(Minghui.org) Ma famille se compose seulement de trois personnes – mes parents et moi. Ma mère a commencé à pratiquer le Falun Dafa en 2008 et mon père et moi avons commencé à cultiver Dafa quelques temps plus tard. L'année passée, tandis que nous parlions du Falun Dafa et de la persécution aux gens, ma mère a été arrêtée.
Les pratiquants locaux ont coopéré comme un seul corps pour secourir ma mère
Après que notre coordonnateur local ait été informé de son arrestation, il a organisé que les pratiquants émettent la pensée droite près du poste de police et il est allé avec mon père au poste de police pour demander que ma mère soit libérée.
Nos compagnons de cultivation se positionnaient eux-mêmes près du poste de police tous les jours et ils commençaient à émettre la pensée droite vers 8 h 30. Ma mère a été kidnappée pendant l'été et les pratiquants ont persisté même durant de nombreux jours de canicule.
Le Maître a dit :
« Pour ces choses on doit avoir le comportement tolérant, bienveillant, serein d'un disciple de Dafa, ses affaires sont vos affaires, vos affaires sont ses affaires. » (« Enseignement de la Loi à la Conférence de Loi de Washington DC » de Enseignement du Fa dans les conférences II)
J'ai profondément fait l'expérience que nos pratiquants locaux sont un seul corps.
Parler du Falun Gong et de la persécution au poste de police
Mon père et moi sommes allés au poste de police quotidiennement et avons demandé la libération de ma mère. Le policier en charge de sa cause nous évitait. Mon père a vu des gens dans le hall d'entrée qui étaient là pour affaires et il leur a dit que ma mère avait été arrêtée parce qu'elle suivait Authenticité-Bienveillance-Tolérance et qu'elle s'efforçait d'être une bonne personne. Quelques-uns d'entre eux ont exprimé leur sympathie.
Quand nous avons vu le personnel policier entrer et sortir de l'édifice, nous leur avons aussi parlé du Falun Gong et de la persécution. Nous avons fait ceci pendant plus de deux semaines. Les compagnons de cultivation nous ont tranquillement soutenus en émettant la pensée droite tout près.
Parler de la pratique et de la persécution aux gardiens
Plus tard, nous avons appris que l'arrestation de ma mère avait été autorisée. Mon père et moi avons couru entre le département de la police et le parquet. Nous demandions de rencontrer quiconque était en charge de sa cause, mais les gardiens à la porte nous arrêtaient chaque fois, alors nous parlions du Falun Gong et de la persécution aux gardiens.
Le Maître a dit :
« Là où un problème apparaît, là il est nécessaire que vous alliez clarifier la vérité, apporter le salut. Il ne faut pas quand on rencontre un problème le contourner. » (« Enseignement de la Loi à la Conférence de Loi de Washington DC » de Enseignement de Fa dans les conférences II)
Au début, les gardes étaient très rudes. Nous n'avons pas abandonné et ils ont changé. L'un d'eux a dit finalement : « Je pense que vous m'avez convaincu. Je ne suis pas contre le Falun Gong. » Après cela, les gardiens nous saluaient avec un sourire. Finalement ils nous ont donné les numéros de téléphones de ceux à qui la cause avait été assignée.
Parler du Falun Gong et de la persécution à la juge
La cause de ma mère était assignée à une Cour particulière, alors nous sommes allés au palais de justice et avons demandé à parler à la juge en chef. Chaque fois, on nous disait que la juge en chef était sortie et de l'appeler. Quand nous l'avons finalement jointe au téléphone, nous lui avons expliqué combien nous avions bénéficié du Falun Gong et nous lui avons parlé de la persécution ; elle écoutait tranquillement. Nous n'avions pas encore eu de rencontre avec la juge, mais nous émettions la pensée droite dans le palais de justice.
J'ai écrit une lettre à la juge en chef avant que le procès ne débute. J'ai été inspiré par un article de Minghui : « M'élever et gagner en maturité dans le processus de sauver ma mère de la détention ». J'ai remis la lettre à la juge avant que le procès ne commence. Je lui ai dit : « J'ai écrit ceci pour vous. C'est ce que je veux vous dire du plus profond de mon cœur. S'il vous plaît, lisez-la. » Elle a accepté la lettre.
Ma mère a été condamnée à trois ans de prison, deux mois après le procès. Nous avons engagé un avocat et fait appel à une cour de plus haute instance. Pendant l'appel, nous avons fréquemment parlé du Falun Gong aux juges.
Maintenir la pensée droite et rejeter la persécution
Pendant une rencontre avec ma mère, l'avocat a noté qu'elle était émaciée. Lors de leur précédente rencontre elle ne l'était pas. Il a demandé au centre de détention de la faire examiner. Après une semaine, nous n'avions pas reçu de réponse du centre de détention, alors nous avons rapporté la situation au parquet qui se trouve au centre de détention et lui avons expliqué les faits au sujet du Falun Gong.
Grâce à notre insistance, ma mère a finalement été examinée. Elle a été diagnostiquée comme faisant de l'hypertension, un infarctus cérébral et une inflammation de la vésicule biliaire. Nous savions que toutes celles-ci étaient des illusions et que le Maître prend soin de nous.
Nous avons visité ma mère après l'examen. De nombreux pratiquants sont aussi venus pour émettre la pensée droite. En regardant ma mère entrer dans la salle de visite, émaciée et menottée, j'étais hors de moi. Je me suis calmé, sachant que je devais la soutenir avec la pensée droite.
Malgré que les téléphones des visiteurs étaient sous écoute et qu'il y avait des caméras dans la salle, les autres pratiquants n'avaient pas peur et ils ont émis la pensée droite. Plusieurs d'entre eux ont parlé à ma mère et ont partagé leurs pensées avec elle.
Chaque fois que nous allions au centre de détention, mon père saisissait chaque occasion pour parler aux gens. Plusieurs d'entre eux comprenaient que le Falun Dafa est persécuté et ils démissionnaient du Parti communiste chinois et de ses organisations affiliées.
Notre avocat a demandé une caution pour que ma mère reçoive un traitement médical. La cour a rejeté la demande sans même tenir une audience. Quand nous avons entendu dire qu'ils avaient envoyé ma mère en prison, tous les autres pratiquants ont émis la pensée droite pour rejeter la persécution.
Croire en le Maître et Dafa mène à des miracles
Le lendemain , j'ai eu l'éclair d'une intuition que ma mère n'avait pas été envoyée en prison. Nous sommes allés au centre de détention le lendemain et avons découvert que la prison avait refusé ma mère pour des raisons de santé. Le Maître nous a dit :
« Si les disciples sont emplis de pensées droites,
Le Maître a le pouvoir de changer la décision du Ciel »
(« La grâce entre Maître et disciple » dans Hong Yin II)
J'ai été profondément touché et j'ai remercié le Maître
Quand nous avons demandé pour la caution de ma mère, nous avons aussi passé à travers de nombreux tests. Le bureau de la justice disait que les symptômes de ma mère n'étaient pas significatifs pour y avoir droit. Ils nous ont dit que les exigences étaient plus grandes. Cependant nous savions que le Maître avait son mot final sur tout.
Le bureau de justice nous a demandé d'abord d'avoir une « preuve de résidence » de notre comité de voisinage. Cependant le comité s'esquivait et ne voulait pas fournir la documentation nécessaire. La date butoir approchait, alors nous nous sommes rendus au comité encore une fois. Mon père leur a dit : « Vous n'aurez aucun pouvoir sur ma femme quand elle reviendra. »
Son commentaire a fait réagir la chef du comité qui a appelé le département de la justice. On nous avait demandé d'attendre à l'extérieur, mais j'ai entendu ce qu'elle disait : « Cette personne a mis des affiches partout et elle a eu un avertissement. Toute sa famille pratique le Falun Gong. »
J'étais hors de moi, mais j'ai continué à me rappeler à moi-même qu'en tant que pratiquant, je devais être tolérant. Le Maître a dit :
« Un cœur sans agitation peut dominer dix mille agitations. »
(« Éliminer le dernier attachement »)
J'ai compris que ma mère avait son propre chemin à marcher dans le centre de détention et que nous avions nos chemins à marcher à l'extérieur.
Après qu'elle eut fini son appel, la chef du comité a voulu venir chez nous, pour vérifier notre résidence et elle a demandé au personnel du département de la justice et du poste de police d'y aller. Cependant ils n'ont pas voulu y aller avec elle.
Je suis allé chez ma mère faire le ménage. Je me suis agenouillé devant la photo du Maître et j'ai demandé au Maître de me renforcer. Mon père est venu à la maison peu de temps après. Il m'a dit que le comité était d'accord pour fournir la « preuve de résidence » exigée et que nous n'avions besoin de rien d'autre.
Ma mère est revenue chez elle sans aucune autre difficulté, ce qui était rare dans notre région. Même le personnel du bureau de justice continuait de penser que nous avions obtenu la « preuve de résidence » en distribuant quelques pot-de-vin.
C'était un miracle que ma mère revienne chez elle. Tant et aussi longtemps que nous continuons de garder nos pensées droites, le Maître contrôle tout. Un grand merci au Maître et pour la grâce compatissante du Maître !
Traduit de l'anglais au Canada
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