(Minghui.org) J'ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en 1999. Au fil des années, mes pensées droites sont devenues de plus en plus forte même si j'échouais de temps à autre. En particulier, après une expérience l'été dernier, je sens plus profondément que Dafa est sans limites et que la grâce du Maître est vaste.

Fouillée par la police sur un train

En mai 2014, je rentrais à la maison en train après avoir rendu visite à mon fils. Un policier est venu vérifier mon identité. Il m'a regardée et a dit : « Madame, êtes-vous allée faire signer une pétition ? » J'ai dit : « Non. » Il a demandé : « Pratiquez-vous le Falun Gong ? » J'ai dit : « Oui. Quel est le problème avec ça ? N'est-il pas bon d'être une bonne personne ? »

Un autre policier est arrivé. Ils ont fouillé mon sac et y ont trouvé trois livres de Dafa et des documents clarifiant la vérité. Je leur ai dit : « Ceci m'appartient. N'y touchez pas. » Plusieurs policiers m'ont encerclée et m'ont photographiée. Je leur ai parlé de Dafa et de la persécution et j'ai crié : « L'auto-immolation sur la place Tiananmen était un coup monté par le Parti communiste. » J'ai remarqué que les passagers à proximité écoutaient.

Je savais que c'était une occasion de sauver les gens en expliquant les faits. La police m'a interrogée pendant la moitié de la nuit. Je leur répétais les faits sur Dafa.

Ils ne voulaient pas que je parle, mais ils ne pouvaient pas m'arrêter. À la fin, ils voulaient me faire signer un document. J'ai dit : « Si je le signe, cela prouve que vous persécutez le Falun Gong. »

Clarifier la vérité à un poste de police ferroviaire

Le lendemain matin, j'ai été emmenée à un poste de police ferroviaire après être descendue du train. Ils voulaient m'interroger. J'ai refusé de coopérer avec eux. Un policier m'a frappée dans le dos à plusieurs reprises.

J'ai dit : « J'agis en suivant 'Authenticité-Bienveillance-Tolérance.' Comment la police peut-elle battre de bonnes personnes ? Dans le passé, je souffrais de toutes sortes de problèmes de santé et le Falun Gong m'a guérie. Vous savez que les pratiquants de Falun Gong sont de bonnes personnes. Pourquoi continuez-vous à les persécuter ? »

Plus tard, deux policières sont arrivées. Je leur ai expliqué les faits. Elles ont dit : « Oh, alors voilà de quoi il s'agit. »

Valider Dafa dans un centre de détention

Dans un centre de détention, on voulait me prendre en photo. J'ai refusé et leur ai dit les faits sur Dafa. J'ai continué à réciter le Fa et à émettre la pensée droite. Chaque jour, je faisais les cinq exercices et cherchais des occasions de parler aux gens dans la cellule au sujet de Dafa. Je leur demandais également de quitter le Parti communiste.

Plus tard, on m'a ordonné de travailler dehors. J'ai pensé qu'il y aurait de nombreux détenus attendant d'être sauvés et que je devais les sauver.

Quand il était temps d'aller au travail, un garde m'a crié : « Mets l'uniforme ! » J'ai dit : « Je ne suis pas une criminelle. Je ne vais pas le porter. Je suis une bonne personne qui pratique 'Authenticité-Bienveillance-Tolérance'. Les bonnes actions sont récompensées et le mal est puni. » À partir de ce moment-là, le garde ne m'a plus jamais demandé de porter l'uniforme.

Sur les chantiers, les détenus hommes et femmes étaient gardés séparément. J'ai pensé : « Je suis une pratiquante et ce serait un crime si quelqu'un interférait avec ma clarification de la vérité. » J'ai commencé à émettre la pensée droite, à désintégrer la perversité et demander au Maître de me renforcer. J'ai cherché des occasions de contacter d'autres détenus et de leur clarifier les faits. Dix-sept ou dix-huit personnes ont quitté le Parti. Le garde ne m'a plus fait obstacle.

Après le souper, un garde m'a demandé si je pouvais arrêter de faire les exercices. Quand j'ai dit que je ne pouvais pas, il a dit : « Alors fais-les avant 21 h 30. » J'ai accepté. Plus tard, un autre garde est venu et a dit : « Mets l'uniforme. Le directeur va venir faire une inspection. » J'ai dit : « Je ne veux pas. Je vais l'expliquer à votre directeur. » Il n'a rien ajouté.

Plus tard, j'ai été transférée à un centre de détention dans une autre ville. Les détenus mangeaient les repas dans une salle. J'en ai profité pour convaincre deux personnes à quitter le Parti et ses organisations affiliées.

Un jour, un jeune garde a dit : « Pas de nourriture pour vous si vous ne portez pas l'uniforme. » J'ai dit : « Je ne vais pas porter l'uniforme et je peux manger puisque je ne suis pas une prisonnière. » Il a ensuite murmuré : « Allez manger. »

L'environnement au centre de détention a changé

Plus tard, j'ai été transférée à un centre de détention dans un canton avoisinant. J'ai de nouveau refusé qu'on prenne ma photo. Le policier était furieux : « Comment êtes-vous arrivée ici ? Personne ne veut vous prendre. »

J'ai dit, « Alors, pourquoi ne me laissez-vous pas partir ? Je n'ai enfreint aucune loi. J'agis selon 'Authenticité-Bienveillance-Tolérance'. C'est pour votre bien que je ne fais pas les choses que vous me demandez afin que vous ne soyez pas impliqué dans la persécution du Falun Gong. C'est pour vous et pour la sécurité de votre famille ! » Je leur ai donné des exemples de fonctionnaires du PCC qui ont persécuté le Falun Gong et ont reçu un châtiment karmique.

Le gardien en chef a dit : « Ne vous fâchez pas avec elle. Laissez-la partir si elle ne veut pas qu'on prenne sa photo. » Je savais que c'était grâce à la protection bienveillante du Maître.

Chaque matin, il y avait l'appel des détenues et tout le monde devait porter un uniforme. Je ne faisais ni l'un ni l'autre et on m'injuriait encore et encore. Je leur ai dit : « C'est pour votre bien que je ne porte pas l'uniforme et ne réponds pas à mon nom. C'est pour vous empêcher de persécuter le Falun Gong. » Ils sont partis sans dire un mot.

Je faisais les exercices tous les soirs. Le garde me voyait mais ne disait rien. Avant de faire les exercices, je disais toujours au Maître dans mon cœur : « Maître, je tiens à faire les exercices. La perversité n'est pas autorisée à m'en empêcher. » Personne n'est jamais venu m'en empêcher.

Deux semaines plus tard, j'ai quitté le centre de détention, protégée par le Maître miséricordieux et renforcée par les pensées droites des pratiquants. J'ai fais l'expérience profonde de la grâce immense du Maître et de Dafa.

Le Maître a dit :

« Si les disciples sont emplis de pensées droites

Le Maître a le pouvoir de changer la décision du Ciel »

(« La grâce entre Maître et disciples » de Hong Yin II)

Les paroles du Maître m'ont accompagnée pendant ces deux semaines et m'ont aidée à surmonter bien des tribulations.

Traduit de l'anglais au Canada