(Minghui.org) Une pratiquante de Falun Gong en Chine qui a dans les soixante-dix ans mais une apparence très jeune, parle souvent aux gens à propos du Falun Gong. Elle a aidé près de 7 000 personnes à démissionner du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organismes affiliés.
Le 19 mai 2013 vers 7 h 30 du matin, elle et une compagne de pratique parlaient aux gens à propos du Falun Gong et de la persécution, et deux personnes venaient tout juste d'accepter de quitter le PCC. Une voiture de police a soudainement pilé derrière eux, et deux policiers ont bondi hors du véhicule en disant : « Que transportez-vous dans vos sacs à main ? Vous devez venir avec nous au poste de police. » Ils ont ensuite confisqué les sacs à main des pratiquantes.
Les policiers doivent aussi apprendre la vérité à propos du Falun Gong
Face à cette situation, les pratiquantes n'ont pas du tout eu peur. Elles ont juste pensé : « Ces deux policiers sont si jeunes, c'est vraiment dommage qu'ils ne connaissent pas la vérité concernant le Falun Gong. Nous ne pouvons pas les laisser commettre de crimes envers Falun Gong. Ils doivent avoir la possibilité de se choisir un meilleur avenir. »
Une d'entre elles a dit : « Jeunes gens, dès que vous nous avez demandé de monter dans la voiture de police, je me suis sentie très mal et j'ai eu envie de pleurer. Pourquoi ? Parce que nous les pratiquants sommes tous de bonnes personnes. Aujourd'hui, voler, dépouiller, tricher, tromper, cela arrive partout. Ceux d'entre nous qui pratiquons le Falun Gong essayons d'être de bonnes personnes et de sauver les gens. Le Falun Gong aide les individus, les familles et la société grâce à une bonne moralité. Il s'est propagé à travers le monde entier et aujourd'hui il y a des pratiquants dans plus de 100 régions et pays. Seul le PCC a interdit la pratique. Comme vous pouvez le voir, je suis âgée de 71 ans et suis en parfaite santé ! » En entendant cela, les deux policiers et les témoins autour ont souri.
La police comprend et accomplit de bonnes actions
À cet instant, elle a pensé : « Nous n'avons pas encore achevé notre mission. » Alors les deux pratiquantes sont reparties en oubliant que leurs sacs à main avaient été confisqués.
Après avoir parcouru une certaine distance, l'une d'elle s'est retournée et a soudain vu le véhicule de police qui les suivait. Elle a pensé : « Peut-être que les policiers n'ont pas bien compris la vérité au sujet du Falun Gong. » Elle s'est dirigée vers la voiture de police, avec l'intention de poursuivre la discussion sur le Falun Gong. Contre toute attente, les deux policiers sont sortis du véhicule et ont dit : « Nous vous suivions uniquement pour vous rendre vos clés. »
En fait, la police était tout simplement inquiète que les pratiquantes ne soient pas en mesure d'ouvrir leur porte en rentrant chez elles, aussi ils étaient venus leur rendre leurs sacs à main.
Traduit de l'anglais en Europe
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