(Minghui.org) Les pratiquants de Falun Gong dans notre région ont révélé la persécution du Falun Gong par le Parti communiste chinois (PCC) et ont exhorté les gens à démissionner du PCC et de ses organisations affiliées depuis que la persécution a commencé, en juillet 1999. En conséquence, beaucoup d'habitants en sont venus à voir la nature criminelle du PCC et à soutenir le Falun Gong.

Dans cet article, j'aimerais partager quelques histoires de tels résidents droits qui ont défendu les pratiquants de Falun Gong lorsqu'ils ont été harcelés par la police.

« Je suis une pratiquante de Falun Gong ! »

Les parents de Guiying ont été arrêtés, détenus et condamnés pour avoir tenu fermement à leur croyance dans le Falun Gong. Elle a grandi dans la peur, car la police locale ne cessait de harceler sa famille.

Sa belle-mère pratique aussi le Falun Gong et la traite comme sa propre fille. Guiying ne pratique pas encore le Falun Gong, mais elle admire les pratiquants de Falun Gong et apprécie leur gentillesse.

En 2018, elle a fait un long voyage en autobus et a entendu une personne attaquer vicieusement le Falun Gong et son fondateur. Elle est devenue très contrariée. Lorsqu'il a déclaré que personne ne pratiquait plus le Falun Gong, elle s'est levée et a dit : « Je suis une pratiquante de Falun Gong ! »

Elle a continué : « Ce que vous avez dit était totalement faux. Les pratiquants de Falun Gong se conforment au principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance, qu'y a-t-il de mal à cela ? Ils sont tous de bonnes personnes ! » L'homme a baissé la tête et n'a rien dit d'autre pendant le reste du trajet.

Des villageois avec le sens de la justice défendent les pratiquants de Falun Gong

La police locale est allée dans un village pour chercher une pratiquante de Falun Gong, prévoyant de la forcer à abandonner sa croyance. Deux policiers et le secrétaire du village sont arrivés ensemble, mais n'ont pas pu la trouver. Alors, ils sont allés au magasin local pour se renseigner sur elle.

Ils sont entrés dans le magasin et ont demandé si quelqu'un avait vu la pratiquante, car il y avait beaucoup de clients. Personne n'a répondu à sa demande.

Une femme a dit à la police : « Cette pratiquante est une bonne personne et prend bien soin de ses parents et de ses petits-enfants. » La femme a demandé à la police de partir et de ne pas persécuter la pratiquante.

Étonnées par le soutien droit de la pratiquante envers la femme, la police est partie.

La police est venue au village au printemps dernier pour harceler des pratiquants de Falun Gong. Ils se sont arrêtés au champ où M. Fang, un pratiquant, travaille avec sa femme.

Un agent lui a crié : « Pratiquez-vous encore le Falun Gong ? » M. Fang ne lui a pas répondu et a continué à travailler dans le champ.

Sa femme était proche et la police lui a demandé si son mari pratiquait encore.

« Est-ce que pratiquer le Falun Gong vous dérange ? », a-t-elle demandé à la police.

Le policier a sorti un morceau de papier et l'a questionnée au sujet de plusieurs autres pratiquants du village.

Ayant été témoin de la façon dont son mari a recouvré la santé et est devenu plus attentionné et gentil, la femme de M. Fang est reconnaissante envers le Falun Gong et a senti qu'elle devait défendre les pratiquants.

Elle a refusé de fournir la moindre information au sujet des pratiquants et a plutôt demandé à la police de ne plus les rechercher.

La police est partie sans arrêter M. Fang.

Traduit de l'anglais