(Minghui.org) J'ai 71 ans et mon mari 77 ans. Nous continuons à parler aux gens de la persécution du Falun Dafa et nous les aidons à démissionner du Parti communiste chinois (PCC).
Sain et sauf
Mon mari a été percuté par une voiture sur le chemin du retour chez lui en rentrant de faire les courses. Avec sa jambe coincée sous la voiture, il a crié au conducteur : « S'il vous plaît, déplacez la voiture et tirez-moi de là ! »
Le jeune conducteur semblait en état de choc. Il a demandé à mon mari s'il allait bien et a voulu l'amener à l'hôpital.
Mon mari a répondu : « Je vais bien aller. Je suis un pratiquant de Dafa. Nous sommes pris en charge par notre Maître. »
Mon mari a parlé au chauffeur du Falun Dafa et de la persécution et a demandé s'il avait démissionné du PCC.
« Je suis membre de la Ligue de la Jeunesse », a dit le jeune homme. « Je serais reconnaissant si vous pouviez m'aider à m'en retirer. »
Vouloir déraciner la corruption
J'ai rencontré toutes sortes de personnes tout en parlant du Falun Dafa. Certains peuvent comprendre pourquoi Dafa est calomnié et pourquoi ils devraient démissionner du PCC. Toutefois, il y en a d'autres qui ont été profondément influencés par la propagande trompeuse du PCC concernant Dafa et refusent de démissionner.
J'ai rencontré un homme dans une foire qui était un membre du Parti et un directeur du Comité du village nouvellement nommé. Je lui ai parlé de Dafa et il a écouté attentivement. Cependant, quand je lui ai proposé de démissionner du PCC, il a refusé.
Il a dit : « Je sais que le PCC est vraiment vicieux. Le Parti est corrompu de la tête aux pieds. J'ai fait tout mon possible pour devenir le chef du Comité du village pout pouvoir prétendre être l'un d'entre eux. Je voulais voir ce qui les rendait corrompus et je pourrais alors les débusquer. »
Je lui ai dit que c'était excellent qu'il veuille attraper les mauvaises personnes, mais son approche pourrait tourner vers l'effet inverse, puisqu'il pourrait se laisser entraîner et se comporter comme eux.
« Mais comment puis-je les attraper si je ne suis pas l'un d'entre eux ? a-t-il répliqué.
J'ai expliqué : « Vous devez être très prudent pour ne pas vous laisser emporter par les choses. Vous ne pouvez pas vous faire du tort à vous-même. Vous avez quand même une famille. Vous devez d'abord démissionner du Parti. »
Après une pause, j'ai continué : « Vous pouvez conserver votre position, mais vous devriez jamais profiter des autres quand vous êtes en position de pouvoir. Plus vous obtiendrez de soutien populaire, plus vous gagnerez de respect. »
J'ai terminé en disant : « Le Parti promet de lutter contre la corruption à l'heure actuelle. Ce n'est qu'une question de temps avant que tous ces fonctionnaires corrompus soient punis. C'est la loi du ciel que le bien soit récompensé et le mal puni. »
Il a finalement accepté de démissionner du PCC. J'ai conclu en disant que ce qui nous arrive est en général le résultat des pensées sous-jacentes et des attitudes que nous avons. Si les gens choisissent de démissionner du Parti, ils peuvent sans aucun doute avoir un avenir brillant.
Choisir n'est pas le bon moyen
Quand il s'agit de démissionner du PCC, je pensais avant que les étudiants et les diplômés universitaires étaient le groupe le plus difficile à aider à démissionner du Parti.
Le Maître a dit :
« Donner le salut aux gens c’est donner le salut aux gens, les choisir ça n’est plus la compassion. » (« Enseignement de la Loi à la Conférence de Loi de la grande région de New York 2009 »)
Mon mari a commencé une conversation avec un jeune étudiant et lui a parlé de Dafa et du mouvement des démissions du Parti. Le jeune homme semblait être d'accord avec ce que mon mari disait et a pris volontiers les documents d'information de Dafa.
Mon mari lui a expliqué comment accéder aux sites Internets qui sont bloqués sur son téléphone portable. Il était très content de découvrir qu'il pouvait lire des informations censurées. Il s'est retourné et a crié à ses amis : « Eh ! Venez par ici. Cet homme parle du Falun Dafa. Vous devez écouter ça ! »
Tous les trois ont écouté et ont compris l'importance de démissionner du PCC et de ses organisations affiliées. Avant de partir, ils ont à plusieurs reprises demandé à mon mari de prendre particulièrement soin de sa sécurité. Quand ils sont entrés dans la voiture, ils ont sorti leurs mains pour saluer et ont crié : « Falun Dafa est très bon ! »
Une opportunité extraordinaire
Je suis allée un jour dans un marché pour distribuer des documents de Dafa et j'ai rencontré un homme bien habillé d'âge mûr avec son jeune fils. J'ai supposé qu'il était important parce qu'il était si bien habillé.
Je l'ai salué et lui ai tendu un document au sujet de Dafa. Il a demandé si j'avais autre chose à lui donner. Je lui ai demandé d'attendre un instant et me suis tournée vers un jeune homme qui vendait des légumes. Il venait juste de recevoir ma lettre ouverte au bureau de la Sécurité publique et au Bureau 610 à propos de la persécution de Dafa.
J'ai demandé au vendeur de donner la lettre à l'homme et lui ai promis de lui en ramener une autre quand je reviendrais au marché. Il a acquiescé et lui a remis la lettre.
L'homme a eu une expression de surprise quand il a vu la lettre. Il m'a immédiatement agrippée et m'a dit de le suivre.
J'ai pensé qu'il devait être un responsable gouvernemental ou un policier. Alors que nous étions en train de marcher vers l'entrée du marché, je lui ai dit : « Je suis ici parce que je veux dire aux gens que le Falun Dafa est bon et que c'est seulement après avoir démissionné du PCC et de ses organisations qu'on peut être en sécurité. »
Pendant ce temps mon mari était en train d'émettre la pensée droite.
L'homme m'a coupée : « Assez ! Je connais la situation mieux que vous. »
« Alors, pourquoi voulez-vous m'empêcher de faire ce que je suis en train de faire ? » ai-je continué, « tous les pratiquants de Falun Dafa font de bonnes actions et suivent le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Vous devriez traiter correctement les pratiquants de Dafa. »
Il a demandé : « Puisque vous suivez le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance, pouvez-vous me faire connaître votre nom et votre adresse ? Si c'est la vérité je vous laisserai partir. »
Je lui ai donné mes coordonnées personnelles et lui ai même dit le nom du secrétaire du Parti de notre village.
« Vous pouvez partir maintenant », a-t-il dit. J'ai laissé ma carte d'identité de la police chez moi, donc je ne peux pas vous emmener au poste de police. »
Mon mari et moi sommes rentrés en toute sécurité sous la protection du Maître.
Je suis heureuse d'avoir remis en main propre la lettre au policier. J'espère juste qu'il l'a lue et a compris la véritable situation au sujet de la persécution des pratiquants de Falun Dafa.
Traduit de l'anglais en France
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