(Minghui.org) Mme Ge Xiuli, une paysanne du village de Xiangzhuang, canton de Jing, province du Hebei, est une pratiquante de Falun Gong qui a été arrêtée le 13 septembre 2013. Quand les villageois ont appris son arrestation, ils ont signé leurs noms et ajouté leurs empreintes digitales pour demander sa libération.

Bien que les responsables communistes aient tout tenté pour empêcher les gens de soutenir les pratiquants de Falun Gong, des villageois au cœur noble continuent de soutenir la justice et 390 autres personnes ont signé en guise de soutien à Mme Ge.

Une 3e collecte de signatures demandant la libération de Mme Ge a été signée par 390 personnes.

Jusqu’ici plus de 1 287 personnes ont signé la pétition demandant la libération de Mme Ge.

Arrestation illégale

Après avoir commencé la pratique, les maladies de Mme Ge, y compris une gastro-entérite chronique, une maladie cardiaque, de la neurasthénie, et une polyarthrite rhumatoïde ont été miraculeusement guéries. Elle a aussi amélioré sa relation avec sa belle-mère et ses voisins. Tous les villageois savaient qu’elle était une très bonne personne.

Environ deux dizaines de policiers du Département de police de la ville de Hengshui, du Département de police du canton de Jing et du poste de police de Liuji sont entrés par effraction dans son domicile et l’ont arrêtée ainsi que sa fille (une non-pratiquante) le 13 septembre 2013.

Mme Ge et sa fille ont été emmenées au Département de police du canton de Jing. Elle a été menottée à un banc et les agents lui ont versé de l’eau dessus. Plus tard elle a été transférée au centre de détention de Hengshui. Sa fille a été libérée le jour-même. Après l’arrestation de Mme Ge, ses voisins et proches ont aidé sa fille à planter et faire sa récolte. Son mari et sa fille étaient accablés de chagrin à cause de l’emprisonnement injuste de Mme Ge.

Reconstitution de torture : menotté derrière le dos

Mme Ge a été jugée au tribunal du canton de Jing, ville de Hengshui, le 1er avril 2014. Tous les policiers armés, les policiers du canton, les gardes de la sécurité et le personnel du Bureau 610 ont été mobilisés durant le procès. Aucun verdict n’a été prononcé.

La justice au sein du cœur des gens

Depuis novembre 2013, la famille, les amis et proches de Mme Ge ont collecté des signatures des villageois pour obtenir sa libération. Beaucoup de gens ont fait les éloges des pratiquants de Falun Gong pour leur moralité élevée et ont signé pour les soutenir. Ils ont courageusement montré au département de police, au Parquet et à la cour qu’ils soutenaient le Falun Gong et ont fait appel aux autorités communistes pour l’acquittement de Mme Ge.

De nombreux villageois ont dit : « Elle n’a enfreint aucune loi. Bien sûr, je signerai la pétition pour demander sa libération. » Après avoir lu la déclaration de défense de l’avocat, certains ont dit : « Les avocats aident à défendre de bonnes personnes. Nous n’avons pas peur d’eux (les organes de la sécurité publique). La police ne se soucie pas d’arrêter de mauvaises personnes, mais persécute plutôt les innocents. Ils ne peuvent pas faire la distinction entre le bien et le mal. Je signerai. J’espère que Mme Ge rentrera bientôt chez elle. »

897 signatures demandent la libération de Mme Ge.

Grâce aux efforts de la famille, des amis et proches de Mme Ge, 897 signatures avaient été collectées au 6 janvier 2014 dans la 1re collecte de signature.

Les fonctionnaires municipaux ont ordonné aux gens de promettre de ne pas donner leur appui au Falun Gong

Un article concernant les signatures à être collectées pour Mme Ge a été publié sur le site de Minghui le 6 janvier 2014. Le même jour, une dizaine de fonctionnaires municipaux dirigés par le maire, dont le nom de famille est Ze, ont harcelé les gens dans les villages avoisinants. Ils ont frappé aux portes, demandant qui avait signé la pétition. Ils ont ordonné aux gens de signer leurs noms sur une feuille de papier sur laquelle on pouvait lire : « Je ne témoignerai pas pour les pratiquants de Falun Gong et je ne participerai pas aux activités liées au Falun Gong. »

Les fonctionnaires municipaux ont demandé : « Avez-vous signé ? » Si la réponse était oui, ils disaient : « Alors vous avez besoin de signer ce papier également. » Certains des villageois ont dit : « Elle n’a enfreint aucune loi. Pourquoi devrais-je le faire ? »

Le lendemain, les fonctionnaires municipaux ont ordonné au chef du village de harceler ceux qui avaient signé la pétition.

La stratégie des fonctionnaires se retourne contre eux : 390 autres villageois ont signé pour appuyer Mme Ge

Après que le mari de Mme Ge ait appris ce que les fonctionnaires de la municipalité faisaient, il est allé raisonner avec eux. Il a dit : « Ma femme n’a enfreint aucune loi. Pourquoi la persécutez-vous ? » Ils ont répondu qu’ils ne faisaient que suivre les ordres de leurs supérieurs. Le mari de Mme Ge a dit : « Vous avez peur que les gens sachent la vérité sur le Falun Gong. Mais je dois dire au monde que les pratiquants de Falun Gong sont de bonnes personnes. » Après qu’il leur ait montré la déclaration de défense de l’avocat de Mme Ge, ils se sont retirés.

Les 27 et 28 janvier 2014, les fonctionnaires municipaux sont retournés aux villages pour harceler les gens et mettre de la pression sur eux pour qu’ils signent le papier promettant de ne soutenir aucune activité liée au Falun Gong. » Cela a incité 70 autres villageois à signer pour soutenir Mme Ge. C’était le résultat de la 2e collecte de signatures.

Plus de 70 personnes ont signé pour soutenir Mme Ge.

Durant la 3e collecte de signatures, comme les villageois savaient la vérité sur le Falun Gong, 320 autres villageois ont signé pour secourir Mme Ge.

De plus en plus de gens soutiennent les pratiquants de Falun Gong. Les gens ont certainement un sens de la justice. Collecter des signatures est le droit de ceux dont leurs êtres chers sont innocemment persécutés. Soutenir les pratiquants de Falun Gong est un acte de droiture et de justice.

Ze, maire du village : +86-15803180589 (portable)

Traduit de l’anglais au Canada