Histoire de cultivation d’un comptable

(Minghui.org) J'étais autrefois une personne très égoïste et jalouse. J'étais seulement intéressé par la réputation et l'intérêt personnel. Ensuite, j'ai obtenu le Fa en 1996 et après avoir pratiqué le Falun Gong, je suis devenu une nouvelle personne.

Me réorienter moi-même

Je suis comptable. Pendant mon étude à l'école pour être comptable, j'ai profité de l'entreprise où je travaillais et je les ai trompés pour qu'ils paient les frais de scolarité que j'étais censé payer moi-même. Grâce à l'étude du Fa, j'ai compris le principe de « sans perte, pas de gain ». Donc, j’ai rendu l'argent des frais de scolarité à l'entreprise.

Quand j'ai rénové ma maison, j'ai pris des fournitures de l'entreprise pour les travaux de rénovation. Quand j'ai réalisé que c'était mauvais, j'ai donné anonymement de l'argent à une région dans le besoin.

J'étais responsable de 21 services. Beaucoup de gens pourraient considérer cela comme une mesure pour rechercher leur intérêt égoïste ; cependant, comme je suis un pratiquant de Falun Gong, j'ai toujours réussi à refuser de prendre des « cadeaux » des autres.

Un jour au travail, notre équipe a reçu un bonus, qui devait être également réparti entre chaque membre de l'équipe. J'ai essayé de refuser ma part du bonus, mais ils ont insisté que chacun devait recevoir une part égale. J'ai gardé ma part, mais je l’ai mise de côté, séparée de mon autre argent.

Le Parti communiste chinois (PCC) a alors commencé leur persécution contre le Falun Gong en 1999.

Je suis allé à Beijing pour faire appel pour le Falun Gong et avant de partir, j'ai rendu cet argent de bonus à l'entreprise. À mon retour, mon patron a voulu me rendre l’argent, mais j'ai refusé. Le mot de ce fait a circulé dans toute l'entreprise et tout le monde était surpris. Mes collègues ont dit que j'étais une honnête personne.

Rester fidèle au Fa

Après mon retour de Beijing, mon entreprise m’a suspendu de ma position. Cependant, on m'a quand même demandé de revenir temporairement pour la rémunération de base sans le bonus. Ils voulaient que j'enseigne à la nouvelle employée — qui avait pris ma position — tout ce que je savais.

Cette nouvelle employée m'a posé beaucoup de questions, alors elle a appris beaucoup, rapidement. Elle a utilisé ces connaissances pour se faire remarquer du patron. Quand d'autres ont vu son comportement, ils ont été contrariés. Ils m’ont même encouragé à arrêter de la former, mais je ne les ai pas écoutés et j'ai continué à l'aider. Maître Li a dit :

« L’homme bienveillant a toujours un cœur de compassion, sans griefs, sans haine, il prend les souffrances pour une joie. » (« État d’esprit » Points essentiels pour un avancement diligent (I))

Ensuite, le bureau local de l’audit a envoyé des fonctionnaires pour contrôler notre entreprise. On m'a demandé de participer à l'audit. Ces fonctionnaires de l'audit avaient travaillé avec moi dans le passé et savaient que je pratiquais le Falun Gong. Ils croyaient que j'étais une personne de bon cœur. Devant mon patron, ils m’ont félicité disant à quel point j'étais capable.

L’entreprise m’a surchargé de beaucoup de travail. Je devais souvent rester tard pour finir. Un de mes collègues a dit : « Pourquoi continuez-vous à travailler pour eux sans le bonus ? Ils doivent vous payer ce que vous méritez. » J'ai seulement souri, parce que je savais que j'étais un pratiquant de Dafa qui pouvait supporter toute iniquité. Comme j'ai bien coopéré avec les fonctionnaires, ils étaient tous contents avec mon travail. Ils ont même demandé à mon patron qu'il me rende mon ancien poste.

Le département de police local m'a arrêté le 19 juillet 2000, de peur que j'aille faire appel pour le Falun Gong à nouveau. Après avoir été libéré, l’entreprise m’a transféré et a réduit encore une fois mon salaire. Quand un fonctionnaire du bureau de l’audit a appris cela, il est venu voir comment j'allais. Sa gentillesse m'a ému aux larmes.

Il a dit qu'il allait parler à l’entreprise pour que je retrouve ma position. Ce fonctionnaire a depuis démissionné du PCC.

Valider le Falun Gong inconditionnellement

J'ai été transféré dans un village pour travailler comme caissier. Un jour, je vérifiais les comptes et trouvé 20 000 yuans en trop. Si je n'avais rien dit, personne n'aurait jamais su. Mais j'ai rapporté l'argent à mon équipe et suggéré que nous rendions l'argent au client. Ils ont voulu garder l'argent et le diviser entre tous les membres de l'équipe.

J'ai refusé. J’ai dit que, comme ce n'était pas notre argent, il devait être rendu. En fin de compte, nous avons rendu l'argent et notre client était très content. Il a été convaincu que les pratiquants du Falun Gong sont des gens honnêtes.

Une autre fois, j'ai trouvé une paire de boucles d'oreilles en or au travail et j'ai pu trouver la propriétaire pour les lui rendre. Elle a été émue par mon honnêteté. Plus tard, on lui a demandé de l'aide et quand cette personne a voulu lui donner un pot de vin, elle a refusé, disant qu'elle avait appris à être honnête et droite grâce aux pratiquants de Falun Gong.

Ces exemples témoignent de la grandeur du Falun Gong.

« La lumière de Bouddha illumine tout, bienséance et loyauté rayonnent harmonieusement. » (Zhuan Falun)

Traduit de l’anglais au Canada