Un homme de Heilongjiang décède cinq mois après avoir été arrêté pour avoir poursuivi l'ancien dictateur chinois

(Minghui.org) Un résident du canton de Yilan est mort cinq mois après avoir été arrêté suite au dépôt de sa plainte criminelle contre l'ancien dictateur chinois Jiang Zemin qui a lancé la persécution du Falun Gong, ce qui a mené à ses détentions passées pour sa foi.

M. Yu Lianhe a été arrêté à son domicile en septembre dernier et a été malmené quand il a résisté à l'arrestation illégale.

Sun Chenglin, directeur du centre de détention local, a renversé M. Yu et l'a piétiné à la tête quand il a refusé de mettre un uniforme de détenu. Par conséquent, il a eu une profonde blessure à la tête qui saignait abondamment.

Les jours suivants, Sun Chenglin a aussi soumis M. Yu à diverses autres formes de mauvais traitements.

M. Yu a été relâché quinze jours plus tard, mais il n'a jamais pu se remettre des complications de la torture brutale endurée en détention. Il crachait du sang de temps en temps et avait mal partout. Il est décédé le 5 février 2016 à 56 ans.

Historique

En 1999, Jiang Zemin, à la tête du Parti communiste chinois, lançait la répression violente du Falun Gong sans tenir compte des autres membres du comité permanent du Politburo.

La persécution a conduit à la mort de nombreux pratiquants de Falun Gong au cours des seize dernières années. Beaucoup plus auraient été torturés en raison de leur croyance et même tués pour leurs organes. Jiang Zemin est directement responsable de la mise en place et du maintien de la persécution brutale.

Sous sa direction personnelle, le Parti communiste chinois a créé un organe de sécurité illégal, le « Bureau 610 », le 10 juin 1999. L'organisation supplante les forces de police et le système judiciaire dans l'exécution de la directive de Jiang concernant le Falun Gong : ruiner leur réputation, couper leurs ressources financières et les détruire physiquement.

La loi chinoise permet aux citoyens d'être plaignants dans les affaires pénales et de nombreux pratiquants exercent maintenant ce droit de déposer des plaintes pénales contre l'ancien dictateur.

Traduit de l'anglais en Suisse