(Minghui.org) J'ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en 2003 et j'ai commencé à parler de Dafa et de la persécution aux gens en 2009. J'apporte des documents d'information au sujet de Dafa, tous les jours, comme des dépliants, des DVD, des CD et des brochures. Peu importe que le temps soit mauvais ou bien comment les gens nous traitent, les compagnons de cultivation et moi distribuons avec persistance ces documents dans les rues, les marchés, les parcs, dans les gares et les zones résidentielles.

Sortir de ma coquille

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Je suis une personne timide et je prends rarement l'initiative d'aborder les étrangers, mais je savais que je devais changer ma personnalité pour permettre aux gens de connaître Dafa et la persécution.

Un matin, j'ai parlé à un homme âgé. Il était très reconnaissant pour l'information que je lui avais donnée et il a dit qu'il avait rencontré quelqu'un de très important en faisant référence à moi. L'homme m'a saluée en pressant les deux paumes de ses mains ensemble devant sa poitrine. J'ai été très touchée. Je savais qu'à travers la gratitude de cet homme, le Maitre me donnait un encouragement.

Au début, j'osais approcher seulement les gens âgés. J'ai compris que je devais dépasser cette limitation et commencer à parler aux gens de tous les âges et de tous les milieux.

Un jeune homme marchait dans un parc un jour. J'ai pris tout mon courage pour le saluer et je lui ai dit : « Comment allez-vous jeune homme ? J'aimerais partager avec vous une bonne brochure. Lisez-la. Elle vous apportera des bénédictions et la sécurité. » Le jeune homme a accepté la brochure de Dafa.

J'ai continué en lui demandant s'il s'était retiré du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organisations affiliées. Il a dit que non. Je lui ai dit combien les fonctionnaires du Parti étaient corrompus et combien ils avaient blessé la moralité de la nation.

« Le PCC a causé la mort non-naturelle de 80 millions de gens à travers ses mouvements politiques », ai-je dit. « C'est plus que le total du nombre de morts des deux guerres mondiales, ensemble. Jiang Zemin a lancé une brutale persécution contre le Falun Dafa en 1999 et il est responsable du prélèvement pour le profit des organes sur les pratiquants vivants. Les bouddhistes ont un dicton que le mal sera puni par le mal. Démissionnez du PCC, alors vous ne périrez pas avec lui ! »

Le jeune homme m'a écouté avec sérieux avant de me répondre : « J'étais un mauvais garçon et je ne me suis inscrit à aucune de leurs organisations à l'école, cependant je ne crois pas au bouddhisme. » Je lui ai dit que j'espérais qu'il puisse recevoir la protection des bouddhas. Je lui ai donné un DVD de Shen Yun et lui ai dit de le regarder avec sa famille et ses amis. Il m'a remercié.

Ma conversation avec le jeune homme m'a donné confiance pour parler à plus de jeunes gens.

J'ai demandé à un autre jeune homme : « Avez-vous entendu parler de démissionner du PCC ? Il a dit qu'il n'en avait pas entendu parler. Je lui ai dit : « Les fonctionnaires du PCC comme Zhou Yongkang, Xu Caihou, Bo Xilai, Li Dongsheng et Wang Lijun ont persécuté les pratiquants de Falun Dafa et ont été impliqués dans les prélèvements de leurs organes pour le profit sous la direction de Jiang Zemin. Ils ont tous été jetés en prison maintenant. C'est une loi du ciel que les mauvaises personnes seront punies. Plus de 200 000 personnes ont déposé des plaintes pénales contre Jiang. J'espère que votre famille et vous serez bénis et en sécurité en démissionnant des organisations du PCC. »

Le jeune homme était d'accord de démissionner, car il avait rejoint la Ligue de la Jeunesse communiste et les Jeunes Pionniers. Je lui ai aussi expliqué comment il pouvait aider sa femme et son enfant à publier leur démission sur Internet, s'ils décidaient de démissionner eux aussi. Il m'a remercié sincèrement.

J'ai émis la pensée droite afin de ne manquer personne qui veuille démissionner du PCC.

J'ai vu un homme bien habillé qui semblait être un fonctionnaire et je lui ai remis une brochure au sujet des poursuites judiciaires contre Jiang. Je lui ai demandé : « Monsieur, avez-vous lu cette brochure ? Jetez-y un œil ! » Il a accepté la brochure poliment et m'a remercié. Je lui ai demandé s'il avait rejoint le PCC. Il a répliqué qu'il l'avait fait, alors je lui ai parlé de la vague de gens qui démissionnaient des organisations du PCC et que j'espérais qu'il choisisse un brillant futur pour lui-même. Il m'a solennellement dit : « Oui, s'il vous plaît, aidez-moi à démissionner. » J'étais tellement content pour lui qu'il fasse ce choix !

Cela m'a donné une plus grande confiance pour parler avec les gens et j'ai finalement arrêté de choisir qui approcher, pour parler de Dafa. Je saisissais les occasions, ainsi je ne manquais aucune chance d'aider à offrir aux gens la chance du salut.

La police ne peut pas me forcer à apposer mes empreintes digitales sur leurs documents

J'ai été arrêté le 18 avril 2015, parce que je parlais de Dafa aux gens. J'ai maintenu une forte pensée droite et j'ai dit au Maître dans mon esprit : « Je me comporterai comme votre vrai disciple ! » J'ai continué d'émettre la pensée droite et de réciter le Fa dans mon esprit.

La police a essayé de prendre mes empreintes digitales de force, mais j'ai refusé de coopérer. Deux policiers m'ont attrapé par les bras et tiraient dessus. J'ai serré les poings et résisté à leur force.

Un policier a poussé mon pouce droit à 180 degrés. J'ai senti comme si mes os se brisaient. La douleur m'a fait tomber par terre. J'ai immédiatement dit à mon pouce : « Ne t'inquiète pas. Tout va bien. » Mon pouce est revenu dans sa position normale et la douleur s'est arrêtée immédiatement. Je me suis levé et j'ai dit au policier : « Un pratiquant de Dafa ne fera rien de ce que notre Maître nous a dit de ne pas faire. »

J'ai commencé à réciter les poème du Maître à haute voix :

« Si les disciples sont emplis de pensées droites

Le Maître a le pouvoir de changer la décision du Ciel »

(« La grâce entre Maître et disciple » dans Hong Ying II)

Les policiers m'ont encore tiré sur les bras, mais ils n'arrivaient pas à prendre mes empreintes. Ils m'ont poussé sur une chaise et m'ont demandé où j'avais eu les brochures. Je n'ai pas répondu à leurs questions mais j'ai continué à leur parler de Dafa. Ils ont fini pas être absorbés par ce que j'avais à leur dire et ils ont laissé tomber d'essayer d'avoir mes empreintes.

Le jeune policier qui m'avait cassé le pouce m'a demandé : « Comme va votre pouce ? Vous ne semblez pas avoir été blessé ? » J'ai répondu : « Ça va, merci. Je ne vous déteste pas pour ce que vous avez fait, mais mon pouce aurait été brisé si je n'avais pas été un pratiquant de Dafa. »

Je leur ai alors parlé de mon expérience d'avoir été sauf lors d'un accident de voiture,

Environ un mois après avoir commencé à pratiquer le Falun Dafa, ma famille et moi étions dans une automobile qui a dérapé sur la route et qui a roulé dans un fossé. Le pare-brise a été brisé, mais tous les cinq avons été saufs. Nous avons compris que le Maître nous avait protégés.

J'ai dit aux policiers que le Falun Dafa est une grande cultivation et pratique qui a été terriblement lésée. Le jeune policier hochait la tête. Il a dit du fond de son cœur : « Falun Dafa est bon ! » J'ai répliqué : « Oui. Répétez ce que vous venez juste de dire et vous serez béni avec sécurité vous aussi. »

Les mots du Maître me sont venus à l'esprit :

« Pouvoir abandonner l'attachement à la vie et à la mort, c'est une divinité, ne pas pouvoir abandonner l'attachement à la vie et à la mort, c'est un être humain. » (« Enseignement du Fa à la Conférence de Fa d'Australie)

J'étais si touché par les mots du Maître que j'ai presque pleuré. J'ai remercié sincèrement le Maître pour sa protection. Le Maître avait même pris ma douleur.

Détenu dans un centre de détention

Un pratiquant et moi avons été détenus dans un centre de détention pendant dix jours. J'ai pensé : « Puisque je suis ici, je vais faire ce que je dois faire. » J'ai récité le Fa, émis la pensée droite et cherché dans mon cœur mes attachements.

J'ai trouvé de l'égoïsme, de l'arrogance, des rancunes, de la luxure, de la jalousie, du zèle et de vouloir me faire voir, etc. J'étais déterminé à me corriger moi-même avec la cultivation dans Dafa et de ne laisser aucune faille dont les forces anciennes puissent profiter.

Le chef du département de police a visité le centre de détention un jour et quand il a été près, j'ai pu lui parler du Falun Dafa.

Je lui ai demandé : « N'êtes-vous jamais allé Taïwan, Hong Kong ou Macau ? Avez-vous vu des pratiquants et des bannières dans les rues, dans ces endroits-là ? » Il a dit : « Oui, la plupart d'eux n'étaient que des personnes âgée ou malades. »

« Le Falun Dafa est une cultivation et pratique de l'école de Bouddha », ai-je répliqué. « Des gens de tous les milieux dans de nombreux pays pratiquent Dafa, y compris des personnes qui ont des positions de dirigeants d'une nation. Beaucoup ont reçu un haut niveau d'éducation. Il y a des jeunes gens et des enfants aussi. Le Falun Dafa améliore la santé des gens et élève leur moralité. La Loi de Bouddha est une science supérieure. De nombreux scientifiques, y compris Einstein, en sont venus finalement à croire dans l'existence des divinités. »

Il m'a demandé pourquoi je distribuais des brochures de Dafa. Je lui ai dit qu'il y a trop de nombreuses personnes qui avaient été trompées par la propagande du PCC et que j'avais espoir qu'ils soient en sécurité quand le désastre de produira. C'est empli de compassion que je distribuais les brochures.

Il était bouche bée et s'est dépêché de partir.

J'ai pris toutes les occasions pendant ce temps au centre de détention pour parler du Falun Dafa et de la persécution aux autres.

J'ai continué de garder le Fa du Maître à l'esprit au cours des ans. Pas à pas, j'ai éliminé ma mentalité timide et sélective et de choisir avec qui parler. Je clarifie les faits au sujet de Dafa à quiconque, parce le Maître a mentionné que tous les gens étaient, à un moment, reliés à lui et parce que tout le monde a des membres de sa famille qui attendent pour entendre parler de Dafa.

Traduit de l'anglais au Canada