(Minghui.org) Les anciens croyaient que le « Tao » a créé l’univers et que le « Tao » était l’origine de toute chose et la raison de tout. La culture traditionnelle chinoise a été conférée aux êtres humains par le divin et s’est développée en ligne avec le Tao, et était enracinée dans le Tao. Les anciens sages et hommes de vertu sont venus dans le monde humain pour éduquer et cultiver les masses, leur permettant de respecter la moralité et suivre le Tao.
Le principal contenu de la culture chinoise traditionnelle inclut les croyances orthodoxes, les principes éthiques, les valeurs morales, les protocoles et les rites, les façons de vivre, les coutumes et habitudes, les arts culturels, etc. L’idéologie derrière était enracinée dans les pensées et les théories du Confucianisme, du Bouddhisme et du Taoïsme, donc la culture avait de profondes connotations. Le but de cet article est d’aborder quelques uns de ces concepts, l’intégration de l’homme et de la nature, la beauté de l’harmonie, et les valeurs de la vie.
1. L’origine de la culture
L’appellation « wen hua » (culture) est apparue pour la première fois dans le livre Yi Shu, qui dit : « Observe l’astronomie pour détecter les changements, soucie toi d’humanité pour influencer le monde. » Les concepts d’astronomie, de géographie de physique, et d’humanité étaient considérés comme très importants dans la tradition chinoise. Le ciel, la terre et l’homme étaient considérés comme les trois talents. S’agissant du phénomène astronomique, dans le premier passage de Huang Di Shu , il est dit :« Observe le Tao du ciel, et mets le en pratique dans l’action, et c’est tout ce qu’il est nécessaire de faire. »
Ce qui signifie que si les gens peuvent observer clairement le phénomène astronomique et standardiser en conséquence les morales sociales et la conduite individuelle, alors cela est déjà parfait. Dans le livre Shuo Wen, il est dit : « Le phénomène du Tao est appelé ‘wen’, ‘hua’ est l’éducation, » ce qui signifie éduquer la société selon le phénomène astronomique, qui est aussi l’origine de la culture.
Ici, « humanité » et « astronomie » sont mentionnés ensemble pour indiquer que les principes et les normes dans le monde humain devraient se conformer à la loi du ciel et aux principes de l’univers. Dans l’histoire, les sages, les hommes de vertu, et ceux qui cultivaient (spirituellement) et s’éveillaient à la vérité et la mettaient en pratique, agissaient tous selon la volonté du Ciel, ils se cultivaient eux-mêmes, validaient le Tao, et éduquaient le peuple.
Selon les annales historiques, Fuxinshi inventa les Huit Trigrammes, Shennongshi découvrit les herbes médicinales en essayant plus d’une centaine de sortes d’herbes et de plantes, Yao, Shun et Yu gouvernèrent par la vertu et amenèrent le peuple à exécuter la volonté du Ciel, l’Empereur Wen dans la Dynastie Zhou pouvait prédire ce qui arriverait avec une miraculeuse exactitude, Laozi hérita de l’ancienne culture, le Livre des changements consigna les schémas récurrents du ciel et de la terre, le yin et le yang, l’univers, la société et la vie humaine, et Confucius promut la culture confucianiste pour maintenir la paix et la prospérité du pays. La croyance du peuple chinois dans le Confucianisme, le Bouddhisme et le Taoïsme a établi un système moral stable, qui a posé la fondation de la continuité de l’existence, de la stabilité et de l’harmonie.
2. Le principal contenu et les valeurs traditionnelles de la culture chinoise
Les enseignements du Confucianisme, du Bouddhisme et du Taoïsme constituent le cœur de la culture traditionnelle chinoise, lesquels ont non seulement influencé les attitudes mentales des gens, mais aussi donné naissance à des croyances communes et à l’intégrité de la nation chinoise. Les caractéristiques nationales reflétées dans la culture chinoise incluent le respect pour le ciel et les divinités, pour les manières et la droiture, et pour la vertu et la gentillesse. L’école du Tao met l’accent sur l' « Authenticité », tandis que l’École de Bouddha insiste sur la « Bienveillance ». Le Confucianisme prête attention à la « Bienveillance, la justice, les rites, la sagesse et la confiance. » Tout ceci reflète la recherche des gens pour comprendre l’essence de la vie et l’éveil, ainsi que des réponses à des questions comme d’où vient l’être humain, où retourne-t-il, y a-t-il une signification plus haute de la vie et une valeur infinie, comment les êtres humains doivent-ils se comporter, et comment peuvent-t-ils élever leurs niveaux moraux pour atteindre les critères des Bouddhas, Taos et Divinités. Elles offrent aussi une direction spirituelle.
Dans un sens spécifique, l’histoire des 24 dynasties chinoises est une collection de biographies de la vertu et de la foi, caractérisées par des exemples qui montrent qu’on « ne doit pas s’engager dans une conduite à la morale relâchée même si on est riche, la volonté ne doit pas être ébranlée même si on est pauvre, on ne doit pas se soumettre au pouvoir et à la force militaire. » Le point de départ moral de la culture traditionnelle était le code de conduite et ce sur quoi reposait l’élévation spirituelle, qui non seulement est devenue une ressource spirituelle infinie pour les générations ultérieures, mais a aussi directement contribué à la croissance vigoureuse et l’amélioration, de la littérature, la musique, la peinture, la calligraphie et toutes sortes d’arts traditionnels. La signification profonde dans le point de vue moral traditionnel ne peut être comprise et expérimentée qu’à travers l’élévation morale et spirituelle avec des pensées vertueuses.
La force de la moralité et des croyances traditionnelles peut mettre fin à un monde de disputes et de conflits, et offrir une paix plus profonde. Face au monde chaotique des affaires et des difficultés, cette force peut permettre aux gens d’avoir dans leur âme un morceau de terre pure et de maintenir cette tranquillité. Face aux conflits entre l’intérêt personnel et la moralité, il leur permet de maintenir malgré tout un seuil de moralité, de sorte qu’ils ne deviennent ni perdus ni confus, ne trahissent pas leur volonté et leur conscience, ne sombrent pas à un niveau inférieur, et puissent toujours entrevoir un espoir. Si les gens peuvent s’accorder aux principes célestes, ils peuvent même devenir des sages ou des individus de vertu ou des déités et Bouddhas qui valident le grand Tao, sauvent les êtres vivants et deviennent immortels. Si la civilisation morale est perdue, des tendances perverses fabriquées se fraieront un chemin pour conduire les gens sur des voies perverses.
3. Caractéristiques particulières de la culture traditionnelle
Les cinq mille ans de culture de la Chine ont survécu tout au long de la civilisation humaine et c'est la preuve de son immense force d'intégration et de sa vitalité. Son immense 'inclusivité' se reflète dans ses principes culturels de diversité et d'ouverture, et ceci a servi à créer sa disposition spéciale et sa tradition d'« incorporer les choses de différentes natures » et d'« être tolérante de toutes sortes de gens. » Elle suit le principe de « maintenir l'harmonie tout en reconnaissant les différences » et de « rechercher un terrain commun tout en réservant les différences.» Son esprit de considérer le monde extérieur avec une profonde vertu, et son principe philosophique d'« harmonie » sont pleinement reflétés dans la doctrine taoïste d'« inaction,» l'idée confucianiste de « bienveillance et de droiture », et l'esprit de « compassion » de l'École de Bouddha. Tout comme l'a énoncé Laozi : « Le plus doux peut venir à bout du plus dur, » devenant une haute montagne en ne refusant pas une seule poignée de terre, formant une mer immense en n'abandonnant aucun petit courant. » Dans la très prospère Dynastie Tang, les politiques étaient bien ordonnées, l'économie prospère, et la culture d'esprit ouverte. Lorsque les principes du Confucianisme, du Bouddhisme et du Taoïsme ont été largement promus, cela a permis à la société de maintenir d'assez hauts standards moraux, de parvenir à un éclat qui a attiré l'attention du monde et influencé d'autres pays.
4. L'essence de la culture traditionnelle
A. Le point de vue universel de « l'intégration de la nature et de l'homme »
« La nature et l'homme sont intégrés comme un tout. » Tel est l'élément central de l'idéologie chinoise traditionnelle, et il a joué un rôle déterminant dans la culture chinoise traditionnelle; il est porteur d'une signification profonde dans des domaines comme les valeurs morales et les conceptions esthétiques. Le Livre des changements a défini le ciel, la terre et l'homme comme les « Trois éléments majeurs. » Le Livre des changements dit aussi : « Le changement signifie la procréation infinie » et « la plus grande vertu du ciel et de la terre est leur procréation des vies. » Les êtres humains devraient « continuer » avec la « bonté » du ciel et de la terre, « former » la « nature » du ciel et de la terre, l’« espace » et la « vastitude » ont été « créés » par le ciel et la terre; « pour connaître toutes choses et utiliser le Tao pour bénéficier au monde » afin d'accomplir l'état vertueux de l'intégration de la nature et de l'homme comme un tout.»
La culture traditionnelle respecte et admire la volonté de Dieu, croyant que le ciel a créé l'homme et toutes les choses et les a dotés de vertus et d'une nature de bonté ; elle a aussi établi la loi. Le Ciel et l'homme se correspondent mutuellement, communiquent entre eux, et sont une seule unité. Confucius a dit en résumant son schéma de vie : « Je me suis engagé de moi même dans l'étude à l'âge de 15 ans ; je me suis établi à l'âge de 30 ans, je suis devenu lucide à l'âge de 40 ans et à 50 ans je connaissais la volonté de Dieu ...» Mencius a dit : « Garder un esprit clair et nourrir la nature conférée par Dieu, telle est la façon de servir le Ciel. » L'école de Bouddha et l'École du Tao parlent toutes deux de cycles et croient au samsara et que le bien et le mal reçoivent chacun leur due rétribution. Dans le passage de « Yue Shu » dans les Annales du Grand Historien, il est dit : « Le Ciel et l'Homme sont interconnectés, comme la relation entre le corps et son ombre et l'air, ceux qui font de bonnes actions seront récompensés par la chance, ceux qui en commettent de mauvaises rencontreront des désastres. C'est comme celui qui plante des melons, il obtiendra des melons. C'est cette sorte de raisonnement naturel. Par conséquent, lorsqu'on est accordé au Tao du ciel, on peut comprendre les affaires humaines. »
Les Empereurs dans la Chine ancienne attachaient la plus grande importance à offrir des sacrifices aux dieux et à chanter les louanges de l'influence et de la guidance du Ciel et de la Terre. Se conformer au mandat du Ciel était considéré comme une action vertueuse, et les gens seraient récompensés pour cela, sinon ils seraient punis par le Ciel. Les sages prenaient plaisir à mener à bien le Tao, sans donner priorité à la recherche de leur propre chance. Si on fait de bonnes actions afin d'obtenir de la chance, il y a déjà un élément d'égoïsme dans le cœur. Par conséquent, ont devrait faire de son mieux pour se conformer au mandat du Ciel sans la plus légère recherche de gain personnel. C'est notre devoir de faire de bonnes actions et de repousser le mal et si on peut faire de son mieux pour faire cela avec un cœur sincère, le Ciel sera touché par nos efforts.
B. « S'en tenir à la doctrine du milieu » et « réaliser l'harmonie. »
Dans le livre La Doctrine du Milieu, il est dit : « S'en tenir à la doctrine du milieu est absolument fondamental dans le monde, réaliser l'harmonie gardera la route claire et sans embûches. Lorsque l'harmonie est réalisée, le Ciel et la Terre resteront dans leurs justes états, et toutes les choses croîtront » La théorie fondamentale de la doctrine du milieu est basée sur le concept de l'intégration de la nature et de l'homme comme un tout, et sert aussi de principe pour la cultivation morale. Le Confucianisme croit que tous les conflits entre les autres choses et soi-même, entre les autres et soi-même, entre le raisonnement et les désirs, et entre les gens, devraient être régulés par le principe de la doctrine du milieu et en maintenant l'harmonie, afin de réaliser l'état de sincérité et de gentillesse. Alors le Ciel et la Terre et toutes les choses auront chacun un rôle à jouer et tous atteindront le royaume de l'harmonie.
Confucius a dit : « Un homme de bien s'en tient à la doctrine du milieu, tandis qu'un homme mauvais va à son encontre. la raison pour laquelle un homme de bien s'en tient à la doctrine du milieu est qu'il est dans cet état à tout moment, et ne fait rien de moins ni de plus, un homme mauvais va à l'encontre de la doctrine du milieu, parce qu'il est sans scrupules et va toujours aux extrêmes.»
Zhu Xi a dit : « S'en tenir à la voie du milieu est une voie juste, et le moyen d'or est une loi définie » Il est dit dans Lun Yu : « Dans l'application des rites, le plus précieux est de maintenir l'harmonie, et de toutes les voies prises par les dirigeants du passé, elle est la plus précieuse. » Les dirigeants dans le passé, stipulaient les rites, et créaient de la musique pour réguler le code de conduite des gens et éduquer le pays, et ils prenaient le fait de maintenir l'harmonie de la terre sous les cieux comme leur mission historique sacrée.
La nation chinoise a, depuis les temps anciens, accordé de l'importance à « maintenir l'harmonie » et respecter le moyen d'or, et ils ont compté sur la bienveillance et les vertus pour maintenir un monde harmonieux. Song Yeshi a dit dans La Doctrine du Milieu : « Les anciens appliquaient le milieu, et par conséquent, Ciel et Terre jouaient leur rôle respectif, et toutes choses croissaient d'elles mêmes, les empereurs et les fonctionnaires de la cour que nous connaissons, qui ont suivi le même principe incluent Yao, Shun, Yu, Tang, Wen, et Wu; si vous faites de même, alors une conduite illégale ne pourra pas s'introduire. »
Les anciens prêtaient attention à l'harmonie entre l'homme, le ciel et la terre. En égard aux relations interpersonnelles, Xunzi introduisit aussi le concept de ‘Tao collectif’. Il croyait que la raison pour laquelle les gens pouvaient vivre ensemble était qu'il y avait des rôles différenciés et la moralité et la justice; les gens ne devraient pas se blesser mutuellement pour leurs propres désirs et intérêts et devraient être attentionnés, bons et tolérants les uns envers les autres. Les principes confucianistes dans les relations interpersonnelles incluent la bienveillance, la justice, les rites, la sagesse et la confiance. Les principes qu'ils encourageaient, tels la ‘bienveillance’ ‘ne pas faire à autrui ce qu'on ne voudrait pas qu'il vous fasse’, ‘se souvenir de ce qui est juste à la vue du profit’, et ’si les gens n'ont pas confiance en quelqu'un, il n'y a pas de place pour cette personne’ sont devenus des vertus traditionnelles de la nation chinoise.
C. Les valeurs de la vie
Dans le livre Shi.Daya. Zhengminil est dit : « Le Ciel a créé l’infinité des personnes et il y a les choses et les principes. La nature des personnes est venue de la nature du ciel. » De la perspective universelle de « la nature et l’homme intégrés comme un tout.» De la perspective universelle de « la nature et l’homme intégrés comme un tout » les principes de la culture traditionnelle chinoise prônent qu’on devrait commencer par se parfaire soi-même, « de l’empereur aux petites gens, chacun devrait traiter la cultivation de soi comme le plus important. » On croyait que les gens pouvaient atteindre l’état de « la nature et l’homme intégrés comme un tout » grâce à la cultivation et pouvaient communiquer directement avec le Tao et les divinités. Le Confucianisme prône « la cultivation de soi, la régulation de la famille, et le bon gouvernement pour maintenir la paix et l’harmonie sur terre. » Confucius disait qu’on doit bien se conduire soi-même, même lorsqu’on est seul, et qu’on doit s’examiner soi-même, qu’on devrait avoir des aspirations de grande portée et des caractères souples et nobles, être droit et ne pas outrepasser les principes. Zhu Xi croyait qu’un homme de bien devrait avoir des manières droites avec un cœur vertueux et sincère. L’École du Tao parle de retourner à son propre soi originel et de cultiver pour devenir un homme vrai. L’ École de Bouddha met l’accent sur la ‘cultivation’ de la bonté pour atteindre finalement l’état de Bouddha.
La culture chinoise traditionnelle prête attention à la bienveillance pour se conformer au mandat du Ciel, se contenter d’une vie simple mais vertueuse, être strict envers soi-même dans tous les aspects tout en étant tolérant envers les autres et en pensant aux autres et aidant les autres. Lao Zi enseignait qu’on doit suivre le Tao dans sa conduite, agir selon les principes, diriger ses actions selon les circonstances, laisser les choses arriver naturellement, et être calme et tolérant. Confucius croyait que les gens devraient montrer la même compassion envers chacun. Mencius disait que la plus haute vertu d’un homme de bien consiste à être bon envers les autres. »
Dans la culture traditionnelle chinoise, les enseignements et les concepts du Confucianisme, du Bouddhisme et du Taoïsme ont eu une profonde influence sur le peuple chinois de génération en génération. Les gens considéraient la recherche de la vérité et de la vertu, comme le plus important et demeuraient fermes dans leurs principes quelque fussent les circonstances. Zhuanzi a dit un jour : « Un homme noble est comme une divinité. Il ne sentirait pas la chaleur même si les lacs brûlaient, ni ne sentirait le froid même si les rivières gelaient, et ne se laisserait émouvoir pas plus par le « Tonnerre que par les vents féroces » Pendant des milliers d’années, d’innombrables personnes avec une vertu élevée ont été largement admirées comme par exemple Tao Yuanming, qui refusait de courtiser des faveurs pour des gains personnels ; Zhu Geliang, qui pouvait prédire les événements; Yue Fei, connu pour sa loyauté au pays; Lu You, qui était profondément concerné par son pays et son peuple … Ces personnes étaient l’épine dorsale de la nation chinoise. Elles s’élevaient au-dessus de la perte et du gain personnels, étaient droites et incorruptibles, se souciaient du peuple et étaient loyales au pays. Leurs actions vertueuses ont été enregistrées dans l’histoire et leur éclat a brillé pendant des milliers d’années. Ce sont de telles valeurs et la recherche de la vérité qui ont guidé la nation chinoise à travers les difficultés et les épreuves tout au long de sa longue histoire.
La culture traditionnelle a été conférée à l’homme par le divin, et les humains ont été créés par Dieu. Le cœur des croyances traditionnelles et justes est d’enseigner aux gens à être bons et à agir selon la loi de l’univers, afin de réaliser l’harmonie entre l’homme et l’univers. Le but et la signification de la culture d’inspiration divine est de guider les gens à mesurer les choses selon les critères moraux et de maintenir un juste état de compréhension des principes qui définissent « le bien et le mal » et « le juste et le pervers. » Elle encourage aussi les gens à rechercher la vérité en pensant à l’avenir de leur soi véritable. Ses valeurs morales et ses profondes connotations comprennent aussi une mission sacrée conférée par l’histoire.
Traduit de l'anglais en Europe
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