité de la Rue de Renminguangchang dans le district de Xigang, ville de Dalian, province du Liaoning, entre 2004 et 2010, Hou Shujuan n’a pas cessé de harceler et d’intimider les pratiquants locaux de Falun Gong. Elle a souvent faire suivre et surveiller les pratiquants. Au cours des Jeux Olympiques de 2008, elle a aussi envoyé du personnel pour se rendre chez les pratiquants pour les harasser.
Hou a démissionné autour du 20 mai 2010, à l’âge de 50 ans. Son mari avait développé de l’urémie auparavant quand elle travaillait encore et il est mort soudainement autour du Nouvel An chinois 2011. Il était dans la cinquantaine.
Troisième cas : le fils du chef du poste de police est mort après avoir été coincé sous un vélo électrique
Durant son emploi comme chef du poste de police du village de Xinji dans le canton de Guan, province du Shandong, Wang Baozhuang a condamné trois pratiquants à la prison et sept au camp de travaux forcés. Beaucoup d’autres ont été contraints à suivre des sessions de rééducation sous sa direction.
De plus, Wang Baozhuang a coopéré avec Wang Tongzhang, chef du parti du village de Xinji et a extorqué un énorme montant d’argent des pratiquants locaux. Peu de temps après que la persécution ait commencé en juillet 1999, ils ont rassemblé tous les pratiquants dans l’école du village, plus de 190, et les ont tous forcés à payer une amende de 500 yuans. Ils se sont mis en poche plus de 90000 yuans. Ils ont ensuite demandé à chaque pratiquant s’étant rendu à Pékin de payer une amende de 3000 yuans et à leur caution, (personne ayant accepté de veiller sur le pratiquant) de payer 500 yuans.
Chaque fois qu’une date sensible approche, les deux Wang gardent leurs « pratiquants cibles » en détention. Au cours des deux conférences du Parti communiste chinois (PCC) en 2000, ils ont détenu ces pratiquants pendant 23 jours, la plus longue période de détention. De plus, ils sont souvent allés au domicile des pratiquants pour les menacer.
Autour de 2004, alors qu’il jouait avec un vélo électrique dans le jardin, le fils de Wang Baozhuang a été coincé sous le vélo et il est mort peu de temps après.
Quatrième cas : le chef du bureau 610 a contracté le cancer de l’estomac
An Guochen est le chef du bureau 610 dans le district de Youhao de la ville de Yichun, province du Heilongjiang. Il a récemment contracté un cancer de l’estomac, comme étant une rétribution de sa participation active dans la persécution des pratiquants locaux de Falun Gong.
An a souvent arrêté et torturé personnellement des pratiquants. Par exemple, il a une fois fait déshabiller les pratiquants détenus par son complice, jeté de l’eau froide sur eux, et il les a frappé sauvagement.
Sous la direction d’An, beaucoup de pratiquants ont été envoyés dans des camps de travaux forcés ou dans des centres de rééducation et leurs domiciles ont été mis à sac. De plus, il a ordonné aux agents du bureau 610 Jian Changzhi et Zuojun de harceler par téléphone les pratiquants. Il a aussi envoyé des personnes sur les lieux de travail et aux domiciles des pratiquants pour les intimider. Beaucoup de famille ont vécu dans la terreur de ces harcèlements perpétuels.
Quand le père d’un pratiquant vivant dans une autre ville était très malade, An l’a empêché d’aller faire ses adieux. Un autre pratiquant a été détenu lors d’un mariage. Un jeune homme a été condamné à deux ans de camp de travaux forcés juste après avoir été diplômé de l’université. Pas moins d’un an après avoir été relâché, il a de nouveau été envoyé en camp de travaux forcés pendant trois ans. À peine avait-il été remis en liberté, ce pratiquant a décidé de partir de chez lui pour échapper à la persécution. Une femme pratiquante a été envoyée dans un camp de travaux forcé alors que son enfant n’avait que trois ans. Quand elle a été relâchée, l’enfant ne la reconnaissait plus. Une femme enseignante a été envoyée en centre de rééducation, et son emploi ainsi que son salaire ont été suspendus indéfiniment.
Traduit
de l’anglais en Belgique
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