(Minghui.org) Bonjour vénérable Maître et compagnons de cultivation :
J'aimerais partager mes expériences de cultivation pendant mon voyage récent à Hong Kong afin de couvrir les manifestations contre l'amendement de la loi d'extradition.
Avant de partir pour Hong Kong, j'ai fait un rêve. J'étais dans un endroit qui semblait être un centre de tests. Beaucoup de gens faisaient la queue. Certains étaient absorbés par la lecture d'un livre épais. Je me suis approchée et j'ai vaguement vu : « Authenticité-Bienveillance-Tolérance » et « Falun Dafa » écrit dans le livre parmi d'autres phrases. Ensuite, quelqu'un a crié des chiffres et les gens ont été divisés en deux groupes d'environ une demi-douzaine de personnes par groupe. Ils sont entrés dans la chambre qui leur avait été assignée pour l'interview. Il y avait un homme dans la pièce et je me suis dit qu'il était l'intervieweur. Nous nous sommes tous assis à une table pour être interviewés.
L'intervieweur nous a posé des questions. Je ne me souviens pas des questions exactes, mais je me souviens que j'avais confiance quand j'ai répondu aux questions. J'ai même aidé à expliquer ce que l'intervieweur demandait. Uniquement ceux qui reconnaissaient le principe de Dafa ont été autorisés à passer et à entrer dans un endroit connu comme étant « La Nouvelle Époque pour l'humanité ».
Après avoir passé ce test, j'ai entendu quelqu'un dire : « Ouah, cette personne qui est décédée est même venue pour une interview. » Ensuite, je me suis réveillée et j'ai partagé mon rêve immédiatement avec les membres de ma famille qui sont aussi des pratiquants. Je me demandais si ce serait une scène du dernier jugement. J'avais l'impression que les divinités et les bouddhas allaient descendre en plein jour. Il s'est avéré qu'ils portaient des vêtements de tous les jours et ressemblaient à des gens ordinaires.
J'ai réalisé que ce rêve n'était pas une coïncidence. Il me montrait une scène de comment la pensée d'une personne pouvait déterminer si elle serait sauvée ou non. Cela me rappelait que le temps pour sauver davantage de gens presse. La façon dont les gens qui faisaient la queue étaient absorbés par la lecture des livres de Dafa me montrait clairement qu'ils étaient venus dans ce monde pour obtenir le Fa. Et il n'y a que Dafa qui peut aider les gens à retourner à leur authenticité première. Le processus d'entrevue a fait ressortir le sérieux de la cultivation, et chaque test devait être passé en abandonnant tous les attachements. Une fois passés des tests aussi stricts, il ne reste que de l'or véritable.
Mon rôle dans le rêve était celui d'un messager qui fournit les faits, ce qui correspond à mon rôle dans la vie quotidienne. Si quelqu'un n'a pas entendu parler de Dafa ou n'a pas encore appris les faits parce que je n'ai pas assumé mes responsabilités, il aurait manqué sa chance d'être sauvé. Et ceci serait vraiment malheureux et pitoyable !
Le Maître a dit :
« Saisissez cette grande opportunité, faites encore mieux le travail de nos médias, faites-le vraiment avec beaucoup de puissance, en temps voulu, de façon à ce qu'un article publié puisse avoir un grand impact, c'est sûr que vous atteindrez cette étape ! » (« Fahui de NTD et Epoch Times 2018 »)
En tant que journaliste dans une organisation médiatique gérée par des pratiquants, chacun de nos reportages a pour but de sauver les gens. Ce n'est qu'en nous cultivant bien que nous pouvons avoir un plus grand pouvoir pour sauver plus d'êtres, afin de passer notre test final.
Plusieurs jours après ce rêve, j'ai reçu un appel de mon directeur, qui m'a dit que la situation à Hong Kong devenait plus volatile et il a demandé si je voulais y aller comme soutien. J'ai dit oui et j'ai commencé mes reportages à Hong Kong, qui ont duré presque trois mois.
Rapporter les faits depuis la ligne de front
Ce voyage à Hong Kong était mon premier après être devenue journaliste aux États-Unis. La dernière fois que j'étais allée à Hong Kong était il y a cinq ans, en 2014, pendant le Mouvement Parapluie qui a émergé lors des manifestations pro-démocratiques.
Au cours de mes reportages sur les manifestations contre la décision du gouvernement de Hong Kong de modifier les lois sur l'extradition, j'ai pu observer directement comment des gens de tous horizons à Hong Kong avaient été témoins du pouvoir de nos médias et de comment ils avaient commencé à accueillir Dafa.
En semaine, nous travaillions sur les rapports normaux. Le vendredi, samedi et dimanche, c'était comme se rendre au champ de bataille. Nous courions autant que possible jusqu'à la ligne de front, où les citoyens locaux affrontaient la police de Hong Kong. Nous nous sommes rendus à chaque grande manifestation ou assemblée, malgré nos ressources limitées. Les autres médias disposaient de plus de 50 reporters, tandis que nous, nous devions travailler plus intensivement. Les quelques-uns d'entre nous continuaient à produire série après série d'interviews exclusifs et de rapports exclusifs.
Pendant ce voyage, j'ai pu reconnecter avec des gens ayant des affinités prédestinées, y compris ceux qui ont été témoins du lancement de NTDTV, ceux qui soutiennent Dafa, ceux qui se sont opposés à la Hong Kong Youth Care Association Limited, une organisation de front du Parti communiste chinois (PCC), ainsi que ceux que nous avons interviewés il y a cinq ans pendant le Mouvement Parapluie.
Leur réplique uniforme était que nos programmes de média devenaient de mieux en mieux, restaient neutres et de grande qualité, et étaient liés au peuple de Hong Kong.
Pendant les émissions en direct, les gens nous demandaient souvent : « Vous êtes de quel média ? » Quand nous leur disions que nous étions NTD, en général, ils levaient le pouce et disaient : « Nous regardons vos émissions en direct. »
Un jour, j'étais en train de faire un reportage en chinois mandarin et un passant nous a pris pour un des médias du PCC (à Hong Kong, les gens parlent cantonais et non mandarin). Il s'est écrié : « Vous médias (officiels) de la Chine, sortez d'ici ! » Des reporters des organisations de média de la localité se sont précipités vers nous et ont expliqué que je travaillais pour la télévision de NTD, qu'il était donc normal que je rapporte les faits en mandarin et que c'était une bonne chose. Le passant nous a immédiatement présenté ses excuses.
Ensuite, il y a eu cette manifestation énorme qui demandait au Congrès des États-Unis d'adopter la Loi pour la démocratie à Hong Kong. Des masses entassaient les rues. Nous avions peu de connexion et nous ne pouvions pas diffuser en direct. Nous avons décidé d'aller dans une station de métro afin d'envoyer quelques images.
Dans la station de métro, plusieurs piétons nous ont reconnus à nos vestes en couleur néon. L'un d'eux s'est écrié rapidement : « Des reporters ! Vite, venez pour enregistrer ceci. La police armée accourt au métro pour arrêter les gens ! » J'ai vu dans ses yeux un sentiment d'urgence, et j'ai enfoncé le bouton pour filmer avec mon téléphone portable. J'ai été surprise que l'émission en direct qui avait été interrompue dans la rue en raison de la faible connexion fonctionne parfaitement dans le métro sous-terrain. Nous étions le seul média, à ce moment-là, qui transmettait des images en direct à partir de la station de métro. Je savais que cela avait été arrangé par le Maître.
Un jour, alors que nous étions en train de faire un reportage sur le rassemblement qui s'opposait à un haut fonctionnaire du gouvernement, une dame d'âge moyen s'est approchée de moi. Elle m'a dit que je ressemblais beaucoup à sa fille. Elle m'a montré une photo de sa fille, qui étudie au Canada. Je me suis sentie proche d'elle et j'ai senti l'affinité prédestinée. Je lui ai parlé de nos médias et des mauvaises choses que le PCC avait faites. Elle m'a dit qu'elle regardait les programmes de NTD au Canada, et qu'elle aimait bien notre journal télévisé et même les publicités. Elle aimait particulièrement une publicité colorée qui montrait des personnes dansant. Je lui ai demandé si c'était Shen Yun. Elle a dit : « Oui, je vais aller regarder le spectacle de Shen Yun avec ma fille la prochaine fois que je retournerai au Canada. »
Graduellement, les affiches réalisées par nos compagnons de cultivation ont été accrochées partout dans les rues importantes et avoisinantes à Hong Kong. Lors des rassemblements, des manifestants se sont portés volontaires pour nous aider à distribuer nos affiches. Ils portaient des panneaux qui disaient : « Nous marchons avec les divinités. » Ils ont aussi chanté : « Le ciel élimine le PCC. » Après les manifestations, quand j'ai vu les gens nettoyer les ordures dans les rues, j'ai senti qu'ils s'éveillaient, et qu'ils agissaient comme des pratiquants sans y réfléchir.
Certains ont parlé d'apprendre le Falun Gong en ligne et de vouloir se positionner du côté de Dafa. Ils ont même rejoint le défilé des pratiquants de Dafa et ont marché à côté de nos pratiquants.
Sur les réverbères, les passages supérieurs et le long des rues, les gens ont écrit ou affiché des panneaux comme : « Le ciel élimine le PCC. » Les ressentis anti-PCC se répandaient à travers toute la population à Hong Kong. Grâce à la répression des manifestants qui s'opposaient aux modifications des lois sur l'extradition, les gens ont commencé à voir le caractère impitoyable du PCC, car des jeunes ont été tués. Ensuite, leur mort a été publiée comme s'ils avaient commis des suicides, s'étaient jetés de hauts bâtiments ou s'étaient noyés et avaient été balayés sur la plage. Ils ont eu une expérience de première main du caractère pervers et dévoyé du PCC. Maintenant, ils réalisent que le PCC persécute la bienveillance. De nombreuses personnes nous ont dit que maintenant, ils croient que les prélèvements d'organes auprès de prisonniers de conscience est vraiment ce que fait le PCC.
Ceux d'entre nous qui travaillent pour NTD dévouent leur cœur à cette organisation de média de nos disciples de Dafa. Même si les exemplaires imprimés de l'édition de Epoch Times à Hong Kong ont été retirés des rayons à la mi-août par une chaîne de magasins franchisés, le PCC est loin de nous empêcher de tendre la main à la population de Hong Kong.
Depuis la courte période de cinq mois qui s'est écoulée depuis la manifestation contre les amendements aux lois sur l'extradition, NTD et Epoch Times ont connu une croissance explosive dans le nombre de spectateurs et de lecteurs. Cela est passé de quelques clics fortuits à plus d'un million de visites en ligne chaque jour. Les gens de Hong Kong savent que s'ils veulent regarder une émission en direct, Epoch Times et NTD sont les endroits où il faut aller. Et c'est grâce aux reportages de nos compagnons de cultivation, 24 heures sur 24, et au fait que nous avons pris l'initiative de nous rendre en première ligne afin d'affronter les mesures de répression du PCC. C'est le dévouement de nos compagnons de cultivation pour sauver les gens qui a fait la différence.
Enlever l'attachement à la peur
Quand je venais tout juste d'arriver à Hong Kong, je n'avais pas peur, c'est comme dans l'ancien diction chinois : « Les veaux nouveau-nés n'ont pas peur des tigres. » Après avoir produit quelques émissions en direct, j'ai été témoin de l'utilisation excessive des forces de police. Après m'être évanouie sous l'effet d'intenses gaz lacrymogènes, j'ai commencé à développer un attachement à la peur. Je n'osais pas rentrer seule à la maison. Je n'osais pas produire des émissions en direct seule. Et je demandais à mes parents de venir me chercher à la station de métro.
Chaque fois que je sentais monter la peur, je m'alertais : « N'est-ce pas l'attachement à la peur ? » Mais alors, je me cachais derrière l'excuse que j'étais encore assez jeune et que j'aurais besoin de la protection de mes parents. Cependant, nous sommes des pratiquants, il n'y a pas d'espace pour les attachements. J'ai reçu un message SMS d'un compagnon de cultivation : « Nos médias sont dans les tirs croisés du PCC. Ils ont collectionné tous nos noms ! Nous sommes la cible ! » Cela a jeté une ombre sombre sur ma peur grandissante.
Un soir, lorsque j'étais en route pour une émission en direct, j'ai été piégée par une personne pro-PCC qui a versé un genre de liquide sur moi.
Je lui ai crié : « Toi ! Fais attention ! » Je me sentais injustement traitée. J'ai éclaté en larmes : « Pourquoi devons-nous vivre tout cela ! Nous diffusons les faits en direct. Nous sommes NTD, le média de Epoch Times. S'il y a des choses qui ne vont pas ici, le monde entier peut voir ce qui se passe grâce à nos reportages en direct ! »
Plus tard, quand nous avons échangé avec les compagnons de cultivation pour voir si j'avais fait quelque chose d'inapproprié, si c'était inapproprié d'éclater en larmes devant la caméra, si cela donnerait une image négative à nos spectateurs, j'ai réalisé que mon attachement à la peur était à son comble. Mon état d'esprit était composé de colère, de peur et de griefs d'avoir été lésée. Ce n'est pas du tout ainsi qu'une pratiquante aurait dû agir.
J'ai commencé à chercher la source de mon attachement à la peur. J'ai trouvé qu'au début, le fait que je n'avais pas peur provenait du monde humain. Cela ne provenait pas du monde d'une pratiquante. Je n'avais pas encore atteint la véritable croyance dans le Maître et dans Dafa et je ne croyais pas à 100 % que j'étais une disciple de Dafa. Quand les tests sont arrivés, je n'avais pas peur, seulement parce que j'avais mis mon masque qui me protège des gaz et fluides toxiques et puis que j'avais sur moi l'insigne de journaliste international. J'avais oublié qu'en tant que disciple de Dafa, j'étais protégée par les dragons célestes.
Même après avoir découvert où ma peur était ancrée, je ne pouvais toujours pas me débarrasser complètement de cela. J'ai renforcé l'émission de la pensée droite. À chaque heure pile, j'émettais la pensée droite. À la maison, si j'avais le temps, je me calmais pour étudier le Fa. Quand j'étais au travail à l'extérieur, je récitais calmement le Fa par cœur.
Quand j'étudiais le Fa ces jours-là, je me sentais immergée du Fa.
Le Maître a dit :
« Si votre côté superficiel d'être humain ne veut pas éliminer vos attachements, ce sera difficile pour le Maître et les divinités protectrices de la Loi d’intervenir. Si votre pensée droite est puissante, le Maître et les divinités protectrices de la Loi peuvent tout faire pour vous. » (« Enseignement de la Loi au moment de la Fête de la lanterne de l’an 2003 »)
Les larmes m'ont couvert le visage. Oui, en effet, le Maître surveille les pratiquants. Si mes pensées droites sont insuffisantes, le Maître ne peut rien faire. Après cela, aussi longtemps que je maintenais une forte pensée droite, je n'avais plus peur.
Se débarrasser de la complaisance
Depuis mon enfance, je n'ai jamais été très bonne pour endurer la souffrance. J'ai toujours essayé d'éviter les difficultés. Après être devenue journaliste, je rencontrais du mauvais temps lors de mes voyages. Parfois il neigeait ou il pleuvait. Même si je faisais toujours mon travail, je ne cessais jamais de me plaindre. À part la chaleur, que je supportais bien, je me plaignais quand je faisais face à n'importe quelle condition météorologique. Je pressais mon caméraman de terminer le tournage pour que nous puissions partir le plus vite possible. Mon caméraman m'en avait parlé et m'avait rappelé que les reportages produits de cette façon ne seraient pas purs. Je savais que je n'avais pas raison. Pourtant, je n'y avais pas prêté suffisamment attention.
Pendant le vol de douze heures à destination de Hong Kong, j'ai réfléchi à mon attachement à la complaisance. J'ai décidé qu'il était temps de m'en débarrasser pendant ce voyage à Hong Kong.
Lors d'une émission en direct, il a plu toute la journée. Après que je suis rentrée chez moi et ai enlevé mes chaussures, mes pieds étaient trempés au point d'être ridés et enflés. Je me suis dit que c'était le moment où j'augmentais la capacité de mon esprit. Je devais le prendre avec légèreté. Tout ne serait-il pas revenu à la normale le lendemain ? C'est ainsi que j'ai commencé à m'adapter aux difficultés. Un pratiquant de 80 ans, qui était mon caméraman à Hong Kong, courait toute la journée, mais restait joyeux. Je savais que je n'étais pas à la hauteur par rapport à lui. Parfois, je me plaignais encore à mes parents. Mais je suis vraiment reconnaissante au Maître de m'avoir donné une occasion après l'autre de m'élever, d'augmenter mes capacités et de gérer les choses avec plus de maturité plutôt que comme un enfant. Maintenant, j'ai appris à chérir chaque direction.
Gratitude pour la compassion et les encouragements du Maître
Tous les pratiquants ont senti distinctement le renfort du Maître pendant nos reportages à Hong Kong. Nous courions de tôt le matin jusqu'à tard dans la nuit. Ce qui requiert trois équipes de travail dans les médias ordinaires, nous l'avons réalisé avec juste une équipe. Une autre sensation que nous partagions était que nous ne comptions pas autant sur les organes sensoriels humains. Disons qu'après avoir couru toute une journée, nous serions épuisés. Cependant, nous nous sentions légers comme une hirondelle. Le plus souvent, nous ne prenions qu'un seul repas dans la journée, mais nous n'avions pas faim et notre énergie était illimitée. Nous ne pensions qu'à produire davantage de rapports, à sauver davantage de gens.
Le Maître a dit :
« Auparavant, quand vous marchiez quelques pas, vous étiez fatigué, maintenant vous vous sentez toujours léger, quelle que soit la distance parcourue; vous faites du vélo comme si quelqu’un vous poussait dans le dos; peu importe la hauteur du bâtiment, monter les étages ne vous fatigue plus, c’est garanti. » (« Huitième Leçon » « Zhuan Falun »)
Pendant une émission en direct, le quartier général m'avait dit que j'étais la seule source de diffusion en direct. La police tirait des canons de gaz lacrymogène comme des fous sur l'endroit où nous, les journalistes, étions situés. Je n'ai pas eu le temps d'ajuster mon masque. La seule pensée que j'avais était de tenir encore un peu, de transmettre quelques scènes de plus. À la fin, je me suis évanouie à cause des produits chimiques contenus dans le gaz lacrymogène. J'ai eu cette pensée : « Je vais bien aller. » Quand les services de secours m'ont réveillée en me versant de l'eau salée sur la figure, je me suis levée et j'ai continué l'émission. L'interruption n'a duré que quelques minutes.
La protection du Maître se produisait à tout moment et partout. Un jour, il ne se passait pas grand-chose là où je faisais le reportage. J'ai décidé de me déplacer vers un autre endroit afin de rejoindre mon caméraman. Il a soudain commencé à pleuvoir fortement. Je courais et voulais prendre mon parapluie dans mon sac à dos. Il n'y était pas et j'aurais bien pu l'avoir perdu en courant d'un côté et de l'autre. Eh bien que faire ? J'ai pensé qu'il fallait que la pluie s'arrête, sinon, les images ne seraient pas bonnes quand je serais devant la caméra. Avec cette pensée, la pluie s'est arrêtée instantanément. J'ai trouvé mon caméraman et j'ai commencé l'émission en direct.
Pendant les trois mois à Hong Kong, j'ai vu que les gens à Hong Kong ont senti que nos médias étaient accessibles quand ils ont vu notre vaste couverture des manifestations. Ils ont aussi fait la connaissance de Dafa. Je sais que j'ai encore des lacunes dans de nombreux domaines. Dans la période finale du voyage, je vais saisir chaque moment. En tant que disciple, je vais chérir les enseignements du Maître, je vais garder à l'esprit que je suis pratiquante, et en approfondissant ma compréhension de la culture traditionnelle, je devrais pouvoir faire un meilleur travail.
Merci, Maître, merci, compagnons de cultivation !
(Présenté au Fahui 2019 de NTD et de Epoch Times)
Traduit de l'anglais
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