Une femme détenue pour avoir dit à des gens que le Falun Gong avait guéri sa gastroparesie

(Minghui.org) En 1999, M^me Li Wenhong a commencé à avoir des problèmes d'estomac qui, en quelques années seulement, ont provoqué une paralysie de l'estomac, une maladie dans laquelle le muscle de l'estomac est paralysé, empêchant les aliments de passer normalement dans l'intestin grêle.

Elle a essayé la médecine occidentale pendant de nombreuses années, mais rien n'a semblé aider. Elle a tenté une alimentation par gavage pendant plusieurs mois mais s'est arrêtée quand le tube s'est noué dans son estomac. Elle a ensuite essayé la médecine traditionnelle chinoise, sans plus de résultat.

Quand plus aucun médecin ou hôpital n'a voulu la soigner, elle est rentrée chez elle pour attendre la mort et est devenue extrêmement déprimée. Sa meilleure amie venait la voir régulièrement.

Cependant, un jour de 2013, cette amie a noté quelque chose de différent lorsqu'elle a rendu visite à M^me Li : son teint était lumineux et grand sourire éclairait son visage. Qu'était-il arrivé ?

En fait, M^me Li avait commencé à pratiquer le Falun Gong, une discipline spirituelle persécutée par le régime communiste chinois, quelques semaines auparavant et sa gastroparésie venait de disparaître sans laisser de trace !

Une des collègues de M^me Li est ensuite allée voir le même médecin qui avait autrefois soigné M^me Li. Le docteur a demandé des nouvelles de M^me Li et a été surpris d'apprendre qu'elle était encore en vie. Il ne pouvait pas croire que le Falun Gong pouvait avoir un tel pouvoir de guérison.

M^me Li, qui travaillait pour le Bureau d'exploration pétrolière de la ville de Bazhou dans la province du Hebei, a été arrêtée le 26 septembre 2017, pour avoir partagé son expérience avec les gens et leur avoir dit que le Falun Gong n'avait rien à voir avec la propagande d'État.

Elle est toujours dans le centre de détention de la ville de Bazhou.

L'amie de M^me Li partage des détails

Quand elle a appris l'arrestation de M^me Li, son amie a décidé de partager davantage ce qu'elle savait des difficultés de santé de M^me Li et de son rétablissement par la pratique du Falun Gong.

La médecine occidentale n'a pas réussi à aider M^me Li

En 1999, M^me Li a développé une gastrite chronique, rapidement suivie par de l'anémie, des problèmes de sinus, des fibromes, une hyperplasie mammaire et de la constipation. Elle sentait que son corps lui échappait et elle devenait de plus en plus déprimée, ce qui ne faisait qu'aggraver ses problèmes d'estomac.

En quelques années, M^me Li a eu une paralysie de l'estomac et ne pouvait plus garder la nourriture.

Elle a été traitée par le Dr Ke Meiyun, un spécialiste bien connu qui, aujourd'hui, travaille toujours au Peking Union Medical College Hospital, un hôpital général renommé de Pékin, mais son état de santé ne s'est pas amélioré.

Le Dr. Ke a mis en place pour M^me Li une alimentation par gavage gastrique et il l'a renvoyée chez elle. Le tube d'alimentation a commencé à s'oxyder dans son estomac en quelques mois et finalement, il s'est noué. Elle a décidé de le retirer par elle-même. Le nœud s'est coincé dans la narine, néanmoins elle l'a arraché. Le sang et la chair recouvraient le tube. Elle souffrait non seulement d'importantes douleurs physiques, mais elle était également angoissée par sa santé.

La médecine traditionnelle chinoise n'a pas aidé non plus

M^me Li a ensuite essayé les hôpitaux de médecine traditionnelle chinoise de Pékin. Tout en la traitant, le Dr Wei Wei de l'hôpital de médecine chinoise traditionnelle de Xuanwu à Pékin a expliqué à ses internes en médecine que M^me Li allait mourir des suites de son incapacité à manger normalement.

Je me souviens lui avoir rendu visite après son retour de Pékin. Elle avait à peine la trentaine, mais elle avait l'air d'avoir au moins 70 ans. C'était en janvier. Une personne en bonne santé pouvait se sentir bien à l'intérieur en ne portant qu'une seule couche de vêtements. Elle en avait cinq.

Elle mesurait 1,68 m mais ne pèsait que 41 kilos. Elle m'a dit que ses organes internes étaient défaillants et qu'elle était souvent incontinente. Elle ne se souvenait même pas combien de fois elle avait reçu d'avis d'état critique.

Début 2013 elle m'a appelée et m'a dit qu'elle irait bientôt à l'hôpital de médecine chinoise de Kuanjie à Pékin. Elle m'a avertie qu'elle pourrait ne pas en sortir vivante.

Elle n'était là que depuis trois semaines quand les médecins lui ont conseillé de rentrer chez elle. Elle a dit : « Je ne peux toujours pas manger et je vais mourir si je pars aujourd'hui. » L'hôpital l'a quand même congédiée, mais elle s'est à nouveau enregistrée juste après. Les médecins ont alors refusé de la traiter parce qu'ils savaient qu'il n'y avait aucun espoir.

Elle a dû rentrer chez elle. Avec son mari dans le Xinjiang et son fils à Pékin, tous deux travaillant dur pour gagner de l'argent pour ses traitements médicaux, sa belle-mère lui apportait un demi-bol de bouillie de riz tous les jours. Cette bouillie de riz était tout ce qu'elle mangeait de toute la journée. Elle divisait le gruau en cinq petits repas d'une seule cuillerée de bouillie.

Je me souviens aussi d'elle en train d'utiliser un cure-dent pour tremper dans un pot de miel et ensuite consommer la goutte de miel. Elle avait entendu dire que le miel pouvait aider le système digestif.

Pendant plusieurs années, je lui ai rendu visite tous les jours. Sa dépression devenait de plus en plus grave, et je m'inquiétais vraiment de ce qu'elle pourrait faire, d'autant plus que son appartement était au cinquième étage.

Elle ne fermait jamais sa porte à clef, parce qu'elle était toujours couchée. J'ouvrais simplement la porte chaque fois que j'allais lui rendre visite.

Un miracle rendu possible par le Falun Gong

Un jour, elle m'a demandé de ne pas lui rendre visite tous les jours. Elle a promis de m'appeler si elle avait besoin d'aide. J'ai pensé qu'elle devait avoir tellement mal qu'elle attendait la mort. J'ai respecté son souhait et je me suis abstenue de lui rendre visite pendant une semaine.

Elle n'a pas appelée. Une autre semaine est passée et il n'y avait toujours pas d'appel.

Je me suis beaucoup inquiétée et j'ai décidé d'aller voir comment elle allait.

J'ai poussé la porte comme d'habitude, mais elle ne s'est pas ouverte. Bizarrement, cette fois, la porte était fermée à clef. J'ai frappé et entendu quelqu'un venir. Je pensais qu'elle devait avoir des parents auprès d'elle ces dernières semaines. J'ai été surprise de la voir ouvrir la porte.

Elle n'avait pas l'air de quelqu'un qui était à l'article de la mort. Elle était radieuse et rayonnante.

« Quoi ? » me suis-je exclamée. « Tu es totalement rétablie ? Le miel que tu as mangé a aidé ? Je vais essayer moi-même le traitement au miel pour mes problèmes d'estomac. »

Elle a répondu : « Non, le miel ne m'a pas aidée. J'ai récupéré en pratiquant le Falun Gong pendant ces deux semaines ! »

Je n'arrivais pas à croire ce que j'avais entendu. « Le Falun Gong peut sauver les gens de la mort ? C'est plus que miraculeux ! Le Falun Gong a été persécuté pendant tant d'années, et maintenant je comprends pourquoi tant de gens le pratiquent encore ! »

Je lui ai dit que je la soutenais dans sa pratique du Falun Gong et je l'ai encouragée à continuer. En tant qu'amie, je savais pertinemment ce qu'elle avait traversé pendant toutes ces années. J'étais si heureuse qu'elle ait trouvé un remède sans dépenser un centime.

Une de ses collègues a ensuite été traitée à l'hôpital de médecine chinoise de Kuanjie à Pékin par le Dr. Zhai, qui a demandé des nouvelles de M^me Li. Il a été totalement stupéfait quand il a appris qu'elle était en vie et allait bien. Il pensait qu'elle était morte depuis longtemps.

Traduit de l'anglais en France