Marcher sur le chemin de Dafa et réveiller les gens de ce monde

(Minghui.org) J'ai 76 ans. Sous la protection pleine de compassion du Maître, j'ai enduré 19 ans de hauts et de bas. Autrefois à deux doigts de la mort, je suis maintenant en bonne santé, je cultive sur le droit chemin dans la période de la rectification de Fa et je mûris chaque jour un peu plus pour devenir une disciple de Dafa vraiment inébranlable.

Marcher fermement sur le chemin de Dafa

Vers la fin de 1996, quand j'étais à l'hôpital, une dame m'a présenté le Zhuan Falun et m'a dit à quel point la pratique était bonne.

À l'époque, je ne me sentais pas capable de faire les exercices alors j'ai refusé. Mais je n'ai pas complètement rejeté l'idée.

La dame m'a encouragée à de nombreuses reprises à essayer le Falun Dafa. J'ai finalement accepté de consulter le texte principal du Falun Dafa, le Zhuan Falun.

Dès que j'ai ouvert le livre et regardé la photo du Maître, j'ai commencé à pleurer. J'ai ressenti que le Maître était mon parent perdu de vue depuis longtemps !

Mais je n'ai pas compris à quel point Dafa est précieux, alors le premier jour, j'ai lu le livre couchée. Je me suis endormie avant de finir deux lignes. Le lendemain, j'ai lu deux autres lignes et je me suis encore endormie.

J'ai pensé : « Peut-être que je ne devrais pas lire ce livre couchée. » Alors je me suis assise et j'ai commencé à lire depuis le début.

Quand j'ai eu fini de lire le Zhuan Falun la première fois, j'ai senti à quel point le Maître était formidable d'écrire si bien sur des choses aussi profondes.

Quand j'ai lu le livre la deuxième fois, j'ai remarqué que le Maître dit :

« ... la vie humaine n’est pas faite pour rester un être humain, mais pour retourner à l’origine première, pour retrouver l’authenticité première, pour retourner. » (Zhuan Falun)

J'ai fermé les yeux, mais je ne pouvais pas empêcher les larmes de couler sur mon visage. J'ai appelé le Maître dans mon cœur : « Maître, je veux rentrer à la maison avec Vous ! »

Avant de terminer la lecture du Zhuan Falun la deuxième fois, j'étais en mesure de travailler aux champs.

Je me suis rendu compte de l'importance d'étudier le Fa, parce que toute la sagesse est dans le Fa. Soit j'étudiais trois conférences, soit j'écoutais les enregistrements du Maître, soit je regardais les vidéos du Maître chaque jour.

Cela m'a aidée à établir une base solide pour ma cultivation de Dafa à venir.

Le Nouvel An approchait, alors j'ai commencé à faire des petits pains cuits à la vapeur. J'en ai fait un grand pot d'une seule traite. Mon mari a dit : « Ne t'épuise pas. »

Je lui ai répondu : « Si je suis fatiguée, je vais lire mon livre et tout ira bien. »

À l'époque, je n'avais pas encore appris les exercices. Après le Nouvel An, je suis allée au site de pratique pour les apprendre et j'ai commencé à ajouter les exercices quotidiens à mon étude du Fa.

Depuis, je ne me suis pas relâchée une seule fois sur mon chemin de cultivation.

Clarifier les faits à la police

J'ai été emprisonnée et persécutée par le Parti communiste chinois (PCC) à plusieurs reprises pour la pratique de Dafa. J'ai ainsi fait connaissance avec quelques policiers.

L'un d'eux était directeur du centre de détention, maintenant à la retraite. J'avais parlé avec lui au sujet du Falun Dafa et de la vérité derrière la persécution. Il savait aussi que le Falun Dafa était bon.

Un jour, je l'ai vu et j'ai encore essayé de le persuader de démissionner du PCC et de ses organisations affiliées. Au début, il était réticent.

Puis il a réfléchi un moment et m'a demandé : « Et vous ? Avez-vous déjà démissionné du parti ? »

Je lui ai dit : « Oui, bien sûr. »

Il a demandé : « Est-ce que votre mari a déjà démissionné ? »

J'ai dit : « Je ne peux pas vous le dire. »

Il a semblé rassuré. Il a dit : « Je démissionne ! Je démissionne ! Je démissionne maintenant ! Et utilisez mon vrai nom pour me rayer du Parti. »

Ensuite, quand il m'a vue, il m'a demandé : « Je ne suis pas un mauvais gars, pas vrai ? »

J'ai dit : « Quand est-ce que j'ai dit que vous étiez mauvais ? »

Il a dit : « Je vous ai détenu avant. »

J'ai dit : « Maintenant que vous savez que le Falun Dafa est bon et Authenticité-Compassion-Tolérance est bon, et que vous essayez de protéger les pratiquants de Dafa et ne faites pas de mauvaises choses, alors tout va bien. »

Un autre était l'instructeur de notre poste de police qui venait me harceler chez moi quand la persécution a commencé.

Je l'ai rencontré au marché. Je l'ai poliment appelé.

Il m'a regardée et m'a soudain reconnue, « Oh, c'est vous ! Mince, vous êtes jolie, et vous avez l'air en pleine forme. »

J'ai souri et dit : « Vous ne vous souvenez donc pas que je pratique le Falun Dafa ? »

Il a dit : « C'était Jiang Zemin [l'ancien dictateur chinois] qui nous a ordonné de vous arrêter. Ce traître perfide est celui qui nous a ordonné de vous arrêter. S'il vous plaît ne... »

Je lui ai dit : « Vous n'avez pas besoin d'en dire plus. Je ne vous déteste pas. Vous ne devez pas avoir peur que nous vous détestions. Nous voulons juste vous faire comprendre que le Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon, et c'est suffisant pour moi. »

Mais quand je lui ai parlé de démissionner du Parti, il ne répétait que : « Laissez-moi y réfléchir. »

Un troisième était le chef d'escadron de la sécurité intérieure de l'équipe de mon district.

Au printemps 2013, j’allais chez un pratiquant en tricycle quand j'ai remarqué qu'il marchait juste devant moi.

J'ai pédalé dur pour le rattraper et lui ai donné une tape dans le dos. Il s'est retourné et a vu que c'était moi.

Je l'ai salué, « Pourquoi n'allez-vous pas au travail ? »

Il a dit : « Oh, j'ai envie de marcher pour changer. Ce n'est pas si loin. »

Je savais qu'il avait arrêté un pratiquant de Dafa local, alors je lui ai demandé : « Arrêtez-vous toujours des pratiquants de Dafa ? »

Il a dit : « Occupez-vous de vos affaires. Arrêtez de fourrer votre nez dans les affaires des autres. »

Je lui ai dit, les larmes aux yeux, « Ce qui me préoccupe le plus, c'est vous ! Vous avez affaire à des disciples de Dafa depuis tant d'années, ne savez-vous toujours pas que les disciples de Dafa sont de bonnes personnes ?

« À partir de maintenant quand vous verrez des disciples de Dafa en train de faire quelque chose, il vous suffit de tourner la tête et de regarder de l'autre coté. Faites comme si vous n'avez rien vu. »

Il a répété mes derniers mots, « Bien sûr. Rien vu. Rien vu du tout. »

Lorsque nous sommes arrivés à l'intersection, je lui ai demandé à plusieurs reprises, « M'avez-vous entendue ? Penserez-vous à ce que j'ai dit ? »

Il a dit : « J'y penserai. J'y penserai. »

Puis il m'a dit de faire attention en traversant la rue.

Au cours des deux années qui ont suivi lorsque des pratiquants étaient arrêtés, je n'ai pas vu son nom mentionné.

Ne manquez personne ayant une relation prédestinée

Un chauffeur de camion

Quand j'ai essayé de donner quelques brochures de Dafa à un chauffeur de camion, il a refusé de les prendre et il a dit quelque chose de pas très agréable.

J'ai discuté avec lui, mais cela l'a rendu encore plus agressif.

Un autre chauffeur de camion l'a entendu et lui a dit : « Comment peux-tu parler comme ça ? »

Sur le chemin du retour, j'ai regardé à l'intérieur et j'ai réalisé que mon attitude combative l'avait fait parler de Dafa avec mépris.

Le Maître a dit:

« La compassion peut faire fondre Ciel et Terre en printemps

Les pensées droites peuvent sauver les gens de ce monde »

(« La Loi rectifie l'Univers » Hong Yin Vol. II)

Quelques jours plus tard, j'ai encore tenté de lui donner des dépliants de Dafa. Lorsque je me suis approchée de son camion, il faisait semblant de dormir. J'ai souri et suis partie.

Encore quelques jours plus tard, je l'ai cherché de nouveau. Cette fois, il a dit : « Encore vous ? »

J'ai souri et dit : « Oui, c'est encore moi. »

Il m'a demandé : « Combien d'argent gagnez-vous à faire cela ? Cela a dû vous coûter très cher d'imprimer ce genre de choses. »

Je lui ai répondu : « Je ne gagne pas d'argent. Mais je suis plus que disposée à le dépenser tant que vous apprenez la vérité. »

Il a finalement accepté les documents de Dafa.

Dès lors, chaque fois qu'il me voyait, il me demandait : « Avez-vous encore des documents de Dafa ? Donnez-m'en un exemplaire. »

Un chauffeur de taxi

Il y avait un chauffeur de taxi. Quand j'ai essayé de lui remettre un dépliant, il a agité les mains devant lui pour me dire qu'il n'en voulait pas.

Cela s'est passé plusieurs fois. Après l'incident Wang Lijun s'était réfugié au consulat américain pour se protéger, je l'ai vu à nouveau attendre les clients au bord de la route.

J'étais déjà passée devant lui avec mon tricycle, mais j'ai fait demi-tour pour lui donner un livret de Dafa.

Il a dit : « J'ai une voiture remplie de documents. »

Je lui ai dit : « Mais tout ce que vous avez ne peut pas être aussi bon que ce que je vous donne. »

Il a pris le livret.

Lorsque je me suis arrêtée là où il attendait les clients, lors de mon retour, il était toujours là, alors je lui ai demandé s'il avait eu le temps de regarder le livret. Il ne m'a pas répondu directement, mais a suggéré, en montrant un homme debout à proximité, « Pourquoi ne lui donneriez-vous pas un exemplaire ? »

L'homme a dit : « N'est-il pas interdit aux gens du Falun Dafa de distribuer leurs documents ? »

« Qui l'a dit ? » a répondu le chauffeur. « Prends-le. »

Plus tard, il a utilisé son vrai nom et m'a permis de l'aider à démissionner de toutes les organisations affiliées au Parti.

Un ouvrier retraité

Il y avait un ouvrier retraité qui était propriétaire d'une petite boutique. Je lui ai parlé de démissionner du Parti communiste.

Il m'a dit : « Je ne suis jamais allé à l'école, donc je ne suis jamais devenu membre de quoi que ce soit. »

Je lui ai donné des documents de Dafa.

Quelques jours plus tard, je lui ai demandé s'il avait fini de lire ce que je lui avais donné. Il m'a demandé : « Pourquoi continuez-vous à me donner ce genre de choses ? »

J'ai dit : « Si vous n'aimez pas ce que je vous ai donné avant, peut-être que la prochaine fois, je vais vous donner quelque chose que vous aimerez. »

Je lui ai dit que j'allais lui donner une copie des Neuf Commentaires sur le Parti communiste.

Il a réfléchi un moment, puis il a accepté.

Lorsque il m'a semblé qu'il avait eu assez de temps pour le lire, je suis retournée vers lui et j'ai demandé : « Est-ce que vous avez fini ? »

Il a dit avec enthousiasme : « C'est vraiment bien. Jiang Zemin est tellement mauvais. »

Je lui ai conseillé de démissionner du Parti. Il a finalement admis qu'il était un membre du Parti et qu'il serait heureux de démissionner.

Après cela, il m'a même aidée à persuader ses clients à démissionner du PCC.

Traduit de l'anglais en Suisse