(Minghui.org) Je suis un pratiquant âgé. Protégé par notre grand et bienveillant Maître, je pratique le Falun Dafa depuis vingt ans. En regardant en arrière, j'ai chéri la période de la rectification de Fa et j'ai distribué des informations sur la persécution, ce qui a aidé à sauver beaucoup d'êtres.
Les endroits comme les postes de police et les Bureaux 610 sont difficiles d'accès, mais j'ai réussi à y entrer plusieurs fois afin de sauver les gens.
Rentrer dans un bâtiment du Bureau du canton et du Bureau 610
En 2014, deux pratiquants âgés de notre région ont été arrêtés par la police de la sécurité intérieure de notre canton. L'un d'eux a été relâché peu après, mais l'autre est resté illégalement détenu. J'ai écrit une lettre et fait de nombreuses copies. J'ai mis chaque photocopie dans une enveloppe et j'ai écrit « officiel » en guise d'adresse.
J'ai porté un sac plein de ces lettres au bureau cantonal. Le gardien m'a demandé la raison de ma visite. Je lui ai dit que j'étais propriétaire d'une entreprise et voulais parler à un agent particulier. Il m'a fait signer et m'a laissé entrer. J'ai commencé à distribuer les lettres, allant du 4e étage jusqu'au rez-de-chaussée. Je suis rentré dans tous les bureaux et je remettais la lettre à quelqu'un ou en laissais un exemplaire sur le bureau. Certaines personnes ont ouvert la lettre et m'ont remercié immédiatement.
Je suis arrivé au Bureau 610 alors que je distribuais le 19e exemplaire. La police m'a arrêté et emmené à la Division de la sécurité intérieure.
Le chef de la division avait persécuté le Falun Dafa pendant de nombreuses années. Il m'a demandé qui avait écrit la lettre et je lui ai dit que c'était moi. Il n'était pas convaincu et s'est mis en tête de vérifier mon écriture.
Je lui ai alors clarifié la vérité tout en émettant la pensée droite pour éliminer les éléments pervers présents derrière lui.
Parler au centre de détention et aux responsables judiciaires
Finalement, il a dit : « Je m'apprêtais à vous mettre quinze jours en détention. Mais vous pouvez partir à présent. Je dois me rendre à un dîner. » Je voulais lui clarifier davantage la vérité, mais il m'a demandé de partir.
Un autre pratiquant âgé a été arrêté durant l'été 2015 pour avoir collé des affiches et été détenu plus de sept mois. La police menaçait de le condamner. J'ai pensé : « Nous devons nier la persécution perverse et sauver ce pratiquant. Nous devons aussi sauver la police et le juge qui sont impliqués. »
J'ai encouragé la femme du pratiquant à aller le voir dans le centre de détention. Je l'ai accompagnée et j'ai pensé : « Ce serait bien si le gardien de service était une de mes connaissances, parce qu'il connaîtrait la vérité et aurait déjà démissionné du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organisations affiliées. » À la porte du centre de détention, j'ai vu que le gardien était en effet quelqu'un que je connaissais. J'ai dit : « Mon souhait a été exaucé aujourd'hui - je voulais vous voir et vous êtes là ! » Je lui ai dit que nous voulions voir le pratiquant et que nous lui avions apporté des vêtements d'hiver.
Le gardien a dit qu'il n'était en fait pas en service. Il a dit que le pratiquant avait été connecté à un cathéter depuis plus d'une semaine et que sa situation avait été rapportée aux superviseurs du centre de détention, mais que rien n'avait été fait. Je lui ai demandé à qui je devais parler et il a nous a indiqué la bonne direction.
Nous avons trouvé le directeur du centre de détention et lui avons clarifié les faits. Il nous a dit que le dossier avait déjà été transmis au tribunal. Nous sommes allés au tribunal et avons demandé la libération immédiate du pratiquant étant donné son état.
Les autorités du tribunal ont dit qu'elles avaient besoin du rapport du centre de détention afin de vérifier son état. Alors, nous sommes retournés au centre de détention et nous y sommes restés jusqu'à ce que le directeur nous promette de donner suite à notre requête.
Nous avons fait des allées et venues toute la journée. Même si le vent nous raidissait le visage et les mains, faire ce que nous étions appelés à faire nous faisait chaud au cœur.
Sous les arrangements du Maître et avec les efforts collectifs des pratiquants locaux, le pratiquant est rentré chez lui trois jours plus tard, niant ainsi les arrangements des forces anciennes.
Faire face à un directeur adjoint de la Division de la sécurité intérieure
La persécution est toujours grave dans mon canton et quelques agents de police de la Division de la sécurité intérieure persécutent activement le Falun Dafa depuis de nombreuses années. Malgré nos tentatives répétées de clarifier la vérité, j'étais incapable de les sauver, parce que je ne parvenais pas à entrer dans leur bâtiment.
Mais au printemps 2016, j'ai trouvé un téléphone portable que quelqu'un avait fait tomber et suis allé au poste de police avec un ami pratiquant. Nous avons dit au gardien que nous étions venus pour ramener un téléphone portable qui avait été perdu et il nous a laissés entrer après nous avoir demandé notre signature.
Nous sommes directement rentrés dans le bureau de la Division de la sécurité intérieure et nous avons vu le directeur adjoint assis là, un homme qui avait été directement impliqué dans notre persécution.
Nous l'avons appelé par son nom, ce qui l'a surpris. Il nous a demandé pourquoi nous étions là. J'ai dit : « J'ai trouvé un téléphone intelligent coûteux. Nous voulons le remettre à la police et vous êtes le seul agent de police que nous connaissons. » Il s'est levé et a dit : « Je vous admire pour nous avoir rendu l'objet de valeur que vous avez trouvé. Je vous salue. »
Il nous a proposé de nous asseoir et nous avons commencé à lui clarifier les faits. Nous lui avons demandé d'arrêter de persécuter les disciples de Dafa et de rendre les livres de Dafa qu'ils avaient confisqués.
Il a indiqué la caméra de surveillance et paraissait un peu apeuré. Je savais que c'était la perversité derrière lui qui avait peur. Nous avons émis la pensée droite et avons désintégré la perversité. Il a cessé d'avoir peur.
Il nous a donné les numéros des salles de quelques autres importants responsables de la Division de la sécurité intérieure et nous a suggéré de leur clarifier aussi les faits. Il nous a dit également que nous devions remettre le téléphone intelligent au poste de police.
J'ai réalisé que le Maître avait arrangé que nous clarifions les faits au sein du poste de police.
Les policiers là-bas nous ont aussi exprimé leur admiration et nous ont demandé de laisser nos noms. Nous avons dit : « En tant que pratiquants de Dafa, les noms nous importe peu. » Puis, nous leur avons clarifié les faits ouvertement et dignement. Finalement, ils nous ont escorté jusqu'à la sortie avec respect.
Le Maître a dit :
« Utiliser la raison pour valider le Fa, utiliser la sagesse pour clarifier la vérité, utiliser la compassion pour que le Fa soit immensément répandu et pour apporter le salut aux gens de ce monde, cela est justement pour un éveillé établir sa vertu majestueuse. » (« Rationalité » dans Points essentiels pour avancer avec diligence II)
Dans le passé, je serais rentré de force dans le bâtiment et j'aurais été battu. Essayer de clarifier la vérité dans cette situation n'aurait pas été bon. À présent, avec sagesse et compassion, nous avons aidé à les sauver et à désintégrer le mal. Quelle différence !
Traduit de l'anglais en Europe
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