(Minghui.org) Les faits de la persécution injuste et haineuse du Falun Gong se sont largement répandus dans le monde, et même en Chine. En conséquence, plus de 135 millions de personnes ont annoncé leurs démissions du Parti communiste chinois et de ses organisations affiliées de la jeunesse (souvent rapporté comme étant « les trois démissions »). Le PCC vit ses derniers jours, et il ne faudra plus attendre longtemps pour que ces responsables soient traduits en justice.
« Quitter le PCC » est devenu la principale priorité pour les Chinois du continent.
Les bénévoles du centre « Quitter le PCC » ont passé des appels téléphoniques répétés aux gens qui travaillent au sein du système politique et juridique afin de leur clarifier les faits. Ils ont même appelé ceux dont les noms sont sur la « liste des malfaiteurs ». Ils leur ont parlé encore et encore afin de leur offrir une opportunité de se réveiller et leur indiquer un moyen de se sauver eux-mêmes. La compassion peut faire fondre la glace. Certains de ceux qui ont participé à la persécution ont dit qu'ils compenseraient pour leurs crimes en faisant de bonnes actions, qu'ils s'amenderaient et prendraient un nouveau départ. Ils ont aussi fait des déclarations de démission du PCC et de ses organisations affiliées.
Un chef du bureau de la Division de la sécurité intérieure quitte le PCC sous son vrai nom
Mme Wang, une bénévole du centre de Démission du PCC, a composé le numéro de téléphone d'un bureau de la Division de la sécurité intérieure. Au début, l'homme qui a répondu s'est mis en colère en entendant Mme Wang parler de démissionner du PCC, et il a crié : « Savez-vous qui je suis ? Je suis de la Division de la sécurité intérieure ! »
« Vous êtes exactement la personne à qui je souhaite parler », lui a dit Mme Wang. « Mes amis et moi, nous avons servi ensemble dans l'armée. Après avoir été transférés dans le civil, ils font maintenant ce que vous faites. Ce sont en réalité de bonnes personnes, mais ils ont été entraînés dans l'abîme à cause de leur implication dans la persécution brutale du Falun Gong par Jiang Zemin. Je les appelle et je leur dis de ne pas persécuter le Falun Gong. Je leur dis de ne pas être les bouc-émissaires du PCC et de ne pas sombrer avec lui. Tous ont été très reconnaissants que je me souvienne encore d'eux et que je sois véritablement inquiète pour eux. » L'homme à l'autre bout du fil s'est vite calmé et a écouté.
« Plusieurs millions de pratiquants de Dafa ont perdu la vie ces 13 dernières années en conséquence de la persécution, de la torture, du recours à des médicaments nocifs et dommageables, et des prélèvements d'organes. Les crimes sont trop nombreux à énumérer », a poursuivi Mme Wang. « Le Falun Gong est une cultivation et pratique de l’École de Bouddha. Comment quelqu'un peut-il réparer les crimes de persécution du Fa de Bouddha ? C'est un principe céleste que le bien sera récompensé et le mal puni. Vous pouvez voir des milliers d'exemples de malfaiteurs recevant la rétribution karmique sur le site Internet Minghui. Récemment, de nombreuses personnes qui travaillaient dans le système politique et juridique se sont suicidées en se pendant ou en se jetant du haut d'un immeuble. Il y a eu beaucoup d'incidents semblables ! »
Alors que l'homme écoutait attentivement, Mme Wang a dit : « Vous travaillez dans le système et vous savez également à quel point le PCC est pervers. Le Ciel ne va pas le tolérer plus longtemps. Aujourd'hui, les gens se sont éveillés à la vérité et ont commencé à résister à la persécution. Des dizaines de milliers de signatures et d'empreintes pour soutenir les pratiquants de Falun Gong, jusqu'aux fréquentes et importantes manifestations de gens protégeant leurs droits, il est clair qu'un immense changement historique se profile à l'horizon. »
L'homme a continué à écouter tranquillement quand Mme Wang lui a dit que les pratiquants de Falun Gong à l'étranger s'étaient jurés de permettre au monde entier d'apprendre les crimes commis par Jiang Zemin et son gang, le Bureau 610, la police, les procureurs publics, et toutes les organisations judiciaires directement impliquées dans la persécution, ainsi que les administrateurs et les gardiens des camps de travaux forcés, des centres de lavage de cerveau et des prisons, et les médecins et le personnel dépourvus de conscience qui ont prélevé des organes sur des pratiquants de Falun Gong.
« Tous les comptes seront soldés ! Que ferez-vous alors ? Qui va vous aider ? Pas le PCC ! Seules les divinités compatissantes peuvent vous offrir une porte de sortie. Nous sommes des bénévoles et nous utilisons notre propre argent pour vous appeler de l'étranger, parce que c'est une question de vie ou de mort, et nous aimerions vous aider à cesser de faire de mauvaises choses et à devenir une bonne personne. Ainsi pourrez-vous être sauvé lorsque les calamités arriveront. »
Mme Wang a expliqué que le seul moyen qu'il avait était de démissionner du PCC et de réparer ses crimes en faisant de bonnes actions, comme de dénoncer la conduite perverse du gang de Jiang et de ne plus persécuter les pratiquants de Falun Gong, tout en collectant des preuves de la persécution, y compris des témoignages, des preuves matérielles, des documents, des photos, des enregistrements, des vidéos et des informations personnelles sur les tortionnaires avec les détails de leurs crimes.
Après avoir calmement écouté Mme Wang, l'homme lui a dit qu'il était le chef de l'unité et il a démissionné du PCC sous son vrai nom.
Un juge en chef : Vous me traitez comme ma propre mère le ferait
Tante Huang est une bénévole d'un Centre de démission du PCC. Elle a appelé le juge en chef à la cour de Nanjing. À chaque appel, le juge l'insultait en employant un langage grossier et lui raccrochait au nez. Tante Huang ne l'a pas abandonné et l'a appelé encore et encore, lui parlant avec compassion. Finalement, la glace a fondu et le juge n'a plus jamais perdu son calme avec elle. Quand elle a appelé la fois d'après, il a dit avec émotion : « Je vous ai si mal traitée. Pourquoi êtes-vous encore si gentille avec moi, en me traitant comme ma propre mère le ferait ? »
Tante Wang lui a dit gentiment : « Savez-vous qu’aussi cruels que vous soyez en persécutant le Falun Gong, notre Maître ne vous appelle pas moins le "précieux peuple chinois", nous disant de ne pas vous abandonner et de vous traiter comme notre propre famille, et que nous devons vous sauver. En fait, vous êtes les plus grandes victimes de la persécution. Vous étiez auparavant de bonnes personnes, mais vous avez été empoisonnés par les mensonges du pervers PCC. J’espère pouvoir éveiller votre véritable, bonne nature. Le Ciel va détruire le Parti pervers, nous ne devez pas suivre celui-ci aveuglément vers une destruction certaine et souffrir des désastres ! »
« Cela n’a pas été facile pour moi d’arriver à la position de juge principal », a dit l’homme, « mais je quitterai le PCC ! Je vais même le quitter immédiatement ! » Il a donné à Tante Huang son vrai nom et a demandé : « J’ai fait beaucoup de mauvaises choses, puis-je encore avoir la bénédiction des divinités ? »
« C’est ce qui se passe pour ceux qui ont renoncé au Parti », lui-a-t-elle dit, « tant que vous avez le cœur de renoncer au mal et que vous vous tournez vers la vertu, et cessez dès maintenant de faire de mauvaises choses et qu'à la place vous protégez les pratiquants de Dafa. Relâchez-les et faites de votre mieux pour corriger vos erreurs par de bonnes actions, alors les divinités vous béniront ! »
« Est-ce vrai ? cela est-il vrai ? est-ce réellement vrai ? », a demandé le juge trois fois pour confirmer ce qu’il avait entendu. Il était profondément touché par la compassion et le pardon des pratiquants de Dafa, disant que Tante Wang le traitait avec la tendresse d’une mère envers son propre enfant qui avait mal agi.
Tante Wang lui a dit de se rappeler de neuf mots portant chance : Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. Falun Dafa est bon.
« Je n’oublierai pas », a-t-il dit. « Et lorsque vous retournerez en Chine, n’oubliez pas de m’appeler. C’est le même numéro. Je vous rendrai visite ! Je vous souhaite le meilleur ! Je souhaite éternellement le meilleur à votre Maître ! »
Un agent de police aide 20 personnes à quitter le PCC
Lorsqu’il a répondu au premier appel du Centre pour quitter le PCC, le jeune agent de police était plutôt grossier, disant : « Si le Ciel s’effondre tout le monde mourra. » Cet agent a participé à persécuter les pratiquants de Dafa et pensait que ses crimes étaient inexpiables et il se comportait sans restreinte, s’adonnant à toutes sortes de vices. Même lui se pensait irrécupérable.
« Votre nature originelale n’est pas comme ça », lui a dit Mme Xiao. « C’est Jiang Zemin et le pervers PCC qui vous ont conduit sur un chemin pervers et essaient de vous entraîner dans les abysses. Si le ciel s’effondre aujourd’hui, seules les mauvaises personnes descendront avec le Parti pervers. Vous devez chérir votre vie. » Elle a continué : « Notre Maître vous chérit davantage que vous ne vous chérissez vous-même. Il nous a dit de vous sauver. Du moment que vous quittez le PCC et commencez à traiter les pratiquants de Falun Dafa avec bonté, faites de bonnes actions et accumulez de la vertu pour racheter vos crimes passés, les divinités vous béniront. »
L’homme a donné son vrai nom à Mme Xiao et a dit qu’il voulait quitter le PCC. Mme Xiao lui a dit que, quelques jours plus tôt, le chef d’un département de police avait aidé à persuader plus de 30 proches et amis à quitter le PCC, et qu’un membre du personnel du gouvernement avait aidé 40 personnes à faire de même. Mme Xiao a dit qu’elle espérait que l’agent de police informerait aussi les gens qui l’entouraient de cet important message. Il était si touché qu’il a dit à Mme Xiao de le rappeler. Plus tard, il a aidé 20 personnes à quitter le PCC et ses organisations affiliées. Quatre parmi les 20 étaient de sa famille, le reste étaient ses collègues.
Traduit de l'anglais en Europe
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