(Minghui.org)
Cher Maître! Chers compagnons de pratique!
J’ai rencontré le Zhuan Falun à l’automne 1998, je l’ai emprunté avec bonheur pour le lire à la maison. Après avoir lu le livre en deux jours, je suis moi-même allée chercher une copie. J’ai aussi commencé à rejoindre le groupe de pratique des exercices à côté de chez moi. C’est ainsi que je suis entrée par la porte de la cultivation de Dafa.
Avant d’obtenir la Loi, j’avais des problèmes d’estomac et des anormalités gynécologiques (avec des kystes à divers endroits). Alors j’étais obsédée par la guérison de mes maladies. Après que la persécution du Falun Dafa ait commencé le 20 juillet 1999, j’ai succombé à la pression et je n’osais plus sortir pour faire ce qu’un disciple de Dafa doit faire. Au début, je continuais à lire la Loi et à faire les exercices à la maison, mais avec mon mari qui se plaignait tout le temps de ma pratique, j’ai peu à peu abandonné. J’ai finalement tout arrêté en 2000. Peu de temps après, j’ai développé des problèmes de foie et de cœur et je me sentais souvent fatiguée.
J’ai rencontré une pratiquante fin 2004 et nous avons parlé pendant longtemps. Son fils m’a envoyé des copies des nouvelles conférences du Maître et elle m’a aidée à reprendre ma cultivation. Chaque jour, je saisissais chaque moment libre que j’avais pour étudier la Loi, pratiquer les exercices, émettre la pensée droite et distribuer les documents exposant les faits de la persécution. Pas longtemps après, le Maître a purifié mon corps et j’étais de nouveau très énergique.
En août 2005, j’ai été arrêtée alors que je distribuais des documents de clarification de la vérité. Trompée par les mensonges des policiers, j’ai écrit des déclarations de renoncer à ma pratique. Un mois après, deux nouvelles pratiquantes qui venaient d’être arrêtées ont été envoyées dans ma cellule dans le centre de détention et avec leur aide je me suis rendue compte de ma faute. J’ai entamé une grève de la faim pour protester contre la persécution et j’ai ensuite rapidement montrer des symptômes de karma de maladie. Craignant d'être tenus responsables, le centre de détention m’a relâchée le 11e jour de ma grève de la faim. Bien que j’ai été ramenée à la maison, j’ai vite retrouvé une bonne santé avec le renforcement du Maître. J’ai rejoint le cours de la rectification par la Loi en faisant les trois choses.
1. Dépasser l’obstacle de mon environnement familial
Après avoir été arrêtée pour ma cultivation, mon mari a fait tout son possible pour me faire arrêter ma pratique. J’ai d’abord essayé d’étudier la Loi et de faire mes exercices derrière son dos, mais il était toujours furieux et il trouvait toujours toutes sortes d’’excuses pour me réprimander. Après être rentré du travail, il me surveillait, ne m’autorisant pas à faire les exercices. Il a une fois essayé de m’interrompre pendant que je faisais la méditation, et j’ai regardé dans ses yeux pour envoyer des pensées droites. Effrayé, il a crié: «Ne me regarde pas!» et il a levé les mains pour me battre.
Mon mari est un alcoolique et il a souvent agi comme un démon. Pour empirer les choses, son travail organisait des dîners d’affaires avec leurs partenaires 3-5 fois par semaine. Chaque fois, il rentrait soul de ces dîners à l’extérieur et il me battait et m’insultait. Plus tard, il est même allé aussi loin que de me menacer avec un couteau de cuisine dans sa main. Une nuit alors qu’il tenait de nouveau un couteau et qu’il est entré violemment dans le salon en criant des insultes, j’ai couru dans la chambre et je me suis enfermée à clef. Il continuait à crier de l’extérieur de la chambre et me demandait d’arrêter la cultivation. Je me suis dit que je devais dès maintenant rectifier mon environnement. Alors je lui ai dit sévèrement: «Laisse moi être claire avec toi aujourd’hui: je ne peux absolument pas abandonner Dafa. Peu importe ce que tu essaies, cela ne servira à rien!» Il a baissé le ton et m’a juste encore insulté avant d’aller dormir. Depuis cela mon environnement familial s’est beaucoup amélioré.
Avec une compréhension de la Loi plus profonde et l’aide des pratiquants, j’en suis venue à une nouvelle compréhension sur ma situation familiale. J’ai réalisé que j’éprouvais de la haine et de la peur envers mon mari, et que je n’étais pas assez compatissante envers lui. En même temps, les facteurs des forces anciennes tiraient avantage de mes insuffisances pour me persécuter. De plus, j’ai trouvé que ma compréhension de la compassion était très faible. J’avais toujours cru qu’être compatissante revenait à être soumise et obéissante. Ainsi, je faisais de mon mieux pour tolérer les maltraitances de mon mari. Je travaillais à temps plein, je prenais soin de son père et de nos enfants et je faisais toutes les tâches ménagères à la maison, y compris cuisiner trois repas par jour. J’ai réalisé qu’il était temps que ça change.
Une nuit, après que mon mari ce soit réveillé d’être saoul, je lui ai demandé: «Y a-t-il quelque chose de mauvais à suivre les principes de Vérité-Bonté-Tolérance pour être une bonne personne? Est-ce que je t’ai déjà battu en retour quand tu m’as frappé ou insulté?» Il a approuvé qu’il n’y avait rien de faux à essayer d’être une bonne personne et a admis que j’ai toujours suivi le principe de «Ne pas répliquer quand on est frappé ou insulté». J’ai continué à demander: «Et tu as sûrement constaté que je m’occupe de tout à la maison. Pourquoi me traites tu toujours de la sorte? Pense tu que je me serais comportée ainsi si je n’avais pas cultivé Dafa?» Il ne savait pas quoi répondre, mais il a continué à me menacer de divorcer. J’ai répondu: «Pas de problème. Si tu veux divorcer, faisons cela demain matin.» Il était étonné de ma réponse. Le lendemain matin nous nous sommes levés, je lui ai rappelé de remplir les papiers de divorce. Il a dit qu’il n’avait pas le temps et il est parti. Depuis cela il n’a jamais plus parlé de divorce et il a même commencé à m’aider dans la maison. Il a aussi commencé à moins boire et à moins m’insulter.
2. Devenir une petite fleur au milieu de la floraison
Il y avait une petite réserve de documents pour exposer la persécution du Falun Gong dans notre région locale, alors j’ai pensé à mettre en place un site de production de documents.
Quand j’ai fait part de mon idée aux autres pratiquants, deux personnes sont allées aux deux sites de production déjà existant pour m’aider à le mettre en place. Pour surmonter la résistance de mon mari, mon fils nous a aidés. Il a continué à demander d’acheter un ordinateur à son père et mon mari a finalement accepté. À la mi-février 2008, mon fils et moi avons amené notre nouvel ordinateur et notre nouvelle imprimante à la maison. Au cours du processus de mise en place du site de production, j’ai découvert que mon plus grand attachement était la peur d’être attrapée. Une fois j’étais en train de faire une impression dans mon bureau quand mon mari est rentré tôt du travail. Il voulait savoir ce que faisais, mais il ne pouvait pas entrer dans le bureau fermé à clef. Alors qu’il cognait à la porte, j’ai vite caché les documents imprimés et j’ai éteins l’ordinateur. Il est rentré brusquement après que son père (qui vivait avec nous) ait ouvert le bureau avec une clef. En regardant l’imprimante, que je n’ai pas réussi à camoufler, il a commencé à me crier dessus. Je suis restée calme et j’ai enlevé l’imprimante sans qu’il le voit. Il y a eu une situation similaire une autre fois. C’était de nouveau mon beau-père qui avait ouvert la porte pour mon mari. Mon mari est entré furieusement pour chercher partout des documents, mais il n’a rien trouvé. Il m’a dit, vaincu: «Ne vas-tu jamais me laisser voir tes documents!» J’ai pensé: «Bien, si tu ne veux pas voir ça, alors tu ne me verras jamais en train de faire des documents.» Il ne m’a jamais plus vue imprimer du matériel depuis lors.
Fabriquer des documents était aussi un processus pour élever mon xinxing. J’ai aussi fait l’expérience de quelques miracles. Un vendredi, j’ai allumé l’ordinateur pour télécharger des documents sur le site Minghui et j’ai alors eu un flash soudain dans ma tête: «J’ai oublié de connecter l’ordinateur au réseau.» Cependant, je n’ai rien changé et j’ai juste continué à télécharger. Quand j’ai terminé, je me suis rappelée cette pensée et j’ai découvert que j’avais pourtant oublié de connecter la machine à internet. J’ai légèrement souri.
«Répares toi toi-même avant de réparer la machine». C’était une expérience apprise de mes compagnons de pratique en produisant des documents. Un jour d’été de 2009, j’imprimais de nouveau des documents quand l’imprimante a commencé à faire de drôles de bruits. J’ai ignoré le bruit, mais il est devenu de plus en plus fort. Alors j’ai commencé à émettre la pensée droite pour renforcer l’imprimante et puis j’ai cherché en moi. J’ai découvert que j’avais toujours de la peur du fait que je m’inquiétais que les voisins puissent entendre le bruit de l’imprimante. Après avoir émis des pensées droites pour éliminer ma peur, j’ai recouvert l’imprimante d’une boîte en carton, d’une couverture et d’un duvet. Puis j’ai continué à chercher à l’intérieur et j’ai réalisé que je n’avais pas seulement peur, mais que j’avais aussi développé l’attachement à faire les choses juste pour faire les choses. De plus, j’étais impatiente. J’ai commencé à émettre des pensées droites pour éliminer tous mes attachements, et aussi les facteurs pervers qui venaient interférer avec l’ordinateur et l’imprimante. Trois jours plus tard quand j'ai utilisé l'imprimante à nouveau, le bruit ennuyant était disparu et tout était normal.
3. Distribuer des documents pour exposer la vérité de la persécution
La première fois que je suis sortie pour distribuer des documents c’était en 2005. Mon cœur battait la chamade, et j’avais beaucoup de difficultés à bouger mes jambes. Je suis graduellement devenue plus mature et j'ai amélioré mon xinxing, je pouvais entrer et sortir de différents styles d’immeubles résidentiels pour distribuer des documents avec aisance.
Quand je suis sortie distribuer des documents la matinée du 28 janvier 2009, je suis passée par un immeuble où l’entrée principale était fermée. Quand j’essayais de savoir comment y entrer, deux personnes qui portaient des cadeaux pour le Nouvel An chinois ont appuyé sur le bouton et la porte s’est ouverte. J’ai vite couru vers elles et j’ai réussi à entrer avant que la porte ne se referme. J’ai décidé de faire mon travail dans l’édifice. Quand je suis arrivée au cinquième étage, j’ai entendu des pas venant d’en bas. Cela ne m’a pas perturbée et j’ai continué. Je n'avais pas aussitôt terminé d’avoir accroché les documents sur les poignées de chaque porte du sixième étage qu’un homme est arrivé. Je l’ai regardé et j’ai décidé d’aller en bas. Il m’a cependant soudainement bloquée et il m’a demandé, en montrant les documents que j’accrochais aux portes, «Qu’est ce que c’est? Avez-vous mis ça ici?» Je lui ai souri: «L’avez vous lu et qu’en pensez vous?» Il a attrapé mon sac à dos par l’arrière et m’a demandé: «Qu’y a-t-il dans votre sac? Laissez moi regarder!» J’ai pensé: «Maître est avec moi. De quoi dois-je avoir peur?» J’ai immédiatement eu le renforcement de Maître, comme si j’étais un être divin gigantesque. J’ai gentiment tapoté l’homme sur l’épaule et j’ai souri: «J’apporte de la chance aux gens. Prenez une copie et allez la lire à la maison. Vous recevrez aussi de la chance.»
Il s’est calmé et il a dit d’une voix douce: «Falun Gong? Je vais vous laisser partir. Je viens ici rendre visite à un ami au septième étage. Même quand j’étais dehors je vous voyais aller à chaque étage. Dépêchez-vous! Partez!» Je l’ai salué de la main. Quand je suis retournée en bas, j’ai entendu cette voix: «La prochaine fois que la porte d’entrée est fermée, juste appuyez sur le bouton et dites que vous êtes le concierge. Ils vous laisseront entrer.»
4. Persuader les gens de quitter le PCC et ses organisations affiliées
J’ai commencé à faire les actes de retraits du PCC en 2005. J’ai d’abord travaillé avec ma famille. La personne la plus trompée dans ma famille était mon père. Il s’est fâché la première que je lui ai parlé du sujet. La deuxième fois je me suis assurée d’émettre de fortes pensées droites avant de lui parler. Il était si fâché qu’il tremblait de tout son corps. Plus tard quand je suis retournée le voir, j’ai changé ma stratégie.
J’ai juste parlé à ma mère de l’importance de faire ces démissions, avec mon père écoutant passivement à côté. Petit à petit, il n’était plus si contre les démissions. Ma mère a aussi fait de son mieux pour essayer de le convaincre. Quelques mois plus tard mon fils lui a présenté une copie de déclarations pré-écrites de démission en lui disant: «Grand-père, s’il te plaît signe ton nom ici.» Mon père l’a pris et a lu: «Déclaration solennelle pour quitter le PCC…» et il a signé son nom avec un sourire.
J’avais un ancien camarade de classe qui était membre du PCC. La première fois que je lui ai mentionné de quitter le PCC, il a juste souri et trouvé une excuse pour partir. La deuxième fois que je l’ai vu, il souriait toujours sans faire de commentaires. Il a de nouveau fait la même chose après que j’ai essayé cinq fois. La huitième fois que nous nous sommes vus, je lui en ai de nouveau parlé, mais il n’a rien dit. Puis deux de mes collègues sont entrés, et en le désignant du doigt j’ai dit: «Saviez vous qu’il est membre du PCC?» Un collègue a dit: «Un membre du PCC? Aide-le à en sortir!» Un autre collègue a aussi dit, «Dépêche toi! Demande à ta camarade de classe de faire la déclaration de démission pour toi.» Il était étonné par ces mots. Je lui ai dit: «Tout le monde autour de moi a fait cette cet acte de démission. Qu’est ce que tu attends? Je te dis de le quitter!» Il s’est assis là pendant un moment. Quand il a fini ses affaires et qu’il était prêt à partir, je suis de nouveau allée vers lui. Cette fois il a été d’accord pour démissionner sans hésiter.
5. Expérimenter le miracle de regarder à l’intérieur
Maître a dit dans «Enseignement de la Loi à la Conférence internationale de Loi de Washington DC 2009»:
«Regarder à l'intérieur est un trésor de la Loi.»
Au début, je regardais juste superficiellement, je n’avais pas expérimenté le miracle de chercher l’intérieur jusqu’en octobre 2010.
Mon beau-père qui avait vécu avec nous pendant huit ans, a déménagé chez le frère aîné de mon mari le 28 février 2010. Peu de temps après, cependant, la ville a prévenu qu’ils allaient démolir les habitations dans la rue de mon beau-frère. Mon mari voulait acheter une maison pour que son père puisse y vivre avec son frère. Je n’avais pas de problème avec cette proposition, mais il ne pouvait pas se décider où allait être acheté cette maison. À ma surprise, mon mari a poursuivi la démarche et a acheté une maison derrière mon dos. J’étais très en colère en ayant découvert cela. Le lendemain matin quand j’ai terminé de faire les exercices, j’ai senti une tension dans ma poitrine. En préparant le petit-déjeuner, j’ai essayé de trouver ce qui m’ennuyait. Était ce un attachement aux intérêts matériels? Je ne pensais pas car ça faisait longtemps que j’avais abandonné mon désir d’intérêts matériels. Alors était-ce ma haine? Après tout, j’étais furieuse que mon mari ne m’en ait pas parlé avant, et il était maintenant la dernière personne que je voulais voir. Mais il y avait toujours quelque chose qui n’allait pas. Je suis allée travailler sans avoir trouvé la racine du problème!
J’étais assise à mon bureau au travail, je cherchais toujours mes attachements. J’ai écris tout ce à quoi je pensais: égoïsme, intérêts matériels, haine, … puis une lumière a soudainement surgi quand j’ai écrit «jalousie» sur le papier, comme si cela m’était si étranger. J’ai tout de suite su que la jalousie était mon problème. Je me sentais ébranlée dans mon corps, et la tension sur ma poitrine a disparu. Cela a vraiment été une expérience incroyable!
Ci-dessus sont juste mes expériences de cultivation. Il n’y a rien d’extraordinaire, mais cela n’aurait pas été possible sans la protection compatissante du Maître. J’adresse tous mes remerciements sincères et ma gratitude envers le vénérable Maître. Je remercie le Maître pour sa protection constante!
Traduit de l’anglais en Belgique
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