(Minghui.org) Le 23 avril 2020 vers 11 h du matin, plus de vingt policiers ont encerclé le domicile de Mme Huang Ronghua à Pékin, pour tenter de la harceler pour sa croyance dans le Falun Gong. En découvrant que Mme Huang n'était pas chez elle, quatre policiers sont restés pour l'attendre pendant deux jours à l'extérieur de son domicile.

Mme Huang s'est tenue à distance de son domicile pendant quelques jours pour éviter la police. Après son retour, un voisin lui a dit que la police avait essayé d'escalader la clôture pour pénétrer dans son jardin, mais qu'ils avaient été bloqués par le voisin qui leur avait dit qu'il n'y avait personne à l'intérieur.

En 1996, Mme Huang, âgée de 63 ans, a commencé à pratiquer le Falun Dafa, une discipline méditative et spirituelle ancestrale. Beaucoup de ses problèmes de santé ont alors disparu et elle a retrouvé l'espoir en la vie.

À cause de l'énorme popularité du Falun Dafa auprès de la population chinoise, en juillet 1999, le Parti communiste chinois a ordonné une persécution nationale de la pratique et a fait le serment de l'éliminer en trois mois.

Puisque Mme Huang parlait aux gens de combien elle avait bénéficié de la pratique du Falun Gong, elle a été arrêtée le 8 juin 2002 et condamnée sans aucune procédure légale aux travaux forcés dans un camp de travail. Elle a été obligée de travailler très dur sans salaire et a également été incarcérée dans une cellule d'isolement pour son refus de renoncer à sa croyance. En conséquence son état de santé s'est dégradé et certains de ses problèmes de santé sont réapparus.

Pendant sa détention, la cour locale a approuvé la demande de divorce de son mari sans qu'elle ait donné son consentement.

Pendant les vingt dernières années, à cause de sa croyance, la police l'a souvent harcelée et a souvent cherché son domicile.

Le 5 septembre 2019, la police a tenté de saccager son domicile. Quand elle a refusé de les laisser entrer, ils sont entrés par effraction et l'ont jetée au sol. Elle s'est cogné la tête sur une chaise et a souffert de graves vertiges. Après que le centre de détention local a refusé de l'admettre à cause des complications causées par la commotion cérébrale, la police l'a relâchée.

Traduit de l'anglais