(Minghui.org) Avant de pratiquer le Falun Dafa, aussi connu sous le nom de Falun Gong, j'étais tout le temps malade. Quand j'ai atteint la cinquantaine, je souffrais d'une hépatite B, de fibromes utérins et de maladies cardiaques. Bien que j'aie été hospitalisée plusieurs fois, les maladies ont continué à me tourmenter. Quand un médecin m'a dit que j'avais un cancer de la glande thyroïde, j'ai pensé que c'était la fin pour moi.
Ma mère est décédée en raison d'un cancer du poumon à 33 ans, ma sœur d'un cancer du sein à 40 ans et j'avais un cancer de la glande thyroïde alors que j'étais dans la cinquantaine. J'étais certaine que j'allais mourir bientôt.
J'étais complètement désespérée quand ma tante m'a donné un exemplaire du Zhuan Falun, l'enseignement principal du Falun Dafa. Je l'ai regardé d'un air dubitatif. Mais une fois que j'ai commencé à le lire, je ne pouvais pas le déposer et je l'ai terminé sans m'arrêter pour manger, ni pour boire, ni pour dormir. Quand je l'ai terminé, j'ai été étonnée de me sentir rafraîchie. Mon corps se sentait léger et c'était comme si je m'étais soudainement réveillée d'un long rêve. J'ai su que le Falun Dafa était ce que j'avais cherché et un sentiment d'une profonde reconnaissance a jailli du fond de mon cœur.
Le lendemain, j'ai vomi et j'ai eu la diarrhée, cependant mon corps se sentait léger avec une sensation de picotement. Depuis lors, je n'ai jamais pris aucune médication. Quand j'ai commencé à pratiquer le Falun Dafa, toutes mes maladies ont disparu, sans laisser de traces. Ma famille, mes amis et mes collègues qui ont été témoins de ceci ont dit : « Ouah ! Le Falun Dafa est vraiment miraculeux ! »
Un jour, j'avais mal au dos et au ventre. Je suis rentrée chez moi et je me suis étendue sur mon lit avec un coussin chauffant. J'avais l'impression d'être en train d'accoucher, avec des douleurs qui venaient par vague successives toutes les cinq à dix minutes. Cette nuit-là, j'ai senti comme si quelque chose « s'était détaché » de mon utérus. Je suis allée aux toilettes et j'ai éliminé une masse de chair. Puis la même chose s'est reproduite à nouveau. J'ai apporté les masses à l'hôpital et il a été déterminé qu'elles étaient des fibromes utérins. Ma reconnaissance envers Maître Li Hongzhi (le fondateur du Falun Dafa) est au-delà des mots.
Une fois encore, ma famille, mes amis et mes collègues ont dit : « Dafa est vraiment étonnant ! » Certains d'entre eux ont adopté la pratique après avoir été témoins de ce qui s'était passé.
Abandonner la vie et la mort
Je suis allée vérifier le domicile d'une pratiquante en mars 2003. Elle avait été récemment arrêtée pour sa pratique du Falun Dafa. Je ne savais pas que la police surveillait son domicile et j'ai été arrêtée.
J'ai été emmenée au poste de police où les agents de police m'ont poussée par terre, ils ont étendu mes bras et les ont menottés à des tuyaux de chauffage. Ils ont écarté mes jambes à leur limite et les ont attachées. La douleur dépassait tout ce que j'avais expérimenté jusque là. J'avais la sensation d'avoir été déchirée en deux. Ils ont alors versé de l'eau dans mon nez pour tenter de me forcer à révéler de l'information au sujet d'autres pratiquants dans ma région. J'ai refusé de dire un mot.
J'ai été envoyée au centre de détention et j'ai immédiatement commencé une grève de la faim. En guise de représailles, les gardes ont enfoncé un gros tube à travers une de mes narines et ma gorge pour me gaver. Avec la protection du Maître, j'ai survécu. Je refusais de suivre les ordres des gardes et continuais de faire ce qu'un disciple de Dafa devrait faire. Je récitais le Fa et faisais les exercices même si les gardes me battaient pour essayer de m'arrêter de les faire. Je refusais de me plier à leurs demandes et je n'étais pas ébranlée. Je continuais de faire les exercices et je criais : « Falun Dafa est bon » chaque fois qu'ils me dérangeaient.
Un jour, un garde nommé Han a essayé de me menotter. J'ai refusé de coopérer et j'ai crié : « Falun Dafa est bon ! » Un autre garde a bourré ma bouche avec un chiffon et je ne pouvais plus respirer. J'ai appelé le Maître dans mon esprit. Avec une forte force, j'ai repoussé le chiffon hors de ma bouche avec ma langue. J'ai compris que le Maître m'avait aidée.
Mes bras étaient enchaînés à mes chevilles, ainsi je ne pouvais pas me tenir debout ni marcher, ce qui m'empêchait tout à fait de faire mes exercices debout, mais je pouvais méditer et émettre la pensée droite. Je ne me souciais pas du fait qu'on me surveille ou pas, je méditais quand je voulais le faire.
Le Maître a dit :
« Lorsque vous-mêmes agissez droitement, le Maitre peut tout faire pour vous. Si vos pensées droites sont vraiment très puissantes, si vous pouvez abandonner la vie et la mort, être inébranlable comme le diamant, alors les perversités n'auront pas le cran de vous toucher, parce qu'elles savent que cette personne à part la tuer, toutes les persécutions contre elle seront inutiles, les perversités n'ont qu'à la laisser tomber. » (« Enseignement de la Loi lors de la tournée en Amérique du Nord »)
J'ai pu faire les exercices au centre de détention parce que j'étais une pratiquante de Falun Dafa et que le Maître prenait soin de moi. J'ai fait les choses en me basant sur le Fa et j'ai abandonné la pensée de la vie et de la mort. La puissance de Dafa a réprimé la perversité et elle ne pouvait pas me contrôler.
Survivre aux travaux forcés
J'ai été arrêtée à nouveau en juillet 2008 et envoyée dans un camp de travaux forcés pendant un an. Au camp de travail, je criais : « Falun Dafa est bon ! Authenticité-Bienveillance-Tolérance est grand ! » peu importe où j'étais.
Il y avait une chef de division au camp de travaux forcés que personne n'osait défier. Un jour, quand elle m'a vue fermer les yeux pour émettre la pensée droite, elle a crié mon nom et a demandé pourquoi je n'étais pas au travail. Je lui ai dit que je ne me sentais pas bien. Elle m'a crié : « Ne savez-vous pas où vous êtes ? »
Je lui ai répliqué : « Je ne me soucie pas de l'endroit où je suis. Je sais seulement que le Falun Dafa est grand et que je n'ai commis aucun crime, et je ne travaillerai pas. Libérez-moi immédiatement ! »
Je l'ai regardée droit dans les yeux et sa hargne s'est évanouie. Elle a dit : « Non ! Personne n'a jamais osé me parler comme cela. » J'ai dit : « Cela s'appelle “Un seul juste terrasse cent mauvais.” » Elle s'est levée et a dit : « Suivez-moi. »
Je l'ai suivie dans son bureau. Elle a crié contre moi pendant un bon moment, puis elle m'a demandé quel âge j'avais. Je lui ai dit que j'avais 60 ans. Elle a dit : « J'espère être en vie à votre âge. » Je lui ai dit que les pratiquants veulent seulement s'élever eux-mêmes et vivre selon Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Je lui ai demandé de ne pas persécuter les pratiquants désormais et je lui ai dit que c'était mauvais pour elle et sa famille. Je lui ai dit que, pour se sauver elle-même, elle devait démissionner du PCC. Je lui ai demandé : « Êtes-vous d'accord de démissionner du PCC ? » Elle a hoché la tête en signe d'assentiment. Je lui ai dit qu'elle pouvait être assurée que je garderais cela secret et que je ne le dirais à personne.
Les autres pratiquants étaient curieux de savoir ce qui était arrivé. J'ai juste souri et je leur ai dit qu'expliquer les faits sur le Falun Gong était la clé de la toute-puissance. Dès lors, elle n'a plus battu ni créé d'ennuis aux pratiquants. Tout le monde a dit qu'elle était devenue une nouvelle personne.
Le lendemain matin, elle m'a demandé d'arroser ses plantes et d'essuyer la table dans son bureau tous les jours. Ceci m'a donné la chance de parler des faits au chef de la prison, aux chefs des autres divisions et au personnel du bureau. J'ai aidé plusieurs d'entre eux à démissionner du PCC. J'ai souvent dit dans mon cœur : « Merci Maître de me donner les occasions d'expliquer les faits sur le Falun Gong à ces gens. »
Traduit de l'anglais au Canada
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