La compassion face à l’épidémie de coronavirus

(Minghui.org) Cela fait plus d’un mois que le nouveau coronavirus a éclaté à Wuhan. Depuis, le nombre de cas confirmés et le nombre de morts ont augmenté rapidement.

Préoccupés par les gens dans l’épicentre de l’épidémie, de nombreux pratiquants de Falun Gong en dehors de la Chine téléphonent aux gens de Wuhan, leur disant qu’en récitant les phrases, « Falun Dafa est bon » et « Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon », ils pourraient être bénis et protégés du danger.

Certains ont téléphoné à des postes de police, des tribunaux et des procureurs. Les gens dans le même bureau mettent parfois le haut-parleur en marche et écoutent ensemble. Ils expriment leur gratitude au pratiquant qui appelle et certains d’entre eux ont démissionné du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organisations affiliées. Un policier a dit : « Merci de penser encore à nous maintenant. »

Un policier travaillant pour le Comité des affaires politiques et juridiques, une agence extrajudiciaire chargée de la persécution du Falun Gong, a d’abord résisté, mais il a remercié le pratiquant à la fin.

Lorsqu’un pratiquant de Toronto, au Canada, a appelé chez un fonctionnaire supérieur de police, un homme âgé a décroché le téléphone. Il a dit : « C’est encore le Falun Gong ! » et il s'est mis à dire des grossièretés. Mais son fils lui a dit : « Papa, ils le font pour notre bien. » Le vieil homme a cessé de crier et a écouté.

Un pratiquant a appelé le directeur adjoint du Département de la propagande d’un district de Pékin. L’homme était furieux au début et a dit : « Notre pays est en difficulté maintenant et vous me demandez pourtant de démissionner du Parti ? »

Le pratiquant a répondu : « C’est bien pour ça que je dois vous dire comment vous protéger », avant d’expliquer le rôle du PCC dans la persécution du peuple chinois innocent. « Pendant toutes ces années, les pratiquants de Falun Gong ont risqué leur vie en racontant la persécution. Ce n’est pas lié à la politique. Je paie pour cet appel et vous ne perdez rien. Nous [les pratiquants] espérons que vous pourrez traverser cette catastrophe. »

L’homme a finalement compris et a dit avec gratitude : « Vous travaillez dur pour sauver les gens quand le pays est confronté à une calamité. »

Traduit de l’anglais