La police qui a essayé de m'incriminer n'a rien pu trouver

(Minghui.org) J'ai commencé à pratiquer le Falun Gong après avoir lu le livre Zhuan Falun. Un mois plus tard, j'étais complètement guérie de mes maladies. Je suis remplie d'énergie depuis ce temps.

C'était la première fois que je ressentais ce que c'était que d'être en parfaite santé. Mon mari a aussi commencé à pratiquer le Falun Gong après avoir vu les changements qui s'étaient produits en moi.

Mon mari vient d'une famille relativement prestigieuse, alors que je suis une villageoise. Comme tel, ma belle-mère ne m'a jamais aimée. Elle me réprimandait chaque fois qu'elle en avait l'occasion.

Une fois j'ai eu un petit désaccord avec ma belle-sœur. Le lendemain, je suis rentrée à la maison, à midi, pour donner le sein à mon enfant, mais ma belle-mère ne m'a pas laissée entrer. Elle a montré mon nez du doigt et m'a dit de sortir de sa maison. J'ai pleuré et j'ai imploré son pardon. Bien que je ne me sois jamais plainte à mon mari, j'en ai toujours gardé de la rancune à ma belle-mère.

Je me suis éveillée après avoir lu ce que le Maître dit dans le Zhuan Falun : 

« Au cours de la cultivation et de la pratique, quand vous êtes face à des conflits biens réels ou que d'autres vous traitent mal, cela peut correspondre à deux situations. La première, c'est que vous avez peut-être maltraité les autres dans une existence antérieure ; au fond de vous-même vous vous sentez indigné : « Comment peut-il me faire ça ? » Mais vous, pourquoi lui avez-vous fait la même chose autrefois ? Vous direz qu'à ce moment-là vous ne saviez pas et que dans cette vie on ne va pas s'occuper de ce qui s'est passé dans une autre vie. Mais ça ne marche pas comme cela ! Il y a une autre situation à travers les conflits, c'est la transformation du karma qui est en jeu, alors dans nos actions concrètes, nous devons adopter une attitude magnanime et ne pas nous comporter comme des gens ordinaires. »

Je savais que je pouvais avoir été méchante avec ma belle-mère dans une vie précédente. Dans le cas contraire alors, elle m'a certainement donné beaucoup de vertu depuis des années. J'ai essayé de lui pardonner et finalement, j'ai été capable de la traiter comme une amie. Maintenant nous sommes comme une mère et sa fille et je prends vraiment soin d'elle. Un jour mon fils m'a dit que ma belle-mère avait dit que j'étais plus agréable avec elle que ma belle-sœur pouvait l'être.

Au travail, je suis chef-comptable. Avant de pratiquer le Falun Gong, je faisais des heures supplémentaires seulement si je devais le faire. Après être devenue une pratiquante, je voulais prouver que le Falun Gong est bon par mes actions. Alors je m'assurais que tout le monde sache que j'étais une pratiquante et que j'étais capable et appliquée.

Cependant le Maître dit dans le Zhuan Falun : 

« Faire étalage de quelque chose est en soi un attachement très fort, c'est un penchant très mauvais dont un pratiquant doit se débarrasser. »

J'ai découvert que j'avais un attachement à la renommée et je savais que je ne devrais pas rechercher la renommée. Alors quoi, si mes collègues me disaient que j'étais capable ? J'ai compris que c'était mon travail, que j'avais à le faire et que je devais le faire bien.

Plus tard, l'entreprise s'est agrandie et mon superviseur a décidé de m'embaucher un assistant parce que j'étais trop occupée. Je lui ai dit que ce n'était pas nécessaire parce que le budget était vraiment serré. Il en a résulté que j'avais à faire encore plus d'heures supplémentaires. Je n'y ai pas pensé beaucoup et j'ai pensé que j'avais juste à bien accomplir mon travail. Plus tard, les yeux remplis de larmes, mon superviseur a fait mon éloge publiquement lors d'une rencontre générale.

La police m'a arrêtée en 2007 quand je distribuais de l'information au sujet du Falun Gong et de la persécution. Outre le saccage de ma maison dans le but de trouver des preuves, la police a aussi vérifié les comptes de la compagnie.

Ils voulaient trouver des divergences notables pour pouvoir ainsi m'incriminer en m'accusant de corruption, mais ils n'ont rien trouvé dans mes comptes.

Un de mes collègue qui ne savait pas j'étais une pratiquante a dit : « Le Falun Gong est vraiment une bonne pratique. Elle n'a pas détourné des fonds de l'entreprise ni n'a fait de faute dans les comptes. Le régime communiste en a contre les mauvaises personnes. »

Pendant que j'étais en prison, les autorités n'ont pas permis aux gens autre que ma famille de venir me rendre visite. De nombreuses fois, mes superviseurs et mes collègues de travail ont utilisé leurs relations pour pouvoir ainsi venir me visiter en prison. Chaque fois, ils m'apportaient de l'argent et des objets de première nécessité.

Un gardien de prison a dit : « Je travaille ici depuis des années et je n'ai jamais vu le superviseur d'un prisonnier lui rendre visite aussi fréquemment. » Ils sont aussi allés visiter mon mari et ma belle-mère pour les consoler après mon arrestation.

Traduit de l'anglais au Canada