(Minghui.org) Je suis âgé de 93 ans. Je suis né et ai grandi à la ferme et j'ai seulement une éducation de troisième année du primaire. J'ai cultivé des arbres fruitiers pendant plusieurs décennies.
Pour cette raison, j'étais devenu une petite célébrité dans le cercle des producteurs d'arbres fruitiers dans trois provinces du nord-est de Chine. J'avais aussi donné des conférences, à plusieurs reprises, à des milliers de personnes et avais également été nommé travailleur modèle au niveau de la province, la ville, le district et le faubourg.
Bien que j'aie gagné beaucoup de respect, j'avais aussi un mauvais caractère qui éclatait de temps en temps à la maison et dans mon verger.
Heureusement, en 1994, j'ai découvert un livre intitulé Falun Gong. Le livre m'a mené à la pratique du Falun Dafa, m'a fait réaliser mes nombreuses lacunes et m'a aidé à comprendre que Authenticité Bienveillance Tolérance est le critère de notre vie.
Maintenant, je pratique le Falun Dafa depuis vingt et un ans. J'ai rassemblé quelques expériences pour soumettre un rapport écrit au Maître et les partager avec les compagnons de cultivation.
Chérir l'opportunité de pratiquer
C'est mon neveu qui m'a présenté le Falun Dafa au printemps de 1994, lorsque je lui ai rendu visite. Ce jour-là, je suis rentré avec le livre Falun Gong. J'ai lu le livre toute la nuit, m'émerveillant devant chaque mot, ayant l'impression que le livre était vraiment grandiose.
Le lendemain, je suis allé à la ville de Changchun pour rendre de nouveau visite à mon neveu. Il m'a emmené dans une librairie où j'ai acheté dix autres exemplaires du même livre.
Quand je suis rentré, j'ai donné un exemplaire du livre à la petite-fille de mon frère. Puis, j'ai continué à partager la pratique avec la famille, les amis et les voisins dans mon village. Bientôt, tous les exemplaires du livre avaient disparu. Alors, je suis retourné à la ville de Changchun plusieurs fois pour en acheter davantage.
En 1997, plus de quarante personnes dans notre village étaient entrés dans la pratique de Dafa. Plus tard, nous avons mis en place un groupe d'étude du Fa et avons commencé à lire le livre et à faire les exercices ensemble.
Au printemps et en automne, lorsque le travail agricole était intense, nous nous levions tôt pour faire les exercices, laissant l'étude du Fa et l'exercice de méditation pour les soirées. Les jours chauds de l'été, nous faisions les exercices à midi.
Même pendant les jours froids d'hiver, nous faisions nos exercices à l'extérieur. Nous ne pensions pas au froid. En fait, nous sentions la chaleur de la pratique des exercices.
À l'époque, j'avais surtout hâte de faire les exercices, car ils me procuraient du repos et de la détente.
Le 20 juillet 1999, le Parti communiste a commencé sa persécution du Falun Dafa. Je suis allé avec les autres pratiquants au gouvernement provincial faire appel pacifiquement pour parler en faveur du Falun Dafa.
Quand je suis rentré, le poste de police du bourg d'Erdao m'a fait venir deux fois pour me harceler.
La première fois, de peur, je me suis laissé être contraint à écrire une déclaration de garantie. Plus tard, je me suis aperçu que c'était une grave erreur. Donc, quand la police m'a convoqué pour la deuxième fois, j'ai catégoriquement refusé de coopérer.
Dafa avait déjà pris racine dans mon cœur, de sorte qu'aucune quantité de désinformation, de propagande et de mensonges, que ce soit diffusés à la télévision ou à la radio, ne pouvait interférer avec ma détermination à pratiquer. Donc, quand le gouvernement ne me permettait pas de pratiquer à l'extérieur, je pratiquais à la maison.
Depuis vingt et un ans, je chéris toujours la possibilité de pratiquer. Je m'efforce d'être diligent. Je me lève à 3 h chaque matin, me lave et pratique tous les cinq séries d'exercices d'une seule traite.
Au cours des dernières années, nos pratiquants locaux ont créé un groupe d'étude du Fa, où nous nous réunissons trois fois par semaine. À ce jour, je n'ai fondamentalement pas manqué une seule fois.
Je prête également attention sans faute à l'émission de la pensée droite aux quatre moments déterminés.
Dans ses conférences du Fa, le Maître a mentionné à plusieurs reprises l'importance de l'étude du Fa.
Maintenant, j'ai augmenté ma lecture d'une conférence par jour à deux conférences au quotidien. Parfois, je vais substituer la deuxième conférence avec un récent enseignement du Fa. Je mémorise également Hong Yin et je consulte l'Hebdomadaire Minghui, chaque fois qu'il est publié.
Quant au mouvement de poursuivre l'ancien dictateur pour avoir lancé la persécution, j'ai compris tout de suite que cela signifiait la toute nouvelle situation de la rectification de Fa et j'ai déterminé que je devais faire partie de la vague.
J'ai vite écrit les documents de ma plainte pénale et ai demandé à ma fille de les affiner. Après cela, je les ai envoyés avec succès auprès du Parquet populaire suprême et de la Cour suprême à Pékin.
Sauver les gens avec un sentiment d'urgence
Je savais que les responsabilités des disciples de Dafa pendant la période de la rectification de Fa incluent la validation de Dafa et le salut des êtres, alors j'ai commencé par rendre visite aux membres de ma famille et à des amis à leur domicile.
Afin de clarifier la vérité à mes neuf neveux et nièces, je suis allé plusieurs fois à Jiutai où ils vivent. Je me suis également rendu au domicile des frères et sœurs de ma femme dans la ville de Changchun, Dongliao Baiquan, ainsi que dans la province du Liaoning.
J'ai même emporté des documents clarifiant la vérité alors que j'assistais à des mariages, afin de saisir toutes les occasions pour sauver les gens.
Lors d'une telle occasion, j'ai réussi à convaincre neuf personnes à démissionner du Parti communiste chinois et ai distribué de nombreux exemplaires des Neuf commentaires sur le Parti communiste ainsi que des amulettes de Dafa.
Le neveu aîné de ma sœur cadette est secrétaire de brigade et vit à plus de 48 km de chez moi. Je suis allé lui rendre visite deux fois, mais il n'était pas réceptif. Je voulais bien y renoncer, mais la pensée de son sombre avenir m'a fait continuer.
Un jour, j'ai apporté des documents clarifiant la vérité, ai fait trois transferts dans le train et suis parti lui rendre une autre visite.
Quand je suis arrivé en ville, je me suis installé chez ma nièce pour la nuit. Tôt le lendemain matin, j'ai parcouru 6,5 km de routes montagneuses pour me rendre au domicile de mon neveu.
Mon neveu a été surpris. Je lui ai dit : « Je craignais que vous puissiez avoir l'intention de sortir, alors je me suis levé tôt pour venir vous voir. Le but de ma visite aujourd'hui est de vous parler à nouveau de démissionner du Parti pervers. »
Peut-être avais-je enfin réussi à toucher son cœur, il a accepté avec joie. Il a également accepté un exemplaire des Neuf commentaires et d'autres documents de Dafa.
Il m'a invité à rester pour le déjeuner avant que nous ayons à nous dire au revoir.
Je remercie le Maître du fond de mon cœur pour m'avoir aidé à sauver une autre vie.
Quand j'ai eu fini avec mes parents, je me suis rendu chez mes amis qui vivent où j'ai initialement grandi.
Ces deux dernières années, quand je vivais dans la ville, j'allais souvent avec d'autres pratiquants clarifier la vérité dans les centres commerciaux. Parce que je suis âgé de plus de 90 ans, je pouvais facilement communiquer avec d'autres personnes âgées, ce qui m'a permis de convaincre quelques personnes chaque fois de démissionner du Parti communiste. Parfois, le nombre pouvait atteindre jusqu'à plus d'une dizaine.
Maintenant que je vis avec mon fils dans sa maison rurale où le transport est insuffisant et peu pratique, l'occasion de clarifier la vérité est minime, mais je comprends que mon existence est pour valider Dafa.
Dévoiler l'attachement et conquérir la mort
Je me souviens qu'un jour, en 2006, le chef du village de Dongliao Baiquan m'a demandé d'aller les aider à concevoir un verger directement sur place, pour une somme de 200 yuans. J'ai accepté avec joie. Donc, ils sont venus nous chercher, ma femme et moi.
Tout d'abord, ils ont laissé ma femme descendre chez notre fille à Jiutai, puis nous avons continué jusqu'à Dongliao Baiquan.
Mais, peu de temps après avoir atteint notre destination, je suis devenu désorienté, puis j'ai eu la diarrhée et une faiblesse extrême.
Ils ont vu mon état et se sont empressés de me retourner chez ma fille à Jiutai et nous y sommes arrivés vers minuit.
D'après le plan initial, je devais rester chez ma fille, mais je sentais que mon état devenait de plus en plus grave, donc j'ai dit à ma femme que nous devrions retourner à Jilin, et rapidement !
Nos enfants ont dit : « Dans ce lieu au milieu de la nuit, où allons-nous trouver du transport ? »
Je leur ai dit : « Je veux retourner à Jilin, même si je dois appeler un taxi. »
Ayant échoué à me dissuader de quitter, les enfants n'ont eu d'autre choix que de nous emmener à la gare.
À la surprise de tout le monde, il y avait effectivement un train partant pour Jilin.
Quand nous sommes finalement arrivés à Jilin, nous avions encore plus de 80,5 km à parcourir, donc un taxi a été convoqué pour finir le trajet.
Il était déjà 3 h du matin. J'étais parfaitement conscient que le Maître était là veillant sur moi sinon les choses n'auraient pas été en douceur.
Dès que je suis arrivé à la maison, je me suis plongé directement dans mon lit et je n'ai plus eu connaissance de rien.
Dans un état de somnolence, j'ai entendu quelqu'un crier : « Papa, papa ! »
J'ai ouvert les yeux légèrement et ai vu une salle pleine de gens. J'ai jeté un coup d'œil plus loin et ai vu plusieurs véhicules dans la cour.
Mon troisième fils m'a dit : « Papa, quand vous voulez pratiquer, alors vous pratiquez. Lorsque vous avez besoin d'aller à l'hôpital, alors vous devriez aller à l'hôpital. »
Tout d'un coup, j'étais plein d'énergie et ai proclamé haut et fort : « L'hôpital ne peut pas guérir ma maladie. Je pratique le Falun Dafa depuis plus d'une décennie, sans prendre ni médicament, ni injection. J'ai une foi absolue en Dafa. Je ne vais pas aller à l'hôpital. Si je mourrais vraiment, vous devriez juste m'habiller dans des vêtements jaunes et c'est tout. »
Mon troisième fils et ma deuxième fille sont partis après avoir exprimé leur mécontentement.
Ma troisième fille n'a été informée de ma situation que le lendemain matin, elle est venue me voir avec ma deuxième fille et un pratiquant.
Ils m'ont trouvé grelottant de froid sous la couverture, même avec ma veste en duvet. J'avais une forte fièvre.
Ils m'ont réveillé et j'ai eu du mal à m'asseoir.
Ma troisième fille a dit : « Papa, les pratiquants doivent regarder à l'intérieur chaque fois que quelque chose arrive. Vous devez savoir où vous n'avez pas bien fait. »
Quand j'ai commencé à parler de mon voyage à Dongliao Baiqan, j'ai découvert mes attachements à la renommée et au gain. J'avais plus de 80 ans à l'époque, pourquoi étais-je toujours si enthousiaste à parcourir les quelques centaines de kilomètres pour aider à concevoir un verger ?!
Toute ma vie, j'ai aimé entendre des louanges. Ce cœur de vouloir prestige et renommée doit être éliminé.
Nous avons passé l'heure suivante à émettre la pensée droite. Ensuite, nous avons étudié le Fa.
J'allais de mieux en mieux. Le sixième jour, j'étais complètement guéri. J'avais réussi à surmonter la mort.
Grâce à cette expérience, j'en suis venu à comprendre qu'il n'y a pas de petites choses dans la cultivation. Une seule pensée pourrait finir par un gros problème.
Et à partir de cette expérience, chaque fois que quelque chose m'arrive, mes neuf enfants ne mentionnent jamais la prise de médicament ni aller à l'hôpital. Ils ont tous compris la puissance et la magie de Dafa.
Le sérieux de la cultivation et pratique
Une nuit en janvier 2014, j'avais des frissons même lorsque la température ambiante était de 27 degrés Celsius et je portais deux gilets de coton matelassé.
Ma troisième fille est venue étudier le Fa avec moi. Après cela, je me suis couché.
Le lendemain matin, juste après le premier exercice, mes genoux ont fléchi. Sans tonicité ni force, je suis devenu mou, ai tombé à genoux à côté de mon lit et ne pouvais pas continuer avec le reste des exercices.
J'ai dit à ma troisième fille que j'avais rêvé être tombé dans un endroit profond quand je faisais l'exercice de méditation.
Je savais dans mon cœur qu'on me donnait un indice que j'avais des problèmes dans ma cultivation et pratique.
J'avais froid. Je ne pouvais pas manger. Je toussais et crachais constamment. Le grand sac existant dans mon estomac s'était aussi gonflé. La douleur était si intense, je ne pouvais même pas sortir du lit.
Ce sac me causait des problèmes depuis quelques années et me faisait souvent souffrir, c'était si grave que parfois je ne pouvais pas manger. Seulement, cette fois-ci, je sentais que c'était pire que jamais.
J'ai continué à réciter Hong Yin, mais dans l'après-midi, le deuxième jour du Nouvel An chinois, je ne pouvais même pas émettre la pensée droite ni faire un seul exercice.
Toute la nuit, deux de mes fils ont pris soin de moi et ma troisième fille a continué à émettre la pensée droite pour moi.
Le lendemain, je me sentais très bien. Mon quatrième fils était si heureux, il a décidé que nous devions célébrer. Mes enfants m'ont conduit à un restaurant où ils ont commandé pour deux tables.
À cause de moi, personne n'avait envie de profiter de la venue de la nouvelle année. Maintenant, nous pouvions tous enfin se détendre et avoir un peu de plaisir.
Dans la soirée, j'ai été encore une fois en très mauvais état. Ma troisième fille m'a demandé de répéter après elle ce que le Maître a dit :
« Je suis disciple de Li Hongzhi, je refuse tous les autres arrangements, je n’en reconnais aucun, alors elles n’osent plus agir, dans ce cas tout peut être résolu. » (« Expliquer la Loi lors de la Conférence de Loi de l’Ouest des États-Unis au moment de la Fête de la lanterne de l’an 2003 »)
Je l'ai répété après elle, encore et encore et encore. Plus je le répétais, plus je me sentais plein d'énergie.
Pourtant, tout au long de la nuit, j'ai continué à tousser et à cracher. Le lendemain matin, je ne pouvais pas faire les exercices.
L'après-midi du quatrième jour, j'étais encore couché au lit. Ma troisième fille était dans ma chambre en train de regarder le site Internet Minghui.
Tout d'un coup, elle a couru et s'est agenouillée devant le portrait du Maître, en disant : « Maître, je sais ce que mon père a fait. Il a fait du mal. Quand il s'est mis en colère, il a déclaré qu'il ne voulait plus pratiquer. Maître, s'il vous plaît pardonnez-lui. Je vous en prie, sauvez mon père. »
J'ai avoué : « Oui, je l'ai dit plusieurs fois. Que dois-je faire maintenant ? »
Ma troisième fille a dit : « Dépêchez-vous et interpelez le Maître ! La pratique n'est pas un jeu d'enfant. Les forces anciennes vont saisir cette lacune, vous persécuter et prendre votre vie. »
J'ai rapidement mis mes paumes ensemble, les ai placées devant ma poitrine en disant au portrait du Maître : « Maître, je me suis trompé. J'ai fait mal. La cultivation et pratique est une affaire sérieuse. Je veux vraiment pratiquer. Je vais pratiquer sérieusement. Maître, s'il vous plaît sauvez-moi. »
Dans la soirée, deux pratiquants sont venus. Nous avons étudié le Fa et émis la pensée droite ensemble.
J'ai fait le quatrième exercice. Quand j'ai eu fini, mes genoux ont flanché et je suis tombé. Mon estomac a commencé à me faire mal.
Ma troisième fille m'a demandé de réciter le Fa et de nier tous les arrangements des forces anciennes.
Tous ceux qui étaient là ont émis la pensée droite ensemble. Après environ vingt minutes, je pouvais m'asseoir. Nous avons continué à émettre la pensée droite pendant quarante minutes.
Quand ils ont vu que j'allais bien, ils sont partis distribuer des documents de Dafa.
Je me suis endormi. Quand je me suis réveillé au milieu de la nuit, je me sentais bien et pouvais me lever pour prendre un verre d'eau.
Le matin du cinquième jour de la nouvelle année, j'ai été en mesure de terminer tous les cinq exercices. Ma force était revenue et je me sentais détendu et confortable.
J'ai partagé avec les membres de ma famille pratiquants, des paroles de mon cœur. Je leur ai dit : « J'ai regardé à l'intérieur.
« À la maison, je suis votre père et vous êtes tous des enfants qui me montrez la piété filiale. J'ai l'habitude de dire ce que je pense. Je n'ai pas pratiqué la cultivation de la parole. Je n'ai pas été sérieux au sujet de ma pratique.
« Tout du long, je pensais que si je fais les trois choses, je serai en mesure d'atteindre la plénitude parfaite et de rentrer à mon foyer d'origine avec le Maître. Ce n'est pas vrai non plus.
« Toujours avoir la pensée de rentrer à mon foyer d'origine est un attachement à la recherche. Ce n'est pas bien. Je n'étudiais pas moins le Fa, mais c'était superficiel parce que je ne permettais pas au Fa de rentrer dans mon cœur. Cela n'était pas juste non plus.
« Je ne peux pas continuer de décevoir le Maître et d'obliger le Maître à s'inquiéter constamment de moi. »
Plus tard, j'ai fait un rêve. J'ai rêvé d'une vaste colline où on avait planté plein d'oignons verts, tous très grands et épais. Beaucoup de gens là-bas m'ont dit que j'étais le propriétaire de ce champ d'oignons.
Ma troisième fille était heureuse et m'a dit : « Papa, ces oignons doivent être vos êtres. »
J'en suis venu à une soudaine réalisation. Le Maître est si compatissant. Il ne m'abandonne pas. Il m'a sauvé la vie et m'encourage.
En voyant mon retour à la santé, tous mes enfants étaient fous de joie. Toute ma famille de plus de trente membres se sont réunis pour manger un repas familial.
À la table, mon troisième fils a parlé avec émotion : « Je remercie le Maître de Dafa. Je remercie Dafa pour avoir sauvé la vie de notre père. Je remercie tous les pratiquants qui ont aidé à émettre la pensée droite pour mon père. »
Tout le monde présent ont tous convenu que le Falun Dafa est bon.
J'étais aussi très émotif, je me suis levé et ai dit : « Merci, Maître ! Merci Dafa !Donnons tous grâce au Falun Dafa qui sauve les vies ! »
Depuis ce temps, le grand sac dans mon estomac est également complètement disparu.
Grâce aux changements physiques en moi, tout le monde a encore une fois été témoin de la puissance extraordinaire du Falun Dafa.
Maintenant, je suis âgé de 93 ans. Je peux entendre parfaitement. Je lis sans la nécessité de porter des lunettes de lecture.
Je n'ai aucun langage pour exprimer ma gratitude envers le Maître pour sa compassion. Je n'ai pas de mots pour décrire les soins que le Maître m'a donnés au cours de ces dernières vingt et une années.
Je ne peux que chérir Dafa de toutes les manières possibles, cultiver avec diligence pour avancer et avancer encore davantage !
Traduit de l'anglais au Canada
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