(Minghui.org) À l'âge d'un an, j'ai eu des problèmes physiques majeurs au niveau de la colonne vertébrale et des jambes. Je ne pouvais pas marcher et je devais être portée partout.

Le pouvoir extraordinaire de Dafa

Bien des années plus tard, l'été 2005, une collègue de ma mère, une pratiquante de Falun Dafa, m'a dit de réciter sincèrement : « Falun Dafa est bon. Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. »

J'ai récité les versets tous les jours pendant quelques jours et mon corps a commencé à se rétablir. Le gonflement chronique de mes jambes a diminué. Témoin de mon rétablissement, ma mère a commencé à pratiquer Dafa. Il m'arrivait de faire les exercices de Dafa et d'étudier le Fa avec elle.

Ensuite, ma colonne vertébrale s'est redressée, j'ai pu marcher normalement et je n'ai plus eu à prendre les médicaments sur lesquels j'avais compté pendant plus de dix ans.

Dafa a ouvert la sagesse

Au lycée, mes notes se sont beaucoup améliorées. Je crois que le Maître a vu ma détermination et m'a aidée. J'étais très calme lorsque j'ai passé l'examen d'admission du programme d'études supérieures. Je l'ai réussi et j'ai été acceptée par le programme.

Même si j'étais très occupée par mes devoirs, je prenais toujours le temps de lire les livres de Dafa, même si ce n'était que quelques paragraphes. J'ai progressivement compris le sens de la vie, qui est de revenir à son vrai soi originel en cultivant le xinxing et en vivant selon le principe de Dafa Authenticité-Bienveillance-Tolérance.

Mon niveau scolaire a continué de s'améliorer énormément. J'ai finalement été admise dans une université de la capitale provinciale en raison de mes excellents résultats.

Éliminer l'illusion de maladie

J'ai rencontré un grave karma de maladie durant ma deuxième année de lycée. J'ai ressenti de la douleur et des courbatures aux hanches. La nuit, je ne pouvais dormir que sur un coussin. C'était même douloureux de marcher et je boitais en marchant.

Je savais que le Maître m'aidait à éliminer le karma, donc je ne faisais pas attention à la douleur. Quand j'avais le temps, j'étudiais le Fa, je faisais les exercices et j'émettais une forte pensée droite avec ma mère. Ma grand-mère a aussi régulièrement émis la pensée droite pour moi.

À l'époque, je ne voulais pas que les gens voient à quel point je boitais et j'ai demandé à ma mère de me déposer et de venir me chercher à l'école tous les jours. J'avais peur de perdre la face. Une fois, j'ai entendu deux garçons dire du mal de moi. Je n'ai pas été dérangée, car c'était un test pour éliminer mon attachement à sauver la face. Quand ils sont passés devant moi, ils ont délibérément imité ma façon de marcher. Je suis restée calme et ne me suis pas fâchée.

Le Maître a dit :

« Par exemple, quelqu’un arrive au travail et entend deux personnes dire du mal de lui, ce qu’elles disent est choquant et ça l’irrite. Cependant, nous l’avons dit, un pratiquant doit parvenir à ne pas rendre les coups quand on le frappe, à ne pas rétorquer quand on l’insulte, il doit exiger beaucoup de lui-même selon un critère élevé. » (Zhuan Falun)

Mon père a essayé de me forcer à aller à l'hôpital, mais j'ai refusé. Je croyais fermement que j'éliminais du karma et que ce n'était pas une maladie. Un matin, j'ai à nouveau pu marcher normalement. Quand mon père a vu mon rétablissement, il a été stupéfait.

Une situation de vie et de mort

Après être entrée à l'université, j'ai commencé à me relâcher dans ma cultivation. Je suis devenue accro à beaucoup de choses des gens ordinaires, et j'ai recherché la réputation et le gain personnel. Je n'ai plus étudié le Fa ni fait les exercices de Dafa autant qu'avant.

Un soir, en dernière année, j'ai commencé à cracher du sang. Mon état s'est aggravé. J'étais faible et sans appétit. Pendant mes vacances, mon père m'a forcée à passer un bilan de santé. Le médecin a dit que mes poumons étaient pleins de trous vides et qu'il aurait été trop tard si j'avais attendu un peu plus longtemps.

Après ma sortie de l'hôpital, toutes mes articulations sont devenues enflées et douloureuses, même au moindre contact. Mes doigts étaient déformés. Je ne pouvais pas marcher non plus, parce que mes bras et mes jambes étaient trop faibles, pas plus que je ne pouvais me tourner dans le lit.

J'étais remplie d'angoisse. Je regrettais de ne pas avoir maintenu mon xinxing ou de ne pas avoir cru fermement dans le Maître et le Fa.

Le Maître a dit :

« L’incertitude dans votre esprit signifie justement que vous n'atteignez pas encore le critère, prolonger le temps ne va pas non plus produire un changement. Si c'est pour sauver la face que vous résistez, c’est encore un attachement sur un attachement. Dans ce cas il n’y a que deux choix : soit vous allez à l’hôpital et donc vous renoncez à passer l'épreuve, soit vous abandonnez tout dans votre cœur, vous vous comportez comme un disciple de Dafa droit et noble qui n’a aucun ressentiment ou attachement, et vous laissez le Maître arranger si vous restez ou partez. » (« Enseignement de Fa à la Conférence de Fa à la ville de Los Angeles »)

Beaucoup de pratiquants locaux sont venus chez moi pour émettre la pensée droite pour moi. J'ai compris que le Maître avait déjà purifié mon corps et que la maladie n'était qu'une illusion. J'ai cessé de prendre les médicaments et j'ai éliminé mes attaches aux choses des gens ordinaires. J'étudiais le Fa et j'envoyais une forte pensée droite plusieurs fois par jour.

Prolonger les tribulations

Pourtant, ma mère et moi nous disputions souvent. J'ai regardé à l'intérieur et j'ai découvert que j'avais beaucoup d'attachements. En creusant davantage, j'ai compris que tous ces attachements étaient dérivés de l'égoïsme. J'étais égoïste et trop préoccupée par mes sentiments, au lieu d'essayer de comprendre les choses du point de vue des autres. J'avais peur d'être blessée, je voulais me protéger et je n'étais pas prête à endurer les épreuves. Cela m'a rendue pessimiste et a prolongé les tribulations.

Le Maître a dit :

« Je veux encore vous dire, en fait votre nature du passé était fondée sur la base de l’ego et de l’égoïsme. Désormais, quoi que vous fassiez vous devez penser d’abord aux autres, arriver en vous cultivant à l’éveil complet sans égoïsme ni ego » (« La nature de Bouddha sans écoulement », Points essentiels pour avancer avec diligence)

Pourquoi n'ai-je pas pensé aux sentiments de ma mère ? Elle subissait plus de pression de la part des membres de notre famille et de nos proches. Tout ce qu'elle faisait était pour moi. Comment pouvais-je me plaindre ?

Ma mère et moi sommes ensuite allées chez la pratiquante Bao. Bao et moi étudiions le Fa tous les jours. Quand j'étais endormie, la nuit, elle me lisait les conférences du Maître. La pratiquante Ai venait aussi chez Bao tous les jours pour émettre la pensée droite avec moi.

Chaque fois que j'avais de la fièvre, je transpirais et la fièvre disparaissait après avoir regardé les vidéos des conférences du Maître. Tous les jours, je crachais beaucoup de choses. Je savais que le Maître m'aidait à purifier mon corps.

J'ai cessé de tousser et la lourdeur dans ma poitrine a disparu après vingt jours. Mes poumons étaient guéris, mais mon corps n'était pas encore complètement rétabli.

J'ai senti l'urgence de clarifier les faits et de bien faire les trois choses.

Après plusieurs mois de cultivation et d'introspection, je me suis éveillée au fait que si je voulais me transformer, je devais faire une percée et faire les exercices de Dafa. J'ai persévéré malgré la douleur et la transpiration.

J'ai récité le Fa du Maître :

« c’est difficile à endurer, endurez-le quand même ; lorsque cela vous paraît impossible à faire, ou si on dit que c’est difficile à faire, essayez donc pour voir si c’est vraiment impossible. Si vous pouvez vraiment y arriver, vous découvrirez qu’après avoir passé sous l’ombrage des saules, il y a l’éclat des fleurs et un autre village à l’horizon ! » (Zhuan Falun)

J'ai continué à faire les exercices et maintenant je peux faire beaucoup de choses de façon autonome. Merci Maître de m'avoir donné une autre chance de vivre.

Traduit de l'anglais au Canada