(Minghui.org)

Après que 432 personnes aient apposé leurs empreintes et signé une pétition appelant à la libération de M. Sun Yuqiang, un pratiquant de Falun Gong qui était en garde à vue, de plus en plus de personnes ont signé et recueilli activement des signatures pour soutenir la rescousse.

M. Sun Yuqiang, un pratiquant de 70 ans du village de Wanghaisi, canton de Cang, province du Hebei, a clarifié la vérité sur la persécution du Falun Gong dans un village dans le canton de Fenghuadian le 24 décembre 2012. Il a été signalé à la police et arrêté par Bai Jianhua, directeur adjoint de la Division de la sécurité intérieure du canton de Cang. Depuis lors cet homme gentil et à la voix douce est illégalement détenu dans le centre de détention de la ville de Cangzhou.

On lui a refusé les visites familiales pendant la détention. Il a aussi été privé de la couverture et des vêtements que sa famille les lui avait apportés parce que l’hiver est très froid. La police du canton de Cang, le parquet et la cour ont conspiré pour juger et condamner secrètement M. Sun. Cela a irrité de nombreux citoyens. Certaines personnes ont volontairement signé une pétition et collecté des signatures auprès d'autres personnes pour obtenir la libération de M. Sun.

Un propriétaire de magasin aide à recueillir des signatures

Ensuite, un camion s'est garé devant le magasin. Ce pratiquant est allé clarifier la vérité aux deux personnes dans le camion. Le propriétaire du magasin est également sorti et leur a dit : « Cette personne est un homme bon. Il n'y a pas de mal à écouter ce qu'il dit. » Il a ensuite répété ce qu'il avait entendu du pratiquant à ces deux personnes. Ces deux personnes ont aussi signé de plein gré et apposé leurs empreintes digitales sur la pétition.

Le propriétaire du magasin a ensuite dit au pratiquant : « Je vais cherche propriétaire du restaurant d'à côté pour qu'il signe aussi la pétition. » Et le propriétaire du restaurant a également signé la pétition.

Soutien enthousiaste

Un jour, un pratiquant de Dafa a vu un groupe de gens dans la rue alors qu'il clarifiait la vérité. Il a demandé leur soutien pour sauver M. Sun. L'un d'eux a dit : « C'est pour sauver les gens ! Il s'agit d'une bonne action. Nous allons signer la pétition. »

Un autre groupe de personnes a vu le pratiquant et les personnes qui signaient la pétition, ils étaient curieux de savoir ce qui se passait. Une personne dans le groupe qui venait de signer la pétition leur a expliqué ce qui s'était passé. Une personne de ce nouveau groupe a déclaré : « Le Parti communiste chinois est tellement corrompu. Il sera détruit bientôt. Nous devrions tous signer pour sauver de bonnes personnes. »

Une voiture de luxe qui passait là s'est arrêtée et un homme en est sorti, il a aussi voulu savoir pourquoi tant de gens étaient rassemblés. Le pratiquant de Dafa a hésité au départ, mais il a finalement décidé de lui parler de la persécution. De façon inattendue, cette personne a signé volontiers la pétition et a même demandé s'il y avait autre chose qu'il pouvait faire pour aider. Il a emporté avec joie des documents d'information avec lui.

Plus de 70 personnes à des funérailles signent la pétition

Il n'y a pas longtemps, un pratiquant de Dafa est allé à un enterrement. Il a parlé à un invité dans un endroit tranquille de la situation de M. Sun. Cet invité a signé la pétition après avoir appris la persécution. Pensant que plus de gens devraient également entendre la vérité sur la persécution, le pratiquant s'est approché de la foule. Par conséquent, un grand groupe de personnes s'est précipité pour signer la pétition.

Alors que des gens signaient encore la pétition, l'un des invités, qui venait de signer la pétition, a montré du doigt un autre groupe de personnes à proximité et a dit au pratiquant : « J'ai déjà parlé avec eux et ils ont tous accepté de signer la pétition. Vous avez juste à mettre le formulaire là-bas. » À la fin, le pratiquant avait recueilli plus de 70 signatures à l'enterrement.

Chaque signature compte

Un jour, un pratiquant est entré dans une maison pour clarifier la vérité et recueillir des signatures. Rapidement, l’épouse a signé la pétition, mais le mari était hésitant, inquiet que la signature de la pétition, si elle était identifiée, puisse l'affecter, car il est quelque peu connu dans sa région. Sa femme lui a dit : « Qu’est-ce qui te fait peur ? Nos empreintes digitales pourraient être les deux seules qui manquent. Cette personne peut être libérée grâce à nos empreintes digitales. » Le mari a finalement signé la pétition.

Traduit de l'anglais au Canada