(Minghui.org) Des pratiquants locaux ont décidé d'aller dans une autre ville et d'aider à secourir un pratiquant dans un centre de détention. Notre coordinateur m'a demandé si je voulais y aller.

J'étais responsable des questions technologiques dans notre région et j'ai pensé que je ne devrais pas prendre de risque. Fâché par la pensée que j'étais le seul qu'il avait appelé, j'ai été égoïste et j'ai dit non.

Le coordinateur a dit : « Tu dois y aller, surtout qu'il y a des techniques que nous voulons que tu apprennes. »

Il n'y avait aucun autre pratiquant avec les habiletés techniques qui pouvaient y aller, alors j'ai accepté. Je savais que je n'étais pas en accord avec le Fa quand j'avais dit non au début, mais je ne pouvais pas abandonner ma colère.

Les forces anciennes ont vu que j'étais fâché et ont renforcé mes émotions négatives. Cette interférence s'est aussi répandue aux autres : les pratiquants se plaignaient et se blâmaient les uns les autres sur des choses insignifiantes.

Désintégrer l’interférence

J’ai cessé de protester et j’ai pris l’autobus avec les autres pratiquants qui se rendaient au centre de détention. Pendant que nous planifiions notre voyage, nous avons parlé aux chauffeurs du Falun Gong et de comment le Parti communiste chinois persécute la pratique.

Nous savions que sauver le pratiquant détenu était très important et nous avons cessé de nous blâmer les uns les autres. J’ai compris que nous ne devions avoir aucun problème entre nous, alors je me suis débarrassé de ma colère. J’ai aussi émis la pensée droite pour aider d’autres pratiquants à clarifier la vérité et à désintégrer toute interférence venant d’autres dimensions.

Les substances à l’intérieur de nous causant la mésentente ont disparu dans le champ positif que nous avons créé. Nous avons continué de parler du Falun Gong pendant tout le voyage et enfin le chauffeur a compris la vérité sur la persécution.

La colère qui s’était accumulée dans notre cœur n’existait plus.

Soutenir les tentatives de secours

Nous avons rencontré un membre de la famille ainsi que l’avocat du pratiquant détenu devant le Parquet. Ils allaient voir le pratiquant et ils ont demandé à un autre pratiquant et à moi de les accompagner.

Quand nous sommes arrivés au centre de détention, l’avocat a pu entrer et nous sommes restés tous les trois assis sur un banc en ciment à l’extérieur et avons émis la pensée droite.

Le parent a enlevé ses chaussures et s’est assis les jambes croisées. J’étais surpris. Il n’avait pas peur de s’asseoir de cette façon devant un centre de détention.

Et moi ? Au début, je voulais juste me protéger et je ne voulais pas me joindre aux tentatives de secours. J’ai eu si honte.

Je n’étais plus frustré, ma peur avait disparu et je ne pensais plus à me plaindre. J’ai émis la pensée droite paisiblement. J’ai senti que j’étais entouré par un champ d’énergie pur et fort et que la perversité dans le centre de détention était devenue petite en comparaison. La réunion de l’avocat s’est très bien passée, et il est sorti vers midi.

Sur le chemin du retour, l’avocat a dit que j’avais l’air très jeune. J’ai compris que notre bienveillant Maître m’encourageait par cet homme et me permettait de savoir que j’avais pris la bonne décision en coopérant et en allant au centre de détention. J’ai regretté le comportement que j’avais eu au début du voyage.

Le Maître a dit :

« Chaque occasion qui passe ne reviendra plus », (« Creuser à la racine », Points essentiels pour avancer avec diligence)

Maintenant, peu importe ce que le Maître veut, je le ferai, y compris emmener des pratiquants dans les prisons pour aider ceux qui sont incarcérés. Je n’ai plus peur.

Traduit de l’anglais au Canada