(Minghui.org) Bonjour Maître ! Bonjour compagnons de pratique !

Je crois dans le Maître et le Fa et j'ai souvent senti que le Maître était juste à côté de moi. Quand je deviens altruiste, ma pensée droite devient plus forte. J'aimerais partager certaines de mes expériences concernant la cultivation et pratique et le salut des gens.

1. Secourir les pratiquants avec succès

(1) La police se joint à nos efforts pour la libération d'un pratiquant

J'étais en train de travailler sur mon lieu de travail en ville quand on m'a dit qu'un pratiquant avait été illégalement arrêté. J'ai immédiatement quitté le travail et je me suis précipité vers mon village.

Je suis allé avec d'autres pratiquants voir le responsable du village et je lui ai clarifié la vérité sur la persécution du Falun Gong. Il était très sympathique et a écrit une lettre disant que le pratiquant arrêté était une bonne personne.

J'ai accompagné les parents du pratiquant arrêté à la Division de la sécurité intérieure du poste de police qui était chargée de l'affaire. Dès que nous sommes entrés, j'ai reconnu immédiatement un agent de police qui avait tenté de me faire arrêter quelques années auparavant. Quand il m'a regardé, il a dit : « Vous me semblez familier. » En le regardant, j'ai émis une forte pensée droite et j'ai dit : « Oui, nous nous sommes déjà rencontrés. » Cependant, il n'a pas semblé se rappeler qui j'étais et il est parti.

Quand nous avons trouvé le directeur de la Division de la sécurité intérieure, je lui ai dit comment cette famille de trois générations avait été persécutée par le Parti communiste chinois (PCC). J'ai dit que le pratiquant cultive Authenticité-Bienveillance-Tolérance et est une bonne personne. Il a été si gravement torturé dans un camp de travaux forcés qu'il a souffert d'une dépression nerveuse. Après sa libération, il a repris la pratique du Falun Gong et a récupéré.

Cet homme innocent a été à nouveau illégalement arrêté. La mère du pratiquant est également une pratiquante. Elle a dit au directeur : « Les bonnes actions sont toujours récompensées et le mal sera toujours punis. »

« Vous devez faire quelque chose à propos de cette injustice », lui ai-je dit. « Ou bien ces deux personnes âgées ne partiront pas. Ils n'ont pas pu dormir depuis l'arrestation de leur fils. Leur famille a déjà vécu tellement de choses. Ils ne peuvent tout simplement pas en prendre plus. Vous devez les aider. »

J'ai émis la pensée droite pour éliminer toutes les substances négatives. Une chose dont nous avons parlé a touché le directeur et il a dit : « Très bien. Vous pouvez aller parler à la personne qui a fait l'arrestation. »

Nous sommes allés au poste de police et nous avons trouvé l'agent qui avait fait l'arrestation. Je lui ai dit : « Ce matin, j'ai pris l'autobus pour venir ici. Certains des passagers m'ont demandé pourquoi j'étais si pressé. Je leur ai dit qu'un homme innocent avait été arrêté en raison de sa croyance en Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Les passagers ont dit : 'les pratiquants de Falun Gong sont de bonnes personnes ! Les mauvaises personnes essaient de tirer des bénéfices en nuisant à de bonnes personnes !' »

J'ai dit au policier : « Vous voyez jeune homme, les gens savent ce qui est juste. Êtes-vous fier d'avoir fait de telles choses ? » L'agent a tout à coup couvert son visage et a presque pleuré : « Je ne savais pas. Vous devriez parler au directeur du poste de police. Je vais aussi essayer de lui parler de cela. »

J'ai trouvé le directeur du poste de police et je lui parlé de ce que ce pratiquant avait déjà vécu. Il a dit : « Vous avez dit qu'il avait eu une dépression nerveuse quand il était dans un camp de travaux forcés. Il peut obtenir un rapport d'évaluation de l'hôpital psychiatrique. Nous avons besoin d'une raison pour le libérer. »

Les pratiquants locaux ont continué à émettre la pensée droite et nous avons également dénoncé cette persécution sur le site Minghui. Sentant la pression, le directeur de la Division de la sécurité intérieure a blâmé le policier qui l'a arrêté et a renvoyé l'affaire au poste de police local.

Le directeur du poste de police m'a dit que l'évaluation psychiatrique aurait lieu le lendemain. Quand je lui ai dit que je viendrais, il n'était pas content et a dit : « Les responsables ne veulent pas que vous soyez là. » J'ai dit : « Je dois être là. Si quelque chose ne va pas, il sera plus facile pour nous de communiquer. Je sais que vous devez être sous la pression de vos supérieurs et donc vous êtes contrarié. »

Son attitude a changé immédiatement. Il a dit : « Je vais aller le chercher au centre de détention demain à 8 h. Vous pouvez attendre à l'hôpital psychiatrique. »

Je savais que nous devions y être à l'avance pour nettoyer l'environnement, alors deux pratiquants et moi y sommes allés tôt le lendemain matin. Après que nous ayons émis la pensée droite pendant plus de deux heures, nous pouvions sentir le champ dimensionnel environnant s'éclaircir.

Lorsque la voiture de police est arrivée, le directeur de police, le directeur adjoint, l'enquêteur de la police et le chauffeur sont tous sortis, mais le pratiquant est resté à l'intérieur. Le directeur nous a dit : « Allez à l'intérieur de la voiture et parlez lui. Assurez-vous qu'il raconte la même histoire que vous m'avez racontée. Nous allons réussir aujourd'hui. »

Nous nous sommes assis à l'intérieur de la voiture. Le pratiquant avait un air terrible. Je lui ai demandé : « As-tu compris ce qui se passe ? » Il était confus et a dit : « C'est mon ancien camarade de classe qui m'a aidé, non ? » Je lui ai dit : « C'est le Maître qui t'aide ! Tous les autres pratiquants émettent la pensée droite pour toi ! » Nous l'avons encouragé.

Après deux semaines de violence, sa pensée droite n'était pas forte. Malgré tout, avec notre effort de groupe le sauvetage s'est tout de même bien passé. Le Maître observe nos pensées !

J'avais remarqué plus tôt des policiers sortir des cadeaux de la voiture. Il semblait qu'ils essayaient de soudoyer le directeur de l'hôpital psychiatrique. J'ai décidé de payer leur repas.

Quand j'ai donné 300 yuan au directeur de la police, il a dit : « Si peu ? » Vous savez que nous avons dépensé 3000 yuan pour acheter ces cadeaux ! » Il est reparti avec l'argent, l'air insatisfait.

J'ai soudain réalisé que la police essayait de réduire leur responsabilité en versant un peu d'argent, mais si je lui donnais de l'argent, cela lui nuirait. J'ai dit dans mon cœur : « Je me suis trompé, Maître ! Que devrais-je faire pour sauver la situation ? Ne laissez pas ces policiers commettre plus de crimes à cause de mon erreur ! » Je ressentais un profond regret. Lorsque le directeur de la police est venu, il a dit : « Je veux vous retourner l'argent. La personne que j'ai essayé de soudoyer ne sera pas en mesure d'aider. » Le directeur adjoint est venu vers moi et m'a dit : « Tu ferais mieux de te dépêcher et d'essayer de trouver de l'aide supplémentaire. On dirait que ça ne s'est pas bien passé. »

J'ai repris les 300 yuan et j'étais tellement reconnaissant envers le Maître bienveillant. J'ai dit aux deux policiers : « Pas besoin de chercher d'autres secours. Il sera en mesure de sortir. » Ils se sont tous les deux approchés et ont dit doucement : « Tu as une autre personne pour aider ? » Je lui ai dit : « Non, je n'en ai pas mais nous réussirons, j'en suis certain. » À ce moment, le champ dimensionnel était très brillant. Les deux policiers semblaient avoir oublié ce qui s'était passé et ils sont retournés dans l'hôpital.

Un peu plus tard, le directeur de la police s'est précipité dehors et a crié avec enthousiasme : « C'est une réussite ! C'est une réussite ! Nous pouvons le libérer demain matin ! »

Le lendemain matin, nous avons ramené le pratiquant chez lui. Nous avons dit fermement aux policiers, y compris au directeur, qu'ils ne devraient plus participer à la persécution à l'avenir. Ils ont dit : « Tout à fait. Quiconque arrête les pratiquants sera frappé de malchance ! »

(2) Le directeur de la Division de la sécurité intérieur a libéré des pratiquants

Une pratiquante âgée a été arrêtée il y a plusieurs années alors qu'elle distribuait des documents clarifiant la vérité et son dossier a été transféré du poste de police local à la Division de la sécurité intérieure.

Sa fille, également pratiquante, y est allée avec quelques autres pratiquants pour clarifier la vérité et exiger la libération de sa mère. Mais le directeur de la Division de la sécurité intérieure a refusé d'écouter et leur a ordonné de partir. Le directeur a rapporté le dossier au poste de police de niveau municipal. La pratiquante âgée a été illégalement condamnée à un camp de travaux forcés. Les pratiquants locaux étaient très déçus. Ils n'ont pas vu la nécessité de retourner exiger sa libération. Je sentais que nous ne devions pas laisser le directeur de la Division de la sécurité intérieure continuer à commettre des crimes.

Pendant cette période de temps, la police est venue plusieurs fois chez moi pour me harceler. J'ai décidé d'étudier calmement le Fa et d'améliorer mon état de cultivation et pratique. Je lisais cinq ou six leçons du Zhuan Falun chaque jour, ainsi que de nouvelles conférences du Maître. J'émettais la pensée droite pendant plus d'une heure chaque fois.

Une semaine plus tard, j'ai senti que mon état de cultivation et pratique s'était amélioré. J'ai fait un rêve où un groupe de policiers gardaient un passage et ne laissaient personne traverser. Quand j'ai marché vers eux, ils ont essayé de m'arrêter. Je leur ai dit : « Figez ! » et ils se tenaient tous là, figés. J'ai continué à marcher. Plusieurs autres policiers sont venus et ont voulu me battre. J'ai dis « figez » à nouveau et ils ont figé avec leurs mains en l'air. Quand je me suis réveillé, je croyais encore plus fermement que le pouvoir des disciples de Dafa était sans limite et que rien ne pourrait m'arrêter.

Certains pratiquants étaient inquiets pour moi et ont dit : « La police est venue à ton domicile. Est-il sécuritaire pour toi d'y aller ? » J'ai dit : « Oui, je peux y aller. » Je suis allé au bureau du directeur de la Division de la sécurité intérieure avec la fille du pratiquant. Il nous évitait, mais nous avons attendu là et émis la pensée droite. Un policier est venu et a demandé qui nous cherchions. Il nous a dit que le directeur était dans une autre petite pièce. Nous l'avons trouvé se cachant là.

Je lui ai expliqué pourquoi nous étions venus. Il a dit avec colère : « Ne me regardez pas ! Allez chercher le PCC ! » J'ai dit : « Les individus sont en charge de la réalisation des ordres du PCC. N'êtes-vous pas un de ceux-là ? » J'émettais la pensée droite tout en parlant. J'ai ensuite adouci mon ton et j'ai dit : « Ne vous fâchez pas. Nous devions être destinés à nous rencontrer aujourd'hui. »

Je lui ai demandé : « Quel crime une vieille dame pourrait-elle commettre ? » Il a crié : « Elle renverse le PCC ! » Je lui ai demandé : « Vous voulez dire qu'une petite vieille dame peut renverser le PCC ? » Il a ri. Il a lui-même trouvé cela ridicule.

J'ai dit : « Elle n'a pas enfreint la loi. Maintenant, elle est arrêtée et il n'y a personne chez elle pour prendre soin de son vieux mari. » Je lui ai dit très sérieusement : « Vous devriez faire quelque chose de bon, étant donné votre position ! »

Nous avons continué à émettre la pensée droite, tandis que les autres pratiquants émettaient la pensée droite à l'extérieur. Soudain, le directeur a pris le téléphone et a dit : « Bon, je vais faire un appel. Vous écoutez. » Il a appelé le camp de travail et leur a dit que le mari de la vieille dame était malade, sa famille avait besoin d'elle et que ses enfants étaient là. La personne du camp de travail a dit : « Rien de plus simple. Elle n'a pas encore été envoyée ici. Aujourd'hui c'est vendredi. Quand elle sera envoyé ici lundi, je peux facilement donner une excuse pour la libérer. Je prétendrai qu'elle a une pression artérielle élevée. »

Après avoir raccroché le téléphone, le directeur a dit : « Vous devez attendre jusqu'à lundi prochain. »

Le lundi suivant, le directeur nous a appelés et nous a demandé que des membres de sa famille viennent la chercher. Après avoir été détenue pendant un mois, la pratiquante a été libérée.

(à suivre)

(Onzième conférence de partage d’expériences par Internet de Minghui pour les disciples de Dafa en Chine continentale)

Traduit de l'anglais au Canada