(Minghui.org) Des législateurs républicains ont tenu une conférence de presse à Phoenix, en Arizona, le 7 décembre 2020 à 17 h (heure de l'Est), demandant une enquête complète sur la fraude électorale et la décertification des résultats de l'élection présidentielle. Après la conférence de presse, il y a eu un rassemblement, pour demander qu'on arrête le vol de l’élection (« stop the steal »). Les organisateurs ont demandé aux gens de prier pour le pays et de soutenir le président Trump.
Capture d'écran de la conférence de presse de l'Arizona
La veille de la conférence de presse, le porte-parole de la Chambre de l'Arizona a annoncé la fermeture de l'Assemblée d'État pour une semaine, sous le motif que l'avocat de Donald Trump, Me Rudy Giuliani avait testé positif au coronavirus. Me Giuliani a comparu lors de l'audience tenue par neuf représentants d'État, le 30 novembre. Une autre avocate de Donald Trump, Me Jenna Ellis, a dit que l'équipe de travail ne sera pas affectée et qu'ils allaient continuer de travailler dur et de se battre pour une élection juste.
De nombreux sénateurs de l'État de l'Arizona et des représentants ont assisté à la conférence et ils sont soulevé trois demandes importantes.
La première était d'instaurer une enquête approfondie et de mener un audit légal et politique pour trouver toutes les preuves de fraude ; la seconde était de décertifier les résultats de l'élection d'Arizona (malgré le grand nombre de preuves de fraude révélées au cours des dix heures d'audience en Arizona, le 30 novembre, le gouverneur de l'Arizona, Doug Ducey, a quand même certifié le résultat de l'élection le vendredi 4 décembre) ; la troisième demande était de demander au gouverneur Ducey de disqualifier l'actuel collège électoral ou de demander que le Congrès américain disqualifie les électeurs.
« Nous sommes en guerre en ce moment »
De nombreux législateurs ont dit que les États-Unis sont actuellement en guerre pour le destin de tout le pays parce que ses fondements subissent une attaque.
Un représentant de l'Arizona, Walker Blackman, a dit : « Nous sommes en guerre en ce moment...les démocrates essaient de vous enlever votre vote encore une fois... ils essaient d'enlever les votes des Américains … C'est aujourd'hui– le 7 décembre – qu'a eu lieu l'attaque de Pearl Harbor en 1941. C'est pourquoi nous pouvons voir que les drapeaux sont en berne... Nous avons des hommes et des femmes qui ont donné leur sang pour ce pays. Et non seulement ils ont donné leur sang pour la liberté et la démocratie et une république, mais ils ont donné leur sang pour que les gens puissent voter. Et quand cela est enlevé – la base, le droit fondamental de pouvoir choisir qui nous voulons au pouvoir – quand cela nous est enlevé, c'est une attaque contre nous tous. Pas juste pour ces gens qui pensent qu'ils ont gagné. »
Il a continué : « Parce que, plus tard, ce que nous allons voir, s'ils s'en sortent, c'est quelqu'un de plus sinistre que les gauchistes qui ont volé cette élection, venir et priver de vote tout le monde y compris les leurs. »
Le représentant d'État, John Fillmore a dit que l'Amérique a été attaquée le 7 décembre 1941. « Aujourd'hui, nous sommes attaqués par un ennemi plus insidieux, destructeur, sournois et dangereux, un ennemi à l'intérieur de nos propres frontières. Ils opèrent déguisés en Américains et en patriotes, mais ils n'en sont pas. On en train de nous voler le droit de voter. […] Nous avons beaucoup de gens qui sont décédés pour protéger le droit de voter... aujourd'hui, en ce jour d'infamie, il n'y a pas d'abandon, pas de retour en arrière. […] Si nous trouvons autant de preuves que ce que nous avons eu à l'audit, certaines personnes en Amérique devront être jugées et envoyées en prison. »
Le représentant d'État Anthony T. Kern a dit que le président Trump voulait drainer le marais politique à Washington et qu'il ne pouvait pas être laissé seul à se battre. Dans une période critique de difficultés, il a dit que c'est nécessaire pour le public en général des États-Unis de vraiment se lever et de rapporter des preuves de la fraude électorale et de soutenir réellement le président Trump. Il a aussi mentionné, qu'en tant que législateurs de l'État, ils mettront leur carrière politique de côté et ils vont se battre pour les États-Unis.
Le représentant d'État Travis Grantham a dit que si les Américains perdent leur droit de voter, ils allaient perdre le pays. « Je suis honnête et direct. Je ne dis que ce qu'il est nécessaire de dire et ce n'est pas toujours ce que les gens veulent entendre », a-t-il dit. M. Grantham a dit que l'Assemblée de l'État devrait rester ouverte, mais que tant qu'elle sera fermée, les gens continueront à faire entendre leur voix et à faire entendre toutes leurs inquiétudes.
« Chaque jour, nous recevons des milliers de courriels » au sujet de la fraude électorale
De nombreux représentants ont dit qu'à l'audience du 30 novembre, ils avaient vu tant de preuves de fraude électorale qu'ils étaient stupéfaits de voir que certaines personnes affirmaient encore que les preuves étaient insuffisantes ou qu'il n'y avait aucune preuve de fraude.
La représentante d'État, Nancy Barto a dit : « Nous recevons des milliers de courriels qui nous sont envoyés chaque jour », au sujet de cas de fraude électorale dont les gens ont été témoins.
Mme Barto a continué : « À la lumière du chaos de cette élection, en tant que membres et membres élus de la législature de l'Arizona, nous appelons à l'annulation de la certification jusqu'à ce que tous les litiges en cours aient été pleinement réglés et que la certitude des résultats de nos élections puisse être confirmée... Si des mesures de décertification ne sont pas prises, je me joins à mes collègues pour demander au Congrès de contester les électeurs de l'Arizona. »
Les représentants ont remercié les gens pour leur bravoure et pour se tenir debout et dire la vérité. Ils ont dit que leur plus importante mission en tant qu'employés de la fonction publique était de défendre les fondations de notre pays, c'est-à-dire des élections justes.
L'avocat Me Alexander Kolodin travaille avec l'avocate Me Sidney Powel. Il a mentionné dans son exposé que la fraude électorale a conduit au comptage de 100 000 bulletins frauduleux lors de l'élection en Arizona : une catégorie a été une manipulation directe des résultats dans les systèmes de vote électronique ; une autre catégorie a été le comptage de bulletins illégaux, tels que des électeurs de l'extérieur de l'État qui ont soumis des bulletins alors qu'ils n'auraient pas dû être inscrits pour voter en Arizona. Cependant, il a dit que certains bulletins légaux n'ont pas été comptés. Il a aussi mentionné que des témoins ont été menacés et forcés de garder le silence.
Le représentant David Cook a dit : « J'ai entendu une femme dire que le mercredi matin, ils pensaient qu'ils avaient terminé le comptage des votes et alors un camion est apparu avec paquet de bulletins de vote... Si le démocrate a obtenu 130 % du vote, ne devrions-nous pas avoir quelqu'un qui se penche sur cette question ? »
Il a aussi dit que de nombreux témoins ont été attaqués : « Quand ils ne peuvent pas vous battre sur la politique, quand ils ne peuvent pas vous battre sur les faits... ils vous attaquent personnellement... c'est dément. »
Ne jamais céder au socialisme et au communisme
Les législateurs ont dit que les États-Unis ne céderaient jamais au communisme et au socialisme. La sénatrice Sylvia Allen a partagé l'histoire d'une femme qui lui a envoyé un courriel. Cette élection a touché le cœur de cette femme parce que son père a été dans trois différents camps de concentration durant la Seconde Guerre mondiale. Il venait d'une famille de sept enfants. Tous ses frères et sœurs, ses parents, ses grands-parents, ses oncles et tantes ont été tués dans des camps de concentration à cause du régime d'Hitler et des nazis.
Le père de cette femme, par la grâce de Dieu, a traversé l'épreuve et a pu venir en Amérique. Maintenant, il aime ce pays et il a enseigné à ses enfants que c'est un endroit spécial, et notamment « …à quel point il était important que nous protégions nos libertés individuelles. Une des plus importantes choses étant de protéger notre vote. »
Le candidat à la représentation d'État, Daniel McCarthy a dit :« Nous sommes du bon côté de l'histoire. Nous ne céderons pas au communisme. »
Certains Américains qui ont vécu sous des dictatures, y compris celles en Syrie, en Chine et dans d'autres pays, ont parlé au sujet de la vie horrible et le climat politique imposés au peuple par les dictatures communistes. Quand ils sont venus aux États-Unis, ils ont vraiment compris ce qu'est la liberté. Par conséquent, ils se lèvent pour défendre la liberté américaine et la loi et l'ordre.
Un homme a parlé au sujet de l'Insurrection Act (la Loi sur l'insurrection) des États-Unis. « Si voler une élection présidentielle n'est pas une insurrection, alors je ne sais pas ce que c'est. L'Insurrection Act stipule que quand les organes élus, les États, ne maintiendront plus la Constitution, le président des États-Unis a le devoir de la préserver. »
De nombreux législateurs ont soutenu que la légitimité du gouvernement vient du peuple et que le peuple est le véritable détenteur du pouvoir. C'est aussi le fondement des États-Unis.
« Dieu est de notre côté. »
Les orateurs ont terminé leurs exposés avec : « Que Dieu bénisse les États-Unis d'Amérique et que Dieu vous bénisse. » Durant le rassemblement, les gens ont prié à plusieurs reprises que Dieu leur donne assez d'aptitude, de sagesse et d'esprit paisible pour combattre la guerre jusqu'à la fin.
Un représentant a animé la prière : « Que Dieu porte notre pays, porte notre nation vers la démocratie et la liberté... Nous vous remercions, Seigneur Dieu, pour notre avenir. Dieu, nous prions pour que vous nous donniez la force de mener ce combat, donnez-nous la mentalité d'un guerrier dont nous avons besoin. Ce n'est pas un jeu. C'est une guerre. Nous prions juste pour que vous nous donniez toute l'armure de Dieu. »
Le candidat à la Chambre des représentants, Daniel McCarthy a dit : « Dieu a déjà montré au monde ce à quoi il est prêt à nous laisser faire pour nous défendre nous-mêmes. Dieu a déjà montré au monde ce qu'il permettra aux Américains de faire pour avoir la liberté...ce que vous avez besoin de faire c'est d'être courageux. » Il a aussi souligné : « C'est un mouvement pacifique, pour reprendre notre gouvernement en main de la manière appropriée. »
Un orateur a dit qu'ils prieront pour ces gens qui ont été trompés par les fausses nouvelles des médias et ils prieront pour ouvrir les yeux des gens qui ont été aveuglés.
Contexte de l'audience en Arizona
Le sénat de l'État de l'Arizona a tenu une audience le 30 novembre. Plusieurs témoins ont affirmé qu'il y avait eu des violations lors de l'élection dans l'État, y compris les machines de vote Dominion qui ont été facilement piratées et connectées à Internet le jour de l'élection ; le comté de Pima qui a montré des pics de votes comptés qui excédaient la capacité de traitement de la machine de vote ; le département de la Justice qui a reçu une lettre anonyme clamant qu'environ 35 000 votes ont été ajoutés à chaque candidat démocratique dans le comté de Pima.
Certains législateurs républicains de l'État et des membres de l'équipe juridique de Donald Trump ont dit qu'il y avait fraude dans l'élection générale de l'État et ont exhorté la législature de l'Arizona à désigner ses propres électeurs.
Le jour de l'audience, des milliers de personnes se sont rassemblées devant l'Hôtel Hyatt Regency, à Phoenix pour soutenir l'équipe juridique de M. Trump, demandant aux législateurs de faire la chose juste et de compter uniquement les votes légaux.
Mais au même moment, les responsables de l'Arizona ont certifié les résultats de l'élection générale et ont annoncé que Joseph Biden avait gagné avec une avance de 10 457 votes (ou 0.3 %).
Les membres de l'équipe juridique du président Trump et certains législateurs républicains ont demandé l'annulation des résultats de l'élection présidentielle de l'État, mais le porte-parole de la Chambre des républicains de l'État a dit vendredi (4 décembre) que ce serait illégal et que la législature ne ferait pas ainsi.
Un représentant républicain de l'Arizona, Andy Biggs a dit qu'il y avait suffisamment de preuves pour soutenir l'équipe juridique du président Trump dans le dépôt et le maintien de la poursuite dans l'État.
Le président Trump a publié sur Twitter le 5 décembre, en après-midi : « Entre le gouverneur Doug Ducey de l'Arizona et le gouverneur Brian Kemp de la Géorgie, le Parti démocratique ne pourrait pas être plus heureux. Ils se battent contre nous plus durement que les démocrates de la gauche radicale. S'ils étaient avec nous, nous aurions déjà gagné l'Arizona et la Géorgie... ».
Traduit de l'anglais :
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