(Minghui.org) J'ai commencé à pratiquer le Falun Dafa avant que la persécution ne commence en 1999. En regardant en arrière, je réalise que le Maître m'a protégée au cours des 17 dernières années. Je souhaite partager mes expériences de clarification des faits et comment j'ai surmonté ma peur de l'échec lorsqu’il s’agit de parler aux gens de Dafa en personne.
La peur m’empêchait de parler de Dafa aux gens en personne
C'est la mission d'un pratiquant de Dafa que de clarifier les faits et nous devrions tous entreprendre cette tâche. Mais, au début, quand j'essayais de parler aux gens en personne, j'échouais encore et encore lamentablement. Il m’était difficile d’engager la conversation sur Dafa. Bien que je le voulais vraiment, je ne savais ni comment ni par où commencer
Parfois, je rassemblais tout mon courage pour aborder une personne, mais j’hésitais à soulever le sujet. J'ai même essayé de commencer par de petites conversations mais je ne savais pas comment changer de sujet. J'ai manqué beaucoup d'opportunités à cause de cela et j'étais très déçue de moi-
même. Pourquoi d'autres pratiquants pouvaient-ils faire si bien dans ce domaine, mais pas moi ?
Renforcer l’étude du Fa m’aide à vaincre ma peur de l’échec
En renforçant mon étude du Fa et en m'examinant moi-même, j'ai trouvé la cause principale de mon problème: la peur de l'échec. Le Maître a dit :
« La compassion peut faire fondre Ciel et Terre en printemps.
Les pensées droites peuvent sauver les gens de ce monde. »
(« La Loi rectifie l’univers », Hong Yin II)
Le fait de ne pas être capable de clarifier les faits en personne ne résulte-t-il pas d'un mélange de peur et d'attachement à la renommée ? C'est loin d'être compatissant et d’avoir une ferme pensée droite. Quand j’ai compris tout cela, mon xinxing s'est amélioré et je n'ai plus été hésitante ni effrayée à parler aux gens au sujet de Dafa.
Quand je rencontre des gens et que j’entame une conversation, je vais droit au but après de brèves salutations. Mon cœur est plein de compassion et mes pensées sont droites. Tout ce que je veux, c'est que cette personne soit sauvée donc, la plupart du temps, ils acceptent volontiers de quitter le Parti.
Parler de Dafa n’est plus difficile
Une fois, j'ai demandé à un homme d'âge moyen : « Avez-vous entendu parler de quitter le Parti et ses organisations affiliées pour être en sécurité ? » Il a secoué la tête. Je lui ai dit ce que « renoncer au Parti » signifiait et pourquoi c’était important. Je lui ai parlé de la pierre géante à Guizhou avec les caractères gravés : « Le Parti communiste de Chine périra. » Nous avons discuté à quel point le Parti était mauvais et que le mal entraînerait inévitablement une rétribution.
Il a écouté attentivement et a compris de quoi je parlais. Il a souri et a dit : « Finalement je comprends à présent, après que vous ayez expliqué tout cela. Je suis membre du Parti communiste et j'ai rejoint la Ligue de la jeunesse. Aidez-moi à renoncer aux deux. »
Je lui ai dit de réciter intérieurement : « Falun Dafa est bon. Vérité-Compassion-Tolérance est bon » aussi souvent que possible et lui ai donné une amulette et des brochures d’information à propos de Dafa. Il était très heureux et m'a remercié plusieurs fois. Il a offert de me payer et m’a invitée à déjeuner. Je lui ai dit : « Non, merci. Notre Maître nous a dit de sauver des gens. Ne me remerciez pas, remerciez notre Maître. » Il a répété : « Merci à Maître Li. Merci à Maître Li. »
Éveiller le côté conscient des gens
Le Maître a dit :
« Clarifier la vérité, chasser les diables pourris
Propager largement les Neuf commentaires, on quitte le parti pervers
Avec la pensée droite sauver les gens de ce monde
Percer à jour les mensonges
Ouvrir les verrous dans les cœurs
Ne pas croire que les consciences ne répondront pas à l'appel »
(« Aider le Monde », Hong Yin III)
Comme le Maître nous l’a demandé dans le Fa, je fais de mon mieux pour clarifier les faits à fond et les gens peuvent généralement l'accepter. Bien sûr, il est possible de tomber sur toutes sortes de personnes.
Une fois j'ai vu un homme qui travaillait dans un champ, je me suis approchée et j'ai dit : « Bonjour ! Vous travaillez dur ? « Il a levé les yeux et a dit : « Ouais. Vous êtes… ? » « Oh, je suis du village voisin. Travailler dans les champs est difficile. Nous, les paysans devons vraiment prendre soin de notre santé et être en sécurité. » Il a hoché la tête : « Vrai, vrai. »
J'ai dit : « Permettez-moi de vous dire une bonne façon d'être en sécurité : quittez le Parti communiste et ses organisations affiliées. Avez-vous entendu parler de cela ? Cela signifie renoncer au Parti communiste chinois, à la Ligue de la jeunesse et aux jeunes pionniers. »
Ce que j'ai dit l’a vraiment troublé. Il a sauté en l’air, tenant sa pelle dans ses deux mains et a crié : « Vous êtes contre le Parti ! Êtes-vous de Taïwan ? Je ne veux pas vous écouter. Partez d'ici. Allez-y, partez. »
Je n'avais pas peur de lui pas plus que je n’étais touchée par son attitude hostile. Je suis restée calme t j'ai commencé à émettre la pensée droite. J'ai souri et j'ai dit : « Pourquoi êtes-vous tellement bouleversé ? Je vous le dis pour votre propre bien. Je vous traite avec compassion, mais vous le rejetez avec hostilité. Est-ce vraiment approprié ? Qu’y a-t-il de mal à vous dire comment vous pourriez être en sécurité ? »
Il s'est arrêté un moment, puis il a souri. Il a posé sa pelle et semblait un peu embarrassé : « Désolé, désolé. Continuez s’il vous plaît. » Il a écouté calmement et attentivement. Je lui ai rappelé les nombreux mouvements initiés par le Parti communiste chinois depuis sa prise du pouvoir en 1949 et comment ils ont abouti à la mort de 80 millions de Chinois. Je lui ai parlé du coup monté de l'auto-immolation de Tiananmen, des prélèvements d'organes sur des pratiquants de leur vivant et de la corruption des fonctionnaires du Parti.
L'homme était de nouveau bouleversé, mais cette fois, il a dit : « Le parti communiste est mauvais. J'arrête. J'arrête. Je suis membre du Parti et j'ai également rejoint la Ligue de la jeunesse et les jeunes pionniers. Je veux renoncer à tous. »
Je pouvais dire que son côté conscient était véritablement ému et j'étais vraiment contente qu'il ait fait le bon choix. Je me suis rendue compte que peu importe à qui on parle, les gens ont tous leur côté conscient et que, tant que nous avons la bonne attitude et que nous voulons vraiment sauver les gens avec compassion, nous sommes en mesure de réveiller leurs consciences et les sauver.
Sauver les gens avec diligence
Le Maître a dit :
« Pour cela, tous les disciples de Dafa, élèves anciens et nouveaux, vous devez tous agir, commencer à clarifier la vérité sur tous les fronts, surtout les disciples de Dafa en Chine continentale, chacun doit sortir pour en parler, comme des fleurs s’épanouissant partout, pour que pas un endroit où il y a des gens ne soit oublié. »
(« Abandonner le cœur de l’homme et sauver les gens de ce monde », Points essentiels pour un avancement diligent III)
Je clarifie la vérité à chaque occasion - quand je rencontre des gens dans la rue, quand je rends visite à des amis et de la famille, quand je vais au marché et dans ma propre communauté. Je le fais tous les jours, qu'il fasse un froid de canard ou par une chaleur étouffante, qu’il vente ou pleuve, qu’il y ait de la glace ou qu’il neige. Rien ne peut m'empêcher de clarifier les faits.
Une fois, j’avais la jambe gauche enflée et elle était engourdie. Ma famille était très inquiète et m'a demandé de me reposer et de ne pas sortir ce jour-là. Je savais que c'était l'interférence des forces anciennes qui tentaient de m'empêcher de sauver des gens. J'ai refusé de suivre leur plan. J'ai dit à ma famille : « Je vais bien. Ne vous inquiétez pas. » J'ai pris des dépliants avec des informations de Dafa et je suis sortie comme d'habitude.
Je garde ma petite-fille ces derniers temps et je la prends avec moi quand je sors pour clarifier les faits. Je ne peux pas m'arrêter de clarifier les faits parce que je fais du gardiennage. Je vais chez ma fille le matin et garde sa fille pendant qu'elle est au travail, et je rentre chez moi le soir. Sur mon chemin de retour, je parle toujours aux gens de Dafa.
Parce que je fais cela, je ne passe jamais la nuit chez ma fille. Parfois, elle me dit : « Il fait noir, Maman. Pourquoi ne restes-tu pas ici ce soir ? Je ne veux pas qu’il t’arrive quelque chose. » Je lui dis : « Ne t’inquiètes pas. Je connais le chemin de la maison comme ma poche. Ça ira. Le Maître me protégera. Pourquoi es-tu effrayée ? Je n'ai peur de rien. »
En fait, je rencontre souvent des personnes prédestinées à entendre parler de Dafa. Ce sont toutes des occasions de sauver des personnes. Comment puis- je les laisser passer? Qui sait, je pourrais bien sauver quelques personnes en rentrant chez moi.
C'est ainsi que je clarifie les fait jour après jour, année après année, et aide les gens à quitter le Parti chaque jour. Lorsque davantage de gens quittent le Parti, je ne développe pas l’attachement au zèle. Lorsque moins de personnes quittent le Parti, je ne me décourage pas. J'étudie le Fa, m’examine intérieurement, cherche mes failles et apprends de mes erreurs. Avec persistance et persévérance, je m'améliore continuellement et j’essaie toujours de faire mieux. J'ai parcouru un long chemin afin d’aider le Maître à rectifier le Fa.
La rectification du Fa approche de la fin. Je serai plus stricte envers moi-même, je serai plus diligente dans ma cultivation, et je m’améliorerai dans le temps limité qu’il nous reste. Merci au Maître. Merci à mes compagnons de pratique. Heshi.
Traduit de l'anglais en Europe
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