(Minghui.org) Le 10 novembre 2020, le secrétaire d'État américain Michael Pompeo a prononcé un discours à l'Institut Ronald Reagan, intitulé « La promesse de l’Amérique ». Dans son discours, il a confirmé que la menace la plus immédiate à laquelle les États-Unis et le monde entier sont confrontés actuellement est la tyrannie du Parti communiste chinois (PCC).

Face à l'autoritarisme du PCC, avec des efforts diplomatiques et une force militaire accrus dans le monde entier, l'actuelle administration américaine travaille également dur pour démanteler le pare-feu en Chine et permettre au peuple chinois d'avoir accès à des informations libres qui lui permettraient de prendre une décision différente sur l'avenir de la Chine.

Le secrétaire d'État américain Michael Pompeo à l'Institut Ronald Reagan

Le secrétaire Pompeo a comparé comment la présidence Reagan a facilité l'effondrement de l'empire soviétique avec le défi auquel l'administration actuelle est confrontée avec la menace pressante du PCC.

Il a déclaré que le président Reagan « a compris qu'aucune autre nation, devant Dieu, n'a été conçue dans la liberté comme la nôtre. Sa compréhension profonde et innée de l'Amérique en tant que lieu exceptionnel dans le monde lui a donné la force de faire face au fléau soviétique. » Dans l'administration Trump, par ailleurs, ils sont « tout aussi convaincus que l'Amérique surmontera n'importe quel défi ».

Grâce à une série de réalisations visant à détruire le califat ISIS, à sanctionner l'Iran, à renforcer les relations avec leurs partenaires du Golfe et à rétablir la paix au Moyen-Orient, « ces piliers que sont la force et la franchise sont également le fondement de la politique américaine à l'égard de la première menace mondiale actuelle pour la liberté : le Parti communiste chinois », a déclaré M. Pompeo

« Nous avons montré ce qu’il est. Il est dictatorial ; il est brutal et il est incompatible avec la dignité et la liberté de l'homme. »

Il a souligné que les États-Unis cesseront de fermer les yeux sur les tentatives agressives du PCC pour faire avancer leur programme de dictature sur la scène mondiale, y compris les revendications illégales concernant la mer de Chine méridionale, la coercition et la cooptation des entreprises américaines, le déguisement des consulats en tanières d'espions, le vol de la propriété intellectuelle, ainsi que les atrocités des droits de l'homme au Xinjiang, au Tibet et ailleurs.

« Ce défi requiert non seulement un effort diplomatique, mais aussi une force militaire pour maintenir la paix. Cette administration a donc fait des investissements historiques pour renforcer nos forces armées et pour concentrer leurs efforts et renforcer notre suprématie dans la région. »

Depuis sa prise de fonction en tant que secrétaire d'État américain en avril 2018, Pompeo a voyagé dans le monde entier pour renforcer les relations des États-Unis avec leurs alliés mondiaux.

« Je leur ai dit que l'Occident est en train de gagner. Je leur ai rappelé que nous vaincrons. La bonne nouvelle, c'est que le monde libre et les nations souveraines commencent à se réveiller. Ils se rallient maintenant à cette cause. J'entends souvent dire que nous ne voulons pas choisir entre les États-Unis et la Chine. Je leur rappelle que là n'est pas le combat. Le combat est entre un régime dictatorial, la barbarie d'un côté et la liberté de l'autre. Nous avons donc commencé à renforcer les institutions qui peuvent atteindre cet objectif. De la Quadrilatérale à l'ASEAN, en passant par l'OTAN, nous les avons réveillés à la menace que représente ce monstre marxiste-léniniste. »

Il a déclaré que la plupart des administrations dans le monde ont réalisé l'urgence de la question et que « l’administration Trump a réussi à prendre ce virage important pour la sécurité nationale américaine et de fait, pour les libertés de toute l'humanité ».

« Nous avons donc réuni tous les appareils, toutes les institutions. Au département d'État, nous avons fondamentalement modifié notre façon de penser le monde. Mes ambassadeurs, où qu'ils se trouvent dans le monde, ont la Chine en tête de liste. Ainsi, si vous êtes ambassadeur en République démocratique du Congo, en Corée du Sud ou à Oman, vous savez que le Parti communiste chinois a l'intention d'avoir un impact sur ce pays, et nous sommes déterminés à faire en sorte d'utiliser notre capacité à relever ce défi. »

« En fin de compte, le peuple chinois sera déterminant, tout comme le peuple de l'Union soviétique l'a été pour le cours de l'histoire dans ce pays. C'est pourquoi nous faisons tout notre possible pour que le peuple chinois ait accès à l'information, aux données, à tout ce qu'il a besoin de voir pour pouvoir lui aussi partager ces libertés auxquelles nous tenons tant. »

Pompeo a ajouté que le « désir inné de liberté, d'autonomie personnelle, de dignité humaine » est quelque chose qui « réside dans l'âme de chacun de nous ».

« Et que nous arrivions à leur permettre d'abattre ce pare-feu qui a été construit autour de la Chine, permettrait au peuple chinois de prendre une série de décisions bien différentes de celles que leurs dirigeants actuels leur ont fait prendre - de la voie que leurs dirigeants actuels leur font prendre. »

Traduit de l'anglais