(Minghui.org) Mon fils est mort dans un accident en 1997. Deux jours avant sa mort, il m’a dit : « Maman, tu n'es pas en bonne santé. Va à cet endroit sous le pont et apprend le qigong. »
Je ne savais pas alors ce qu'était le qigong et je n'ai pas prêté attention à ce qu'il avait dit.
Il me manquait tellement après sa mort que j'ai attrapé plusieurs maladies chroniques. Par la suite, quelqu'un m'a dit que la pratique de qigong dont mon fils m'avait parlé s'appelait Falun Gong (aussi connue sous le nom de Falun Dafa), le grand Fa de Bouddha.
J'ai décidé de me rendre sur le site de pratique des exercices pour les apprendre. Un courant chaud a traversé mon corps durant les deux premiers jours et je pouvais sentir une odeur d'encens provenant d'une autre dimension. C'était comme si un trou dans ma tête était en train de secréter de la vapeur et j'avais l'impression que mon corps flottait.
J'ai compris que ce n'était pas une pratique de qigong ordinaire.
Le Maître a dit :
« Dans les six voies de réincarnation, vos mères tant humaines que non humaines ont été innombrables. Dans toutes vos existences, combien avez-vous eu d’enfants ? Ils sont aussi innombrables. Qui est votre mère, qui sont vos enfants ? Quand on a quitté́ ce monde, on ne se reconnaît plus les uns les autres, mais vous devrez quand même payer pour le karma que vous avez contracté. » (Zhuan Falun)
À travers l'étude du Fa, j'ai compris que je devais me débarrasser de la sentimentalité et considérer les tribulations dans ma vie comme un remboursement du karma.
J'ai organisé un groupe d'étude du Fa à mon domicile. Nous étions juste quatre ou cinq lorsque nous avons commencé, mais par la suite, nous étions plus de trente. Nous pratiquions les exercices le matin et étudions le Fa le soir. Lorsque nous rencontrions des problèmes ou des conflits interpersonnels, nous regardions en nous-mêmes pour en trouver la raison. Nous apprenions les uns des autres et nous nous aidions entre nous.
La douleur liée à la perte de mon fils a disparu peu à peu. Mes maladies, y compris ma maladie cardiaque et mon rhumatisme ont aussi disparu.
Clarifier les faits au travail et autour de moi
Le Parti communiste chinois (PCC) a lancé la persécution du Falun Dafa le 20 juillet 1999, mais j'étais déterminée à continuer la pratique. Je suivais le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance pour être une bonne personne.
Mes proches ont été témoins des changements positifs dans mon attitude et mon comportement, et ils me soutenaient tous dans la pratique. Ils acceptaient aussi volontiers l'information au sujet du Falun Gong.
Mon patron a vu que je faisais bien mon travail, et n'a donc pas essayé pas de me forcer à signer des documents déclarant que j'abandonnais la pratique, comme le lui ordonnaient les autorités.
Je parlais du Falun Gong et de la persécution à chaque personne ayant une affinité prédestinée avec moi . Quelqu'un m'a dit qu'il récitait « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon » lorsqu'il marchait, et que son corps se sentait léger et sans maladie.
Une autre personne a dit : « J'ai eu des difficultés à dormir pendant les dix dernières années. Maintenant, je récite « Falun Dafa est bon » et je peux dormir la nuit entière. Je suis si reconnaissant envers votre maître pour son aide ! »
Sauver un enfant handicapé
Mon mari a trouvé un bébé abandonné en 1999 et l’a ramené à la maison. Il avait seulement quelques semaines et était handicapé. Ma famille ne voulait pas prendre le bébé, mais j'ai dit : « C'est aussi une vie. Je suis une pratiquante et je demanderai l'aide du Maître. Elle grandira bien. »
Je lui passais les enregistrements des enseignements du Maître tous les jours. Elle a appris à marcher lorsqu'elle a eu environ cinq ans et s’est mise à parler à l'âge de huit ans. Lorsque nous l'avons amenée dans un grand hôpital pour lui faire passer un examen, le docteur a dit qu'elle avait de grosses difficultés d'apprentissage et qu'elle nécessiterait des soins toute sa vie.
Je ne l'ai pas abandonnée. Je l'envoyais dans une école normale durant la journée et je lui lisais Zhuan Falun le soir. Un an plus tard, elle a pu lire le Zhuan Falun toute seule.
À présent, elle aide les pratiquants âgés à inscrire sur Internet les noms de ceux qui veulent démissionner du PCC et de ses organisations affiliées. Elle télécharge aussi les journaux hebdomadaires et d'autres documents du site Minghui. Notre Grand Maître bienveillant l'a sauvée. C'est un miracle de Dafa !
Clarifier les faits pour sauver les vies aussi vite que possible
À présent, je sors tous les jours avec ma fille pour clarifier la vérité. Je parle, pendant qu'elle émet la pensée droite et écrit les noms des gens qui veulent démissionner du PCC. D'autres pratiquants l'appellent affectueusement « La petite secrétaire ». Nous nous coordonnons bien et aidons 5 à 20 personnes à démissionner du PCC chaque jour.
J'ai parlé à toutes sortes de gens - paysans, responsables gouvernementaux et même au chef du canton. Je leur ai fait savoir que le Falun Gong était pratiqué dans plus de 100 pays à travers le monde, que les pratiquants suivent le principe authenticité-Bienveillance-Tolérance pour être de bonnes personnes et que nous utilisons notre propre argent pour imprimer l'information au sujet de Dafa afin que les gens la lisent.
Si cette information est expliquée clairement, les gens s’empressent de démissionner du PCC.
Une fois, un directeur d'école m’a questionnée au sujet de mon éducation, parce que je parlais très bien et que j'étais capable de répondre à toutes sortes de questions. Je lui ai répondu : "Je n'ai pas suivi d'éducation formelle, mon Maître m'a enseigné tout ce que je devais savoir. » Il a dit alors qu'il voulait démissionner du PCC.
Abandonner les pensées humaines
Un autre pratiquant et moi avons été dénoncés à la police alors que nous parlions aux gens du Falun Gong en 2012 et nous avons été détenus durant quinze jours.
Je n'avais pas peur dans le poste de police. Je me souvenais seulement ce qu'a dit le Maître :
« Si tu abandonnes la vie et la mort, tu es une divinité ; si tu ne peux pas y renoncer, tu es un être humain… » (« Enseignement du Fa à la conférence de Fa à New York »)
J'ai parlé aux policiers du Falun Gong et de la persécution et leur ai dit d'être bons avec les pratiquants. Un agent était furieux et a demandé comment j'osais dire cela en leur présence. J'ai répondu calmement : « Ce que je dis est la vérité. » Deux jours plus tard, j'ai été relâchée.
Le Maître me laisse voir les Bouddhas dans d'autres dimensions lorsque je cultive bien. J'ai vu un grand Bouddha me regarder, attendant mon proche retour au ciel.
Souvent, je rappelle à ma fille d'être diligente dans la cultivation et de chérir cette opportunité rare. Dafa nous a sauvées toutes les deux. Merci, grand Maître bienveillant, de nous guider sur le chemin de retour à notre vrai foyer.
Traduit de l'anglais en Europe
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