(Minghui.org) Un peu partout dans le monde, sauf en Chine continentale, on peut voir dans les défilés ou autres événements publics, des pratiquants de Falun Gong brandir fièrement des banderoles avec le message «Le monde a besoin d’Authenticité-Bienveillance-Tolérance».
Alors que ces principes sont reconnus dans le monde entier, le Parti communiste chinois surveille le trafic internet et censure ces mots. Ceux qui mettent ces principes en pratique ont été persécutés en Chine ces quatorze dernières années.
Et les pratiquants continuant à adhérer fermement à Authenticité-Bienveillance -Tolérance ont résisté aux vaines tentatives de Jiang Zemin (alors secrétaire général du PCC) d’«éradiquer le Falun Gong en trois mois.» Aujourd’hui, près de quatorze ans plus tard, le PCC a bien du mal à continuer son impitoyable persécution.
Une banderole «Authenticité–Bienveillance–Tolérance» présentée par les pratiquants lors d'un défilé
La persécution du Falun Gong approche de sa fin
Pendant des années, les camps de travaux forcés ont été utilisés par le PCC pour persécuter les pratiquants de Falun Gong. Des atrocités inimaginables sont perpétrées derrière les murs de ces installations. La persécution a été déchaînée en 2001, s’est poursuivie sans répit jusqu’en 2004, puis a commencé à décroître en 2005; en raison de l’infatigable résistance des pratiquants à la persécution, du réveil d’un nombre de gens sans cesse croissant, ajouté à la pression considérable de la communauté internationale, la persécution du Falun Gong par le PCC approche de sa fin. Les camps de travaux forcés, qui faisaient auparavant d’énormes profits en participant à la persécution, font aujourd’hui face au ressentiment public et trouvent de plus en plus difficile de poursuivre leurs opérations.
Le camp de travaux forcés pour femmes de Pékin a commencé à relâcher des pratiquants au mois de mai de cette année et en juillet, il ne restait plus aucun pratiquant dans le camp. Récemment, plus d’une dizaine de pratiquants détenus dans le camp de travaux forcés de Xidayingzi, à Chaoyang, dans la province du Liaoning, ont été relâchés. Certains qui avaient résisté aux tentatives de «transformation» ont été transférés dans des centres de lavage de cerveau locaux ou emmenés directement en prison, mais quoiqu’il en soit la persécution ne durera pas beaucoup plus longtemps, le jour où la droiture l’aura complètement emporté sur le mal approchant à grand pas.
Le PCC est très effrayé par la perspective de voir ses atrocités exposées au grand jour. De juillet 1999 à juillet 2013, le site Minghui a rapporté 25415 cas de persécution et 11597 cas de condamnations illégales infligées aux pratiquants. Des dizaines de milliers de rapports avec une information de première main ont consigné les détails de la persécution dans chaque région. Mais aussi choquantes que ces révélations puissent être, elles ne sont que la pointe de l’iceberg.
Selon des statistiques du site Minghui, la province du Liaoning arrive dans les premières parmi toutes les provinces, les municipalités chinoises sous le leadership direct du gouvernement central, et les régions autonomes en termes de nombre de cas rapportés de persécution.
La province du Liaoning a été, à un moment, sous l’autorité de Bo Xilai, qui a étroitement suivi les exigences de Jiang Zemin, de persécuter le Falun Gong. Le terrifiant prélèvement d’organes sur des pratiquants de Falun Gong de leur vivant a été pour la première fois dénoncé à Sujiatun, dans la province du Liaoning. L’exposition «Bodies» (exposition de corps humains siliconés), est suspectée d'avoir utilisé des pratiquants de Falun Gong comme «cadavres», un programme également lancé par Bo Xilai et son épouse Gu Kalai à Dalian, dans la province du Liaoning. Le soi-disant «accomplissement de recherche» du centre de recherche en psychologie sur place, dirigé par un proche complice de Bo, Wang Lijun, a revendiqué des milliers d’expérimentations conduites en une période de deux ans dans «la Recherche sur la transplantation d’organes de donneurs ayant été soumis à une injection de médicaments (injection létale)», fournissant un surcroît de preuves aux allégations de leur implication directe dans le prélèvement d’organes à vif de pratiquants et la conduite d'expériences sur des êtres humains vivants.
Il existe un dicton: «Ciel et Terre veilleront à la rétribution du bien comme du mal.» Aussi puissants et arrogants qu’ils aient été un jour, Bo Xilai, sa femme, et leur complice Wang Lijun sont aujourd’hui prisonniers. Le principe céleste prévaut. Leur fin ignominieuse indique que la persécution qui se prolonge va inévitablement prendre fin, tôt ou tard.
Les gens soutiennent le Falun Gong en s’opposant à la persécution
Jiang Zemin et le PCC ont maintenu la persécution pendant toutes ces années en comptant sur leurs organisations d’application de la loi, trahissant leur propre conscience, pour des intérêts égoïstes et les gens qui se sont laissés duper par les mensonges et la propagande de haine du PCC; à présent, avec de plus en plus de responsables et de policiers apprenant la vérité et adoptant une attitude passive envers la persécution, les gens sont de plus en plus nombreux à soutenir ouvertement le Falun Gong, et de plus en plus de membres de la communauté internationale joignent leurs forces pour soutenir la justice. Comment la persécution du Falun Gong pourrait-elle se poursuivre?
Un article publié sur le site Minghui intitulé «Le changement parmi la police» rapportait que de nombreux agents travaillant dans un centre de détention et ayant auparavant gravement persécuté les pratiquants de Falun Gong ont changé de manière significative. En voyant des pratiquants de Falun Gong être arrêtés, ils demandent à présent: «Quelle raison y a-t-il d’arrêter ces personnes?» Certains ont reconnu avoir même battu des pratiquants auparavant, et certains ont identifié la liste des malfaiteurs recherchés pour les crimes qu’ils ont commis. En réalité, de nombreux rapports publiés sur le site Minghui montraient des policiers adoptant une attitude passive envers la persécution afin de s’assurer une voie de sortie pour eux-mêmes, ou préservant la preuve des crimes contre les pratiquants. Après tout, qui pourrait bien vouloir être utilisé et participer à la persécution de bonnes personnes?
Les cas de résidents locaux se joignant aux efforts pour secourir les pratiquants de Falun Gong indiquent clairement la tendance de l’opinion publique. Le gang de Jiang Zemin a considéré que leur plus grand succès était d’avoir amené la population à haïr le Falun Gong, et les gens n’osaient pas dire un mot en faveur du Falun Gong. Mais l’an dernier, les choses ont commencé à changer.
En avril 2012, une pétition de la province du Hebei portant les empreintes digitales de 300 personnes (une méthode chinoise traditionnelle pour les signatures officielles) a circulé parmi les membres du Politburo et envoyé une onde de choc au sein du gouvernement central. La pétition réclamait la libération du pratiquant de Falun Gong, Wang Xiaodong, un professeur connu et respecté d’un village local.
Les médias étrangers ont largement couvert début 2013 l’histoire d’une pétition signée par 700 résidents locaux avec leurs empreintes digitales dans le canton de Zhengding, province du Hebei, pour secourir le pratiquant de Falun Gong, Li Lankui. Les «700 empreintes digitales» ont plus tard augmenté à 10955. Un représentant du gouvernement cantonal a déclaré: «Les pratiquants de Falun Gong croient en Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Chacun sait qu’ils sont de bonnes personnes. Je ne m’impliquerai jamais dans la persécution du Falun Gong. Ceux au sein du Bureau 610 et de la police n’ont jamais rien fait de décent. Pour soutenir le secours aux pratiquants de Falun Gong , je signerai la pétition.» Puis il a apposé ses empreintes digitales sur la pétition.
La pétition circule largement, rassemblant plus de 10000 signatures et empreintes de doigts (selon le style traditionnel chinois).
Une autre pétition a été initiée à Tangshan, dans la province du Hebei le 15 mars 2013, avec plusieurs dizaines de milliers d’empreintes digitales, réclamant la libération du pratiquant, Zheng Xiangxing, un homme d’affaires respecté et crédible.
En février 2011, le pratiquant Qin Yueming a été persécuté à mort dans la prison de Jiamusi. Sa fille a initié une pétition pour redresser cette injustice et rassemblé 15000 empreintes digitales de soutien de résidents locaux.
Le système de travaux forcés sera bientôt aboli. Les cas de persécution diminuent sensiblement, et les centres de lavage de cerveau trouvent difficile de poursuivre leurs opérations.
Toutefois, la persécution feutrée du Falun Gong ne signifie pas que le PCC a changé pour le meilleur, mais plutôt que grâce aux efforts persistants de résistance des pratiquants et du grand public, le PCC s’est rapproché un peu plus de sa fin.
Les pratiquants de Falun Gong n’ont pas cessé de demander depuis le tout début: «Arrêtez de persécuter le Falun Gong, relâchez tous les pratiquants détenus, autorisez la publication des livres du Falun Gong; traduisez les responsables en justice et compensez les pratiquants de Falun Gong pour toutes les pertes subies. Bien que les camps de travaux forcés soient en train de fermer, ceux qui refusent d’écouter un conseil attentionné et ceux encore trompés par les mensonges continuent à persécuter les pratiquants en les condamnant illégalement à la prison ou en les envoyant dans des centres de lavage de cerveau à des fins de 'transformation'.»
Quoiqu’il en soit, à mesure que de plus en plus de gens se joignent à la résistance à la persécution, nous en verrons bientôt la fin.
Traduit de l'anglais en Europe
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Catégorie: Opinions