Comment la cupidité peut ruiner la vie de quelqu’un

Une ancienne parabole chinoise

(Minghui.org) Lu Dongbin est un personnage bien connu dans les légendes chinoises qui s'est élevé en se cultivant jusqu'à devenir un immortel. On raconte qu’il s'est une fois transformé en un vendeur de rue, et a installé une table pour vendre des boulettes, avec une pancarte : « Une pièce pour une boulette et deux pièces pour en manger autant que vous le pouvez. » Il espérait ainsi trouver une personne honnête qu'il puisse accepter comme disciple.

Beaucoup de gens sont venus à la table pour acheter des boulettes, mais tous ont payé deux pièces et mangé à satiété. Finalement, un jeune homme est venu, a payé une pièce pour une boulette, et s’apprêtait à partir. Lu Dongbin, approbateur, lui a demandé pourquoi il avait payé une pièce pour une boulette au lieu de deux et de manger autant qu'il le pouvait. Le jeune homme a répondu : « Je n'avais qu'une pièce sur moi. » Lu Dongbin était très déçu. Malheureusement, il ne trouva jamais personne qu’il puisse prendre comme disciple.

Cette histoire pourrait nous faire réfléchir à comment, dans la société d’aujourd'hui, la plupart des gens tendent à s’affairer une journée après l’autre plutôt que de s’arrêter pour vraiment réfléchir à la signification et au but de la vie.

Motivée par le désir de gloire et de fortune, une personne pense généralement à son propre intérêt et agit pour le satisfaire. Dans l'exemple qui précède, ceux ayant acheté des boulettes au vendeur de rue pensaient peut-être avoir pris une décision intelligente. Ce qu'ils ne réalisaient pas, c'est qu'ils perdaient en même temps une précieuse occasion d'apprendre d'un immortel et de s'élever pour un avenir meilleur.

La cupidité continue à prévaloir dans la Chine aujourd'hui

Malheureusement, il y a beaucoup d'histoires de cupidité et de méchanceté dans la Chine d'aujourd'hui, en particulier s’agissant de la persécution du Falun Gong. Le régime communiste a utilisé tous les moyens à sa disposition, l'ensemble de ses médias et ses outils de propagande, pour diffamer le Falun Gong.

Les gens ont néanmoins encore des possibilités d’apprendre la vérité par leurs voisins, leurs amis, ou par des pratiquants. S’ils restent indifférents aux crimes contre l'humanité parce qu'ils veulent protéger leurs intérêts personnels, commettant même eux-mêmes de mauvaises actions, ils devront sûrement en supporter les conséquences. Voici quelques exemples qui semblent illustrer ce principe.

Deux fonctionnaires des tribunaux dans la province du Xinjiang

Su Qian, une policière de la cour intermédiaire de la ville de Shihezi dans la province du Xinjiang, est morte d'une leucémie avancée, le 12 juin 2007. Elle avait participé à la persécution de nombreux pratiquants et était connue pour être corrompue, détournant de grosses sommes d'argent.

Se sachant mourante, et pour soulager sa culpabilité, elle a donné 300 000 yuan à son ami avant de mourir, lui demandant de faire don de l'argent à une œuvre de charité. Après avoir été emmenée à la morgue et y être restée étendue pendant 24 heures, Su est soudainement revenue à la vie.

Devant ses amis, collègues et médecins, elle a décrit ce qu'elle avait vu pendant cette journée.

Su Qian a raconté qu'elle était allée en enfer et avait vu beaucoup de scènes effrayantes. Elle a dit que Liu Yong, son mari mort dans un accident de voiture quelques mois plus tôt, souffrait en enfer pour avoir persécuté les pratiquants.

Son ami Gao Fan, un juge décédé voici quelques mois, souffrait également beaucoup. Le roi de l'enfer, non seulement savait tout des fonds détournés par Su, mais il lui a dit que quiconque ayant participé à la persécution du Falun Gong finirait en enfer et subirait des tourments sans fin. Il lui a dit que la seule issue était de quitter le régime communiste. Le roi de l'enfer a dit à Su qu'il lui donnait l'occasion de revenir à la vie pour qu'elle fasse savoir cela aux autres. Su a immédiatement demandé à quitter le régime communiste et a exhorté les gens dans la chambre d'hôpital à faire de même.

Peu de temps après, Su est morte de nouveau pour ne jamais revenir. Ses funérailles ont eu lieu comme prévu.

Après que Su Qian soit morte, Wu Jun a repris la responsabilité de traiter les cas du Falun Gong dans la région. Plusieurs personnes l'ont pressé de démissionner en raison des mauvaises conséquences auxquelles Su et son mari avaient été confrontés. Mais Wu a refusé, et il est mort par la suite.

La veille de sa mort, Wu a dit à son ami qu'il avait fait un rêve dans lequel Su l’avertissait de ne pas commettre d’actes répréhensibles parce que son mari et son ami Gao avaient reçu la rétribution. Mais Wu n'avait pas écouté.

Le lendemain, il s'est évanoui au travail et a été emmené aux urgences de l'hôpital. Wu Jun est mort peu après. Sa femme a fait un rêve dans lequel il venait la trouver, la suppliant de l'aider parce que la souffrance en enfer était si horrible. Sa femme lui a dit que cela avait été causé par ses mauvaises actions et qu'il était trop tard pour qu'elle puisse faire quoi que ce soit.

Autres exemples de conséquences

Chen Hong, directeur adjoint de la Division des thèmes sociaux de la CCTV, a compilé la propagande diffamant le Falun Gong qui a finalement empoisonné les esprits de millions de Chinois. Se débattant dans une douleur intense avant de mourir d'un cancer de l'estomac en 2008, il a demandé aux médecins de cesser les tentatives pour prolonger sa vie parce que chaque seconde de vie en plus signifiait une autre seconde de souffrance.

Wei Zhiyun, une policière de la division de la sécurité intérieure dans le district de Baoshan de la ville de Shanghai, a été promue pour avoir persécuté le Falun Gong. Quand les pratiquants lui ont appris les faits concernant le Falun Gong début 2007 et lui ont demandé de cesser de commettre de mauvaises actions, elle a dit : « Je ne crois pas à la rétribution. Le Parti communiste me récompense avec de l'argent, je vais travailler pour lui. Je ne m'inquiète pas, car tout le monde doit mourir tôt ou tard. » Elle a également diffamé le fondateur du Falun Gong et s'est vantée qu'elle lui survivrait.

Avant une réunion, plusieurs semaines plus tard, Wei s'est soudainement évanouie et est tombée inconsciente. Elle est morte le corps boursouflé, et le visage horriblement déformé. Elle n'avait que 42 ans.

Bo Xilai a le premier commencé à prélever des organes sur des pratiquants de Falun Gong vivants quand il était le chef de la province du Liaoning, selon son subordonné, Wang Lijun. La pratique s'est rapidement diffusée à toute la Chine, résultant en de nombreux crimes contre l'humanité.

Leur implication dans la persécution des pratiquants de Falun Gong innocents pourrait être une raison pour laquelle Bo, Wang, et de nombreux autres responsables du régime communiste sont récemment tombés en disgrâce politique.

Après tout, un ancien proverbe chinois ne dit-il pas « Le bien est récompensé par le bien et le mal attire le mal. »

Traduit de l'anglais en Europe