(Minghui.org) Au cours de recentes interviews, plusieurs membres du Congrès ont exprimé leur soutien aux efforts des pratiquants de Falun Gong de poursuivre le dictateur chinois Jiang Zemin en justice. Ils ont indiqué que Jiang et le Parti communiste chinois (PCC) doivent être tenus responsables de leurs crimes. Ils sont allés jusqu'à condamner les nombreux cas d'harcèlement d'État et les arrestations de ceux qui ont déposé des plaintes criminelles contre Jiang en Chine.

Le membre du Congrès Dana Rohrabacher : Les États-Unis devraient condamner le harcèlement d'État des pratiquants de Falun Gong qui ont déposé des plaintes

Le membre du Congrès Dana Rohrabacher

Le membre du Congrès Dana Rohrabacher a dit pendant l'interview le 27 octobre qu'il soutenait les actions en justice des pratiquants contre Jiang en Chine. Jiang et le PCC doivent être tenus responsable de leurs crimes.

Il a indiqué que le PCC est le pire violateur des droits de l'homme et qu'il commet de nombreux crimes. Le PCC réprime la liberté de religion et persécute le Falun Gong, les chrétiens et d'autres gens. Les États-Unis ne peuvent pas accepter la version de la liberté religieuse du PCC.

Il a exprimé ses préoccupations au sujet du harcèlement et de la détention des pratiquants qui ont déposé des plaintes en Chine, en disant que ceci doit être arrêté et que si ça ne prend pas fin, les États-Unis devraient condamner les abus et aider les victimes.

Le représentant Robert Pittenger : Arrêter le harcèlement des plaignants de Falun Gong

Le membre du Congrès Robert Pittenger a dit pendant une interview avec Epoch Times le 5 novembre 2015 qu'il soutenait les actions en justice contre Jiang. Il condamne le harcèlement du PCC des pratiquants qui ont déposé des plaintes. Il a dit : « Un tel harcèlement doit cesser. »

Le membre du Congès Robert Pittenger

Il a dit que tous devraient avoir la liberté d'expression et de croyance religieuse. Près de 200 000 pratiquants de Falun Gong ont déposé des plaintes criminelles contre Jiang en Chine. Près de 1 000 plaignants ont été harcelés et arrêtés. Il a dit que le harcèlement est mal. La croyance des gens devrait être respectée.

Il a dit : « Nous devons élever la voix pour ceux qui cherchent la liberté. Nous ne pouvons pas garder le silence. »

Une membre de la Commission des États-Unis sur la liberté religieuse internationale (USCIRF) : La persécution du Falun Gong est illégale

Mme Katrina Lantos Swett, l'ancienne présidente de USCIRF

Mme Katrina Lantos Swett, membre et ancienne présidente de l'USCIRF, a été interviewée le 27 octobre 2015 et a exprimé son inquiétude au sujet du harcèlement des plaignants qui sont des pratiquants de Falun Gong.

Elle a dit : « Je suis très préoccupée par la persécution du Falun Gong. Le groupe du Falun Gong recherche les valeurs humaines et les libertés les plus fondamentales. » Elle a même dit qu'il est profondément affligeant que les pratiquants de Falun Gong souffrent d'une brutale persécution.

Elle soutient les actions en justice entreprises contre Jiang. Elle a dit que les pays occidentaux doivent défendre le groupe entier du Falun Gong et les individus qui sont des prisonniers d'opinion. Elle a dit qu'elle souhaitait recevoir une liste des pratiquants emprisonnés et espérait que quelques-uns d'entre eux soient adoptés par le Defending Freedoms Project lancé conjointement par la Commission Tom Lantos et Amnesty International et promu par le Congrès.

Elle a appelé à la fin du harcèlement et de la persécution des pratiquants par les autorités. Tant et aussi longtemps que le PCC piétine les droits constitutionnels des citoyens et viole les conventions internationales que la Chine signe, la Chine ne peut pas devenir un grand pays.

Historique

En 1999, Jiang Zemin, à la tête du Parti communiste chinois, lançait la répression violente du Falun Gong sans tenir compte des autres membres du comité permanent du Politburo.

La persécution a conduit à la mort de nombreux pratiquants de Falun Gong au cours des 16 dernières années. Beaucoup plus auraient été torturés en raison de leur croyance et même tués pour leurs organes. Jiang Zemin est directement responsable de la mise en place et du maintien de la persécution brutale.

Sous sa direction personnelle, le Parti communiste chinois a créé un organe de sécurité illégal, le « Bureau 610 », le 10 juin 1999. L'organisation supplante les forces de police et le système judiciaire dans l'exécution de la directive de Jiang concernant le Falun Gong : ruiner leur réputation, couper leurs ressources financières et les détruire physiquement.

La loi chinoise permet aux citoyens d'être plaignants dans les affaires criminelles et de nombreux pratiquants exercent maintenant ce droit de déposer des plaintes criminelles contre l'ancien dictateur.

Récemment, les pratiquants qui ont déposé des plaintes ont été harcelés ou arrêtés dans quelques régions en Chine. Les représailles contre ces plaignants ne sont qu'une partie de la persécution.

Traduit de l'anglais au Canada