(Minghui.org) (Suite de la 1ère partie)

J'ai clarifié la vérité sur le Falun Dafa pendant plus de dix ans. De plus en plus de gens en ont bénéficié et ils en sont reconnaissants.

(1) Un citoyen âgé a hurlé aux policiers : « Il me sauve la vie, vous me créez des ennuis. »

Un jour, alors que j'étais dans un bus dans la ville de Shenyang, un homme âgé est monté à un arrêt. Le bus était plein, alors je lui ai fait signe, offrant mon siège. Il m'a remercié. « Où allez-vous ? » lui ai-je demandé. Il a répondu : « J'ai plus de 80 ans et j'ai perdu beaucoup de mon ouïe. Je me suis perdu dans la ville et maintenant je suis en train de rentrer chez moi. »

Il a commencé à me parler de son mauvais état de santé. Je lui ai dit de réciter : « Falun Dafa est bon ; Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon » aussi souvent que possible, et que son état de santé s'améliorerait.

Le vieil homme a précisé : « J'ai entendu ce que vous avez dit, pouvez-vous écrire les mots sur un papier ? » Je n'avais ni stylo, ni papier, et les autres passagers à proximité n'en n'avaient pas non plus. Alors j'ai haussé la voix en lui disant à l'oreille : « Falun Dafa est bon ; Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. »

« Qui a dit cela ? » Un homme en colère a crié en me fixant du regard. J'ai levé les yeux et ai remarqué deux policiers assis l'un à côté de l'autre, un d'âge mûr, et l'autre était jeune.

J'ai dit : « C'est moi ! Je n'ai enfreint aucune loi. » Le policier d'âge mûr s'est levé brusquement et il semblait vouloir m'arrêter. Je l'ai poussé dans son siège en disant fermement : « N'essayez pas de m'intimider. »

Je me suis soudain rendu compte qu'il s'agissait de mon esprit de compétition, alors j'ai immédiatement commencé à émettre la pensée droite. Le policier me criait après, mais je n'a pas entendu ce qu'il disait parce que j'émettais la pensée droite. Il était comme fou. Soudain, le vieil homme s'est levé et a dit à haute voix : « Il est en train de me sauver la vie, vous me créez des ennuis ! Quel genre de personne êtes-vous, de toute façon ? »

Le policier a répondu : « Je suis un policier ! »

Le vieil homme a repris avec indignation : « Les policiers devraient arrêter les voleurs. Cet homme-ci n'est pas une mauvaise personne, pourquoi essayez-vous de l'arrêter. Vous êtes en train de faire une scène, et lui ne rouspète même pas. Je n'ai aucun respect envers les gens comme vous. »

Le policier a dit : « Je suis un policier, alors... »

Avec un air de dégoût sur le visage, le vieil homme a répondu : « Un policier ! Pourquoi ne m'avez-vous pas offert votre siège ? »

Les autres passagers ont éclaté de rire. Le jeune policier a tiré le bras du policier d'âge mûr en lui disant de se taire.

Le vieil homme a continué : « Cet homme m'a donné son siège, et m'a partagé des mots magiques de salut. Mais vous nous faites des interférences. Je vous méprise vraiment. » Le vieil homme a contrôlé son humeur avec difficultés et a presque frappé le policier. Lorsque le bus s'est arrêté à la station suivante, les deux policiers sont descendus alors que les autres passagers ont applaudi. Ils ont crié : « Quel genre de policiers sont-ils ? » « Stupides ! » a fait remarquer le vieil homme. Puis il dit : « Pas besoin d'un stylo. Maintenant, nous allons tous nous souvenir de 'Falun Dafa est bon !' »

(2) Ma mère a confronté la police au poste

Il y a plusieurs années, trois policiers sont venus chez moi pour me harceler. Ils ont refusé d'écouter alors que je clarifiais la vérité. Je leur ai dit fermement : « Ceci est mon domicile. Les gens qui manquent de respect envers le Falun Dafa ne peuvent pas entrer. Vous pouvez partir maintenant. » Ils ont refusé de partir. En fin de compte, j'ai dû les pousser hors de chez moi.

Depuis ce jour, ils ne sont jamais revenus. Un jour, plusieurs policiers se sont rendus chez ma mère. Ils lui ont dit que je devais me rendre au poste de police, et que tout irait bien. Trompée, ma mère a accepté de me donner le message.

Quand j'ai dit à ma mère de ne pas croire en la police, elle n'a pas été convaincue, et a commencé à se plaindre de moi. Je lui ai dit : « Bon, je vais les appeler maintenant afin que tu puisses voir quel genre de personnes ils sont. »

En utilisant le haut-parleur, j'ai appelé la police et j'ai commencé à parler de la persécution du Falun Dafa. Le policier a commencé à critiquer les pratiquants en blasphémant. Ma mère ne pouvait pas contenir sa colère et elle s'est rendue immédiatement au poste de police.

En face d'un certain nombre de policiers, ma mère a crié : « Certaines personnes n'ont pas de savoir-faire ! Quiconque a maudit mon fils, je vous mets au défi de vous avancez et de l'admettre ! » Ils sont tous restés silencieux. Ma mère a continué : « Nous vous traitons avec respect, mais vous ne vous comportez pas comme des êtres humains. Vous avez le culot de blasphémer ; osez-vous vous avancer ? » Les policiers ont gardé le silence.

Ma mère leur a montré le numéro de téléphone sur mon téléphone portable, et a demandé : « À qui appartient ce numéro ? » Ils ont tous nié qu'il était le leur : « Non, ce n'est pas le mien. » « Pas le mien non plus. »

Enfin, quelqu'un lui a dit que le nombre appartenait au directeur de la police. Le directeur a secoué de la tête : « C'est mon numéro, mais je ne suis pas celui qui vous a insulté. » En fin de compte, plusieurs policiers se sont excusés auprès de ma mère. Elle est finalement partie.

Après cet incident, la police ne m'a jamais dérangé à nouveau. L'an dernier, quand ma femme et moi sommes allés au poste de police pour prendre soin de quelque chose, ils ont été très polis. Un policier supérieur a dit à un autre policier : « Veuillez voir à sa demande dès que vous le pouvez. »

(3) « Falun Dafa est bon! » pouvait être entendu partout dans le marché

Quand j'étais vendeur sur un marché, j'ai rencontré une femme surnommée « troisième sœur ». Elle m'a dit qu'elle avait une vie difficile. Son mari était mort, et elle souffrait de fièvre aphteuse. J'ai commencé à lui parler du Falun Dafa et l'ai encouragée à démissionner des organisations communistes. Je lui ai également dit de se souvenir de la phrase suivante :« Falun Dafa est bon ; Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon » et de la répéter souvent.

Des semaines plus tard, je l'ai revue. Elle m'a dit avec enthousiasme : « Ce que vous m'avez proposé est tellement efficace. Depuis que j'ai démissionné de mon association avec le Parti et ai commencé à réciter la phrase, ma fièvre aphteuse a été guérie. » Elle m'a révélé qu'elle se réveillait à 3 heures chaque jour pour réciter « Falun Dafa est bon ; Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. » Elle ne cesse que lorsqu'il est temps de préparer le petit déjeuner. Elle a dit qu'elle récitait les mots avant d'aller se coucher et maintenant elle se sent toujours très heureuse.

Le beau-fils de « troisième sœur » souffrait d'un calcul du cholédoque, et la douleur était atroce. Les médecins ont dit qu'il avait besoin d'une intervention chirurgicale et qu'il en coûterait plus de 20 000 yuans. J'ai dit à « troisième sœur » : « Qu'il vienne pratiquer le Falun Dafa avec moi. » Une semaine plus tard l'homme a commencé à lire le Zhuan Falun et à faire les exercices, et son calcul du cholédoque a été guéri. Sa mère était très enthousiaste et a dit : « Le Falun Dafa est vraiment incroyable. » La mère a dit à tout le monde : « Ne dites pas de mauvaises choses sur le Falun Dafa. Mon fils a pratiqué pendant seulement sept jours et son calcul du cholédoque a été guéri. »

Un jour, une femme d'âge mûr, aveugle, est venue au marché. Une autre femme marchait avec elle, lui tenant le bras. Après que je leur aie parlé de la persécution et les aie convaincues d'abandonner leur association avec le Parti, la femme aveugle a murmuré : « Je suis tellement chanceuse d'être ici. Ce matin, je sentais que quelque chose de bon allait avoir lieu pour moi, donc j'ai insisté pour venir. Maintenant, je suis sauvée. » Elle pouvait à peine contenir son enthousiasme et a crié à pleins poumons : « Falun Dafa est bon ! Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ! » Elle répétait ces mots en marchant à travers le marché.

Je suis très heureuse pour elle. Je savais que je devais redoubler mes efforts et clarifier la vérité à plus de gens. Tout le monde attend pour l'entendre et nous ne pouvons pas les laisser tomber.

(À suivre)

(Onzième conférence de partage d’expériences par Internet de Minghui pour les disciples de Dafa de Chine continentale)

Traduit de l'anglais au Canada