(Minghui.org) Après avoir reçu un exemplaire du Zhuan Falun, le livre principal du Falun Dafa, je l'ai lu et j'ai trouvé le vrai sens de la vie. Toutes les questions que j'avais depuis l'enfance ont reçu des réponses - des questions telles que : les bouddhas et les divinités existent-ils, qu'en est-il de la réincarnation, pourquoi les hommes vivent-ils et ainsi de suite. C'est pourquoi j'ai décidé de pratiquer le Falun Dafa. C'était au cours du printemps 1998.
Après avoir lu le Zhuan Falun pour la première fois, ma vision des choses a fondamentalement changé. Je voulais devenir quelqu'un de bien. Cependant, le concept de cultivation n'était pas clair pour moi.
Chaque fois que je voulais danser, jouer au mahjong, aux cartes, aux échecs, au ping-pong et à d'autres types de jeux, j'essayais de m'en empêcher, parce que j'étais pratiquant maintenant. C'étaient mes attachements, selon moi. Je devais les éliminer.
Maître Li a dit :
« La cultivation dépend de soi, le gong dépend du maître. » (Première Leçon, Zhuan Falun)
Petit à petit, j'ai remarqué que mes désirs de vouloir jouer à des jeux diminuaient et que mon mauvais caractère ne s'enflammait plus. Je me sentais bien physiquement et mentalement. Je restais plus souvent à la maison, je lisais le Fa et je participais aux différentes activités pour aider les gens à comprendre le Falun Dafa.
J'avais fondamentalement changé, ce qui faisait plaisir à ma femme. Elle disait à ses amis : « Mon mari prenait notre maison pour un hôtel. Depuis qu'il a commencé à étudier Dafa, il est devenu un mari modèle et reste à la maison. »
Peu de temps après avoir commencé à cultiver, Maître Li (le fondateur) m'a aidé à éliminer du karma. J'ai retrouvé une bonne santé et je suis devenu quelqu'un de bien. Je ne jure plus, je ne dis plus des choses que je ne devrais pas dire ni fais de choses que je ne devrais pas faire.
Être une bonne personne malgré la pression
Le Maître a dit :
« Quand quelqu’un est capable de se conformer à la nature de l’univers Zhen-Shan-Ren, alors seulement il est une bonne personne ; quand quelqu’un agit à l’encontre de cette nature, c’est véritablement une mauvaise personne. À votre travail, dans la société, des gens diront peut-être que vous êtes mauvais, mais il n’est pas sûr que vous le soyez vraiment ; d’autres diront que vous êtes bon mais vous ne l’êtes pas forcément. En tant que pratiquant, si vous vous assimilez à cette nature, alors vous êtes une personne qui est parvenue à la Voie, le principe est aussi simple que cela. » (Première leçon, Zhuan Falun)
Poussé par la jalousie, Jiang Zemin, l'ancien dirigeant communiste, a mobilisé toute la nation pour persécuter le Falun Dafa à partir du 20 juillet 1999. Ceux qui pratiquaient vraiment la cultivation ne savaient pas comment arrêter la persécution contre leur croyance.
En entendant les mensonges sur les médias communistes, je me suis demandé : « Le Falun Dafa est-il bon ? Oui, c'est bon. Le Falun Dafa est-il juste ? Oui, c'est la pratique de cultivation la plus juste. Est-ce que je veux continuer à cultiver et à pratiquer ? Oui je le veux. » Rien ne pouvait m'empêcher de cultiver dans Dafa.
Pour échapper aux interférences et à la pression de la perversité, je suis allé dans la ville de Zhuhai et j'ai travaillé pour un fabricant de jouets en tant que personnel d'une équipe de nettoyage en septembre 1999. Bien que le quart de travail de 12 heures était difficile, j'ai cultivé avec diligence.
Après un certain temps, tout le monde dans l'entreprise savait que je pratiquais le Falun Dafa. J'ai fait de mon mieux pour suivre le principe de Dafa Authenticité-Bienveillance-Tolérance. J'ai été gentil, travailleur et serviable. Par conséquent, personne n'a signalé que je pratiquais le Falun Dafa. J'étais connu comme quelqu'un de très bon.
Un jour, j'ai vu une liasse de billets à l'une des portes arrière de l'entreprise. Mon cœur n'a pas bougé. Je savais que j'étais un pratiquant et que je ne devais pas y toucher. Mais j'ai changé d'avis. Je me suis dit : « L'argent doit appartenir à quelqu'un qui a travaillé très dur pendant plusieurs mois. Si quelqu'un d'autre le ramassait et le gardait pour lui, ne serait-ce pas trop douloureux pour celui qui l'a perdu ? » Je l'ai ramassé et je l'ai donné au gérant.
Dans l'après-midi, le gérant m'a demandé de rencontrer la propriétaire de l'argent, une jeune fille de 19 ans. Elle voulait s'agenouiller pour exprimer sa reconnaissance. Je lui ai dit de ne pas faire ça. Le gérant a dit : « Tu as rencontré la meilleure personne au monde ! » Tout le monde dans la compagnie en a entendu parler et m'a félicité.
Penser d'abord aux besoins des autres
Je suis allé dans ma ville natale en novembre 1999. J'ai été arrêté et détenu illégalement pendant quinze jours. Après ma libération, j'ai découvert que beaucoup de travaux de construction étaient en cours dans ma ville natale. Le réseau routier était mauvais et à cause des fortes pluies, la route était devenue boueuse. Personne ne s'était occupé de ce problème.
L'agence locale de sécurité publique, afin de mieux me surveiller, m'a dit de faire fonctionner ma petite entreprise près de la sortie de la ville. Étant donné l'état de la route, il m'était presque impossible de tirer ma charrette jusqu'à l'endroit désigné.
En tant que pratiquant, j'ai décidé de résoudre le problème de circulation. J'ai utilisé ma charrette pour transporter de la terre, du sable et du gravier pour paver la route. Il n'a pas fallu longtemps pour réparer la route. Les gens étaient ravis et disaient : « Grâce à un pratiquant de Falun Dafa, nous avons maintenant une route propre pour entrer et sortir. »
En y réfléchissant vraiment, penser aux besoins des autres et y donner suite est un véritable acte de compassion. Malgré l'énorme pression et la tromperie par le régime communiste, un pratiquant fait toujours de son mieux sans aucune plainte ni haine, apportant du bien aux gens. N'est-ce pas une bonne chose ?
Le Maître a dit :
« Dans n’importe quelle couche sociale on peut être quelqu’un de bien, dans des milieux différents existent des conflits différents. Les classes supérieures ont les conflits des classes supérieures, il est possible de les régler correctement ; partout, quel que soit le niveau social, il est possible d’être quelqu’un de bien et de prendre avec légèreté toutes sortes de désirs et d’attachements. Dans toutes les couches sociales, on peut se comporter en bonne personne, chacun peut cultiver et pratiquer dans son propre milieu. » (Quatrième Leçon, Zhuan Falun)
Élever le xinxing
J'étais agent de sécurité dans une entreprise de sécurité en 2016. Quelques jours avant le Festival des bateaux-dragons, le chef d'équipe m'a dit d'aller chercher un cadeau pour l'occasion à la salle de service de la sécurité. Quand je l'ai ouvert, il y avait deux briques rouges dedans.
Le Maître a dit :
« Généralement, si vous avez toujours le cœur plein de bonté et de compassion, lorsqu’une difficulté surgit brusquement, vous aurez de la marge pour l’amortir et y réfléchir. » (Quatrième Leçon, Zhuan Falun)
Mon cœur a été un peu touché, mais immédiatement j'ai pensé que c'était une bonne occasion pour moi d'améliorer mon caractère. J'ai regardé à l'intérieur et j'ai remarqué que j'étais attaché à l'intérêt personnel, à l'esprit de compétition et à me mettre en valeur.
Le Maître a dit :
« S’il ne vous avait pas créé une telle situation, où auriez-vous pu élever votre xinxing ? Vous êtes gentil, moi aussi, tout le monde est assis là en bons termes et votre gong pourrait augmenter ? Où trouve-t-on une chose pareille ? C’est justement parce qu’il a provoqué pour vous un tel conflit, parce qu’il a créé pour vous une occasion d’élever votre xinxing, que vous avez pu le faire ; ainsi vous avez pu élever votre xinxing, n’est-ce pas ? Voilà un troisième gain. Vous êtes un pratiquant de gong, votre xinxing s’est élevé, votre gong ne va-t-il pas s’élever en conséquence ? Vous avez fait d’une pierre quatre coups. Comment pourriez-vous ne pas le remercier ? Vous devez le remercier sincèrement du fond du cœur, c’est vraiment ainsi. » (Quatrième Leçon, Zhuan Falun)
J'ai compris que le Maître m'aidait à me débarrasser de mes attachements, à élever mon xinxing et à augmenter mon gong.
Clarifier efficacement la vérité
Deux procureurs m'ont dit en décembre 2012 : « Vous êtes détenu depuis trente-sept jours. Y a-t-il quelque chose que vous voulez dire ? »
« Vous faites simplement ce que vous avez à faire », ai-je répondu. « Je ne vous blâmerai pas. Je suis une personne qui cultive la bouddhéité. Puisque vous et moi avons une affinité prédestinée, puis-je prendre vingt minutes pour vous expliquer quelques faits ? Vous pourrez alors décider ce que vous voulez faire. »
J'ai été très rationnel dans mon exposé. J'ai dit qu'on m'avait fait du tort. Je leur ai aussi parlé du coup monté de l'incident des auto-immolations et de ce qu'enseigne le Falun Dafa et comment la discipline enseigne aux gens à suivre le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Ensuite, j'ai expliqué qu'ils ne devraient pas être impliqués dans la persécution et j'ai expliqué le principe de la rétribution pour avoir fait de mauvaises choses.
Ils ont écouté attentivement et ont dit : « Oh ! Le Falun Dafa est si bon ! Soyez assuré que nous ne persécuterons pas Dafa. » Puis ils sont partis. Vers cinq heures de l'après-midi, le directeur du poste de police et quelqu'un du Bureau 610 sont venus me dire de monter dans leur voiture. J'ai fermé les yeux et émis la pensée droite. Puis la voiture s'est arrêtée et ils ont dit : « Pas besoin d'émettre la pensée droite, car nous vous ramenons déjà chez vous. »
Le Maître a dit :
« Si les disciples sont emplis de pensées droites
Le Maître a le pouvoir de changer la décision du Ciel »
(« La grâce entre Maître et disciples », Hong Yin II)
Traduit de l'anglais au Canada
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