(Minghui.org) En 2000, j'ai commencé à travailler dans un institut de conception. Le premier jour, quand je me suis présenté au doyen, je lui ai dit : « Je suis un pratiquant de Falun Gong. »

Il m'a regardé surpris mais n'a rien dit. J'ai ajouté, « Authenticité-Bienveillance-Tolérance est le principe pour lequel je vis. »

Le visage du doyen s'est détendu et il a dit : « J'accueille spécialement les gens qui suivent le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Cependant, je vous en prie ne pratiquez pas le Falun Gong en public. »

« Je sais me faire discret. Ne vous inquiétez pas », ai-je répondu.

Le quatrième jour, j'ai écrit : « Falun Dafa est bon ! Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ! » dans le couloir où je travaillais. Le doyen s'est dirigé vers mon bureau et il a hoché la tête, montrant qu'il me soutenait.

Graduellement les jeunes collègues de mon bureau ont obtenu une meilleure compréhension du Falun Gong. Plus tard, le doyen m'a apporté deux brochures de Dafa et m'a dit qu'il les avait trouvées devant sa porte.

En 2007, j'ai commencé à travailler sur un site de construction à l'Institut architectural de conception de Shanghai. Je devais m'occuper de beaucoup de gens, la plupart, des fonctionnaires qui empochaient des profits.

Quand je leur ai dit que j'étais un pratiquant de Falun Gong, leurs réactions ont été presque toutes les mêmes. Ils ont dit : « Ne parlez pas de cela s'il vous plaît. Le deux pratiquants de notre Institut ont été illégalement arrêtés et condamnés à plusieurs années de prison. »

J'ai demandé : « Puisque vous avez travaillé avec eux, que pensez-vous des pratiquants ? » Ils ont répondu : « Ce sont de très bonne personnes. » J'ai dit : « Bien, si ceux qui croient en Authenticité-Bienveillance-Tolérance sont de bonnes personnes, ne devriez-vous pas les protéger ? Si vous le faites, vous aurez la chance d'être bénis. »

La chef ingénieure, sur le site de construction, était une femme avec une forte personnalité. Un jour, elle m'a demandé de vérifier sur mon ordinateur les règlements de la sécurité pour le feu. Quand j'ai ouvert mon ordinateur, elle a été surprise de lire l'histoire sur les « mots cachés » qui, gravés dans la pierre dans la province du Guizhou, prédisent la fin du PCC.

En 2014, j'ai accepté un poste de chef ingénieur à une centrale électrique. Quand ils m'ont rencontré, le chef de la centrale et le secrétaire du Parti ont fait le commentaire que j'avais l'air très jeune pour mon âge et en bonne santé.

Cela m'a fait plaisir de leur dire : « Je suis un pratiquant de Falun Gong. » Ils étaient bouche bée. Je leur ai alors dit que j'avais été gravement malade trois fois, mais que j'avais récupéré chaque fois.

« J'avais entendu dire que le Falun Gong est bon. Maintenant je le crois », a dit le secrétaire du Parti.

Après son diplôme, un jeune travailleur, M. Yang, travaillait là depuis environ un an. Il s'employait à demander son adhésion au PCC. Il avait fait plusieurs essais mais, chaque fois, il avait échoué.

Un jour je lui ai demandé : « Pourquoi veux-tu rejoindre le Parti ? »

« Je pourrais avoir une promotion et gagner plus d'argent si je rejoignais le Parti » a-t-il dit. « As-tu écrit ton intention sur ta demande d'adhésion ? » lui ai-je demandé.

« Bien sûr que non » dit-il. « J'ai écrit, 'Je veux servir le peuple et dévouer toute ma vie au communisme.' Tout ce que j'ai écrit n'a pas de sens et je ne pouvais pas terminer. »

« Tu as de hautes attentes du PCC », ai-je dit. « Il y a de si nombreux fonctionnaires corrompus. Tu ne peux pas être promu, si tu n'as pas d'argent. Tu devrais regarder sur le site internet et voir ce que le Parti est réellement. »

Il a finalement compris quand il a lu l'histoire au sujet des « mots cachés » gravés dans la pierre dans la province du Guizhou. Plusieurs autres travailleurs qui ont lu des informations sur ce phénomène naturel ont aussi compris les faits.

Quand je suis entré dans le bureau du secrétaire du Parti, j'ai vu les deux banderoles : « Servir le peuple, agir pour le peuple » et « Dédier toute votre vie au communisme. »

« Croyez-vous encore à cela ? » ai-je demandé. « Y a-t-il quelqu'un dans le Parti qui sert les gens ? Même les enfants savent que ce n'est pas vrai. Pourquoi êtes-vous si confus ? Pourquoi vous mentez-vous à vous-même ? »

La fois suivante, quand je suis allé dans son bureau, les banderoles avaient disparu.

Quand je suis allé au service de police du canton, les policiers ont commenté que j'avais l'air jeune. Je leur ai dit que j'étais un pratiquant de Falun Gong. Ils n'ont rien dit.

Peu importe où je vais, je dis aux gens que je suis un pratiquant de Falun Gong.

Traduit de l'anglais au Canada